Jeudi 23 décembre, 15h62 – Dans une épicerie de Silent Hill…
Une petite superette comme on en voie des milliers dans le monde. Blizzard s’ennuie ferme derrière son comptoir. Le jeune homme porte un tablier sur lequel on peut lire : A votre service mesdemoiselles. Puis en plus petit : messieurs… démerdez-vous !
BLIZZARD (pensant) : Ras-le-bol de ce job à mi-temps…
AUTEUR DE LA FIC : Hé, tu penses trop fort !
BLIZZARD : Désolé…
Il regarde alors d’un œil distrait l’unique cliente du magasin. Une fille d’a peu près son âge. Qui as l’air pas trop mal. Du moins vu de dos…
La jeune fille termine ses achats et se présente au comptoir. Blizzard qui la voix maintenant de face, fait une petite grimace et passe un à un ses articles sur la caisse enregistreuse :
BLIZZARD : Nous disons donc : 1 cassette de Johnny Deep. 1 banane, 1 concombre, 1 tube de vaseline. 1 boite de gants en latex, 1 magazine « nous d’eux »…
BLIZZARD (pensant) : Hé bé, elle va passer une charmante soirée cette sal… !
LA CLIENTE : Quoi ???
AUTEUR DE LA FIC : Je t’avais dit que tu pensais trop fort, bordel !
BLIZZARD : (hésitant) Euh… Cela fait huit euros cinquante.
La fille met la main dans son sac à main pour chercher son porte-monnaie. Pendant qu’elle s’exécute, Blizzard lui lance un regard attendri :
BLIZZARD : Je parie que vous êtes célibataire, n’est ce pas ?
LA CLIENTE (avec un timide sourire) : Comment avez-vous deviné ?
BLIZZARD : (du tac au tac) Facile, vous êtes moche.
Son interlocutrice lui lance un regard noir, en posant un billet sur le comptoir et en récupérant son sac de provisions. Puis elle se dirige vers la sortie.
LA CLIENTE (furieuse) : Tu peux garder la monnaie connard !
BLIZZARD : Au plaisir de pas te revoir !
Il encaisse la monnaie lorsqu’un type tout de noir vêtu, le visage caché sous une ample capuche fait irruption dans la boutique.
BLIZZARD : Hé, la secte satanique c’est la porte d’à côté !
INCONNU : Monsieur Blizzard ?
BLIZZARD (méfiant) : Ouais.
L’inconnu lui tend un ticket doré qu’il s’empresse de lire :
(Bon je ne vais pas vous l’écrire à chaque fois, vous savez ce qu’il y a dessus maintenant^^)
BLIZZARD : Quoi ? Umbrella ? Qu’est-ce que c’est que ces conneries ?
INCONNU : Veuillez me suivre s’il vous plait. La plus grande aventure de votre vie vous attend !
BLIZZARD : Nan ! Enfoiré de gens d’Umbrella ! J’ai joué à tous les Resident Evil et je vous connais charogne ! Vous ne m’aurez pas vivant !
Il arrache son tablier. Il porte un tee-shirt sur lequel on peut lire :
J’ai deux passions : Chuck Norris et les chips.
BLIZZARD : Tu vas morfler suppôt de Capcom !
Il attrape un balai, enlève la brosse, et se sert du manche comme d’un Bô (vous savez l’arme préférez d’une des tortues ninja ^^ !)
L’envoyez d’Umbrella fait quelque pas en arrière :
INCONNU : Merde je vais encore m’en prendre plein la gueule !
C’est alors qu’une escouade de mercenaires de l’UBCS investit la supérette.
MERCENAIRE #1 : Plus un geste !
MERCENAIRE #2 (à son collègue) : Tu vois bien qu’il ne bouge pas, connard…
MERCENAIRE #1 : Fait chier ! D’habitude ils se sauvent tous en nous voyant débouler…
MERCENAIRE #3 : Tu devrais peut-être changer de déodorant...
MERCENAIRE #1 : La ferme !
Blizzard lui se met à siffloter la musique de Mortal Kombat.
BLIZZARD : En garde, Banzaaaiiiiiiiiiiiiiii !
Il se jette sur ses adversaires. S’ensuit une bagarre digne d’un film de Jackie Chan où Blizzard se sert de différents accessoires (comme un présentoir, des melons ou la porte d’un des congélateurs du magasin) pour se débarrasser de ses adversaires. Deux d’entre eux sont déjà au tapis quand un petit homme chauve et maigrichon entre dans le magasin. Il se fige devant cette scène de combat :
CLIENT : Euh… finalement je repasserai plus tard.
Suite à quoi il s’enfuit en courant de la boutique. Blizzard se débarrasse des deux derniers UBCS. Il prend alors triomphalement la pose en mettant son pied sur le ventre bedonnant d’une des mercenaires.
VOIX-OFF : La semaine prochaine ne ratez pas "Blizzard contre Godzilla et les Ghostbusters. »
L’inconnu se retrouve seul face à notre Admin préféré.
INCONNU : Euh… vous savez, y’a pas mal de fric à se faire si vous gagnez le jeu…
BLIZZARD (changeant d’expression) : Fallait le dire tout de suite !
Il met son bras sur les épaules de l’envoyé d’Umbrella et l’accompagne jusqu’à la sortie :
BLIZZARD : Tu aimes les films de gladiateurs ?
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Jeudi 23 décembre, 16h09
Dans un célèbre centre commercial dont nous tairons le nom mais qui commence par Le et finit par clerc. (Bon dieu ce qu’elle est longue cette petite phrase d’intro…)
PurSaïyenZombie, (nous l’appellerons PSZ dans la fic pour plus de confort. Bon d’accord c’est pas aussi chouette que DBZ, PSP ou NBA comme diminutif mais ça colle mieux à son pseudo…) marche d’un pas noble et décidé à travers la galerie marchande.
Se faisant, il passe devant un magasin d’antiquité. Un jeune homme s’extasie devant la vitrine. Il regarde une boîte de jeu vidéo les yeux brillants.
WILLIAM BIRKIN : Whouah, c’est la version cartouche de Resident Evil 1, l’une des 200 copies avant que les gens de Capcom ne se rendent compte que la playstation fonctionnait avec des cds ! Il me la faut ! Il me la faut !!!
PSZ continue sa route et rentre dans les toilettes. Au passage il salut la dame pipi, une vieille carne aux jambes rempli de varices. Il veut rentrer chez les hommes, mais la vieille l’arrête du bout de sa canne :
VIEILLE CARNE : Hé, ici on paie d’avance !
PSZ voit alors The Tremendous Timo assis à même le sol. Le pauvre vieux fait la manche avec une guitare en se balançant d’avant en arrière. Devant lui se trouve un morceau de carton griffonnait à la hâte. On peut y lire : Aidez-moi à payer l’entrée, SVP !
TRIPLE T : Pitié ! Faut que je pisse !
PSZ : Désolé vieux, j’ai qu’une seule pièce…
TRIPLE T : Noooooooooooooooooooooooooonnn !!!!
PSZ paie son droit d’entrée (1 euros pour info) et fonce vers une cuvette. Il déboutonne son pantalon et s’y installe en poussant un profond soupir. Quelques pets et un gros soulagement plus tard, il s’essuie le front:
PSZ (satisfait) : Ces saloperies de Tacos au Thon vont me faire crever…
C’est alors qu’un plombier s’amène. Bizarrement, celui-ci lui semble familier. Le type lui lance un regard noir :
DAVID KING : Bah faut pas vous gêner !
PSZ : Bah quoi, si on peut même plus chier dans les toilettes ! Et puis avec ce qu’on paie on pourrait avoir un peu d’intimité !
DAVID KING : C’est un modèle d’expo connard ! La chasse d’eau est factice ! Qui sait qui va nettoyer ?
PSZ (confus) : Ah merde…
DAVID KING : Ouais, ça tu peux le dire !
PIF ! PAF ! POUM !
Notre jeune Saiyen se retrouve le cul en bus en plein milieu de la galerie marchande.
DAVID KING : Et que je ne revois plus tes fesses traîner ici !
VIEILLE CARNE : Ou t’auras affaire à moi !
PSZ (s’imaginant des trucs pas catholique) : Glurps…
Il se relève le pantalon toujours sur les chevilles. Une petite troupe de client s’est formé tout autour de lui :
PSZ: Quoi ? Vous avez jamais vu un slip kangourou ?
WILLIAM BIRKIN : Si une fois dans un livre. Mais ça se porte plus depuis 1954…
Le collectionneur fou, s’empresse de prendre une photo du slip avec un appareil jetable.
PSZ (furieux) : Circulez y’a rien à voir !
Clara Morgane se trouve parmi la foule. (Et ouais, ce que je vais écrire va peut-être vous sembler bizarre, mais les stars aussi font leur course dans les magasin dont le nom commencent par Le et finisse par Clerc…) En tout cas celle-ci passe sensuellement sa langue sur le bout de ses lèvres :
CLARA MORGANE : Cela reste à prouver mon mignon !
Psz remonte son fute. Cette fois il est en pétard.
PSZ : FOUTEZ MOI LE CAMP !
Cette fois les gens disparaissent. Tous sauf un. Un drôle de type vêtu d’un pardessus noir dont on ne peut voir le visage.
PSZ : Je te déconseille de te foutre de ma gueule, parce que je suis grave vénère !
La capuche du type penche sur le côté :
INCONNU : PurSaïyenZombie ?
Le jeune homme se glace d’effroi.
PSZ : Comment savez-vous mon nom ?
INCONNU : Euh… Il était brodé sur la poche de ton slip…
PSZ (gêné) : Oh putain, c’est vrai…
INCONNU : J’ai quelque chose pour vous.
PSZ : Si c’est une carte de membre des porteurs de slips kangourou anonyme, j’en veux pas ! J’avais plus de caleçon propre, on va pas en faire une affaire d’état !
Le type lui tend un ticket doré. PSZ le prend, l’observe, le tourne et le retourne dans ses mains, avant de hausser un sourcil :
PSZ : Umbrella ? C’est une blague ?
INCONNU : Suivez-moi et vous le saurez…
PSZ : Bon ok, de toute façon j’ai rien à perdre…
INCONNU (tout bas) : Mis à part ta vie ! Wahahahaha… (Rire démoniaque.)
Il se retourne faisant un mouvement gracieux avec son imperméable et avance magistralement dans la galerie marchande.
PSZ : Euh… je voudrais pas jouer les prétentieux, mais la sortie c’est de l’autre côté…
INCONNU : Merde j’ai encore foiré ma sortie...
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Jeudi 23 décembre, 4h47PM (whouah classe je l’ai fait à l’anglo-saxonne)
Maison de retraire : La mort Joyeuse, quelque part dans le Pas de Calais.
X2 Minus, l’agent de sécurité, fait visiter les lieux à The Web qui est venu y faire un reportage. Les deux jeunes gens bavardent en arpentant les couloirs de l’hospice.
THE WEB (tout en le filmant au caméscope) : Et il y a beaucoup de décès ?
X2MINUS : Bah si on a de la chance, on peut en avoir 2 ou 3 la même semaine. Mais y’a des fois ou il se passe rien pendant 1 mois. Là on se fait vraiment chier !
THE WEB (pour lui-même) : Faudra que je coupe ce passage…
X2MINUS : Une autre question ?
THE WEB : Finalement, c’est pas super comme job…
X2MINUS : Bon j’admets que les vieux débris qui vivent ici sont nuls au football, mais ils sont super balèze aux dominos ! Et puis ils savent se contenter de peu. Tu leur files une compote et un épisode de Derrick et ils te foutent la paix toute la journée !
THE WEB (pensant) : Ce con est en train de foutre en l’air tout mon reportage avec ses répliques débiles…
AUTEUR DE LA FIC : Je vous ai déjà dit d’arrêter de penser à haute voix les mecs !
THE WEB : Euh ouais, désolé…
L’apprenti reporter reprends donc son interview.
THE WEB : Parles-nous un peu de toi ? Tu as toujours voulu être agent de sécurité ?
X2MINUS : Non bien sûr, j’avais des rêves étant gamin. Comme tout les gosses, je voulais épouser une chèvre, me faire l’intégrale des Simpson à poil dans une église et battre le record du monde de la plus grosse flaque de vomi. Mais j’avais l’estomac trop fragile alors…
THE WEB (écoeuré) : ça intéresse qui au juste ce genre de saloperie ?
X2MINUS : Moi j’aime bien.
C’est alors qu’une infirmière arrive complètement paniquée. (Pour des raisons de confort de lecture, nous supputerons que celle-ci est une superbe suédoise aux yeux bleus et à forte poitrine.)
INFIRMIERE : Oh mon dieu c’est affreux !
X2MINUS : Quoi ? Les matchs de catchs sont truqués ?
THE WEB : Van Damme va refaire un film ?
INFIRMIERE : C’est pire que cela, notre poste de télé vient de tomber en panne !
THE WEB (haussant les épaules) : Et alors ?
X2MINUS (d’une voix grave) : On est en plein épisode de Derrick…
Une véritable horde de vieux, dont certains en déambulateur s’avancent dans le couloir. Ils se bavent dessus, traînant la patte et gémissant sans fin :
LES VIEUX : Deriiick… Deriiick…
Les trois compères sont pris au piège face à cette armée de créature aux dents en plastique.
INFIRMIERE (paniquée) : On n’est fichu !
X2MINUS : Pas de panique le premier qui approche je lui explose la tronche avec ça !
Il sort triomphalement un petit objet d’une poche de son treillis.
INFIRMIERE : Un tube de maxi laxatif ?
Il balance le truc avant d’en ressortir un autre.
X2MINUS : Enfin je voulais dire avec ça !
Cette fois il tient un Glock entre ses mains fermes et musclées. (Bon d’accord entre ses mains moites et tremblantes…)
THE WEB : Ou t’as eu ça ?
X2MINUS : C’est ma mère qui me l’a acheté. Là, j’économise pour les balles…
INFIRMIERE : Donc ?
X2MINUS : Donc, il est inoffensif …
Les vieux se rapprochent. Ils sont quasiment sur eux. Tout semble perdu… Tout ? Non ! Une escouade de mercenaires de l’UBCS arrivent et vide les chargeurs de leur M4A1 sur les ptits vieux. C’est un vrai massacre. Pire que celui de Raccoon City. Il y a des morceaux de flanelles et de velours qui volent dans tous les sens.
MERCENAIRE #1 (mitraillant à tout va) : ça c’est de la part de la Sécu !
THE WEB (filmant en gros plan) : ça c’est de la TV réalité !
X2MINUS : Mais putain, c’est qui ces charlots ?
Un inconnu tout de noir vêtu se rapproche. Impossible de voir son visage qui est masqué sous une grosse capuche. Il retire une charentaise de son épaule et tend un ticket doré à X2.
X2MINUS : C’est quoi ça ?
INCONNU : C’est la chance de ta vie, petit !
L’agent de sécurité le lit avec attention. Il fait la grimace :
X2MINUS : Mais y’a marquer que ça vient d’Umbrella… Normalement ça sent le coup fourré…
INCONNU : Si tu acceptes de me suivre, tu recevras plein de jolie munition pour aller avec ton Glock.
X2MINUS : Qu’est-ce qu’on attend pour partir ?
Sur ce, il part avec les membres de l’UBCS et l’inconnu, laissant The Web seule avec la fille.
THE WEB (charmeur) : Dit donc beauté, ça te dirait de faire du cinéma ?
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Jeudi 23 décembre, quelques minutes et une poignée de seconde plus tard…
Un appartement de Liège dans le plat pays (la Belgique une fois)
L’un de nos modos préféré (Mais non, j’écris pas ça parce que j’ai peur de la censure !) pousse gentiment sa petite famille à la porte de sa demeure.
NEMESIS BACK : Oui chérie, moi aussi je t’embrasse. Allez bon week-end dans ta famille ! C’est ça, amuse toi bien avec les enfants !
Il ferme la porte d’un coup sec et s’appuie contre le battant.
NEMESIS BACK (pensant) : Libre, je suis libre !
AUTEUR DE LA FIC : Mais arrêtez de pensez à voix haute non di jou ! Ça fout en l’air toute ma syntaxe !
MAcCLANE (lisant par-dessus mon clavier) : Depuis quand t’as une syntaxe toi ?
AUTEUR DE LA FIC : Ta bouche !
MAcCLANE (en pétard) : Toi dès que ta fini ta fic, je te démonte la face à coup de crosse !
AUTEUR DE LA FIC : Glurps… Bon reprenons !
NEMESIS BACK (pensant encore malgré ce que je viens de dire au dessus) : Un week-end rien que pour moi tout seul, peinard ! Je suis le boss ! Je vais enfin pouvoir faire tout ce que je veux chez moi !
Il attrape un cadre avec la photo de sa femme :
NEMESIS BACK : Alors c’est qui le patron ? Hein, c’est qui ?
FEMME DE NEMESIS BACK : Euh… je suis toujours là chéri, j’avais oublié mes clefs.
Némésis se retourne penaud avec un sourire niais.
NEMESIS BACK : Hum… Bon voyage mamour !
Cette fois l’élue de son cœur s’en va pour de bon et il est vraiment seul. Il monte sur la table basse du salon les bras levés en l’air :
NEMESIS BACK : Youhou ! Fini les corvées de vaisselles ! Fini de ranger mes chaussettes sales dans le bac à linge ! Fini les petits câlins sous la couette !
Cette dernière révélation lui fout un peu le cafard. Pour se remonter le moral il enlève donc tous ses vêtements, branche la sono à fond et se mets à danser comme un dingue sur de la musique d’ascenseur.
NEMESIS BACK : Freedom ! Freedom ! I am the king of this house !
AUTEUR DE LA FIC : Euh… tu peux nous la refaire en français stp ?
NEMESIS BACK : Pourquoi ?
AUTEUR DE LA FIC : Parce que ça arrangerais pas mal de lecteur de la fic…
NEMESIS BACK : Bon ok !
Puis reprenant sa danse en tenue d’Adam :
NEMESIS BACK : Dent libre ! Dent libre ! Je suis le roi de cette house. (Traduction google.)
Il s’arrête tout à coup lorsqu’il remarque qu’un type étrange est assis sur le canapé.
TYPE ETRANGE : Bonjour.
La musique s’arrête d’elle-même, remplacée par trois notes glauque pour mettre une ambiance dramatique : TA TA TAN !
Aussitôt, Némésis s’empresse de prendre un coussin pour cacher sa nudité. Pas qu’il soit pudique, mais il ne voudrait pas traumatiser ce type qu’il rencontre pour la première fois.
INCONNU : Maintenant que je connais presque tout de vous, on va pouvoir discuter…
L’encapuchonné porte un grand manteau noir frappé d’un logo qu’il reconnaît de suite :
NEMESIS BACK : Umbrella… Je croyais que c’était juste que des jeux… Qui êtes vous ?
INCONNU : Je suis ton pire cauchemar.
NEMESIS BACK : Tu rigoles, mon pire cauchemar c’est de me réveiller sans ma virilité/deux chevaux cabriolet/statuette de Jill grandeur nature/avec la barbe à poux de Corbier (rayé les mentions inutiles…)
INCONNU : Ok, je suis pas ton pire cauchemar mais j’arrive en numéro 2 !
NEMESIS BACK : Et qu’est-ce que vous me voulez ?
INCONNU (portant la main à une poche revolver) : J’ai quelque chose pour vous.
NEMESIS BACK : Si c’est un flingue, faite gaffe ! Ma femme est cordon bleu et elle m’a donnée des cours !
Il se met en position de combat, ce qui a pour effet de faire tomber le coussin.
NEMESIS BACK (en le ramassant) : Et merde…
L’inconnu lui tend un ticket doré que tous les lecteurs de cette fic connaissent maintenant.
NEMESIS BACK : C’est quoi ?
INCONNU : Un aller simple pour l’aventure avec un grand L.
NEMESIS BACK : Et si je refuse ?
L’escouade d’UBCS fait irruption dans son appartement sans prendre la peine de mettre des patins. Ils arment leurs M4A1 et le mettent en joue.
NEMESIS BACK : Laissez-moi le temps de passer un string et je suis à vous…
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