Le final de la fanfic de Spart !

    • SpartaK
    • 04 H 57

      Stéphane était debout, de dos. Charlotte l'appela mais celui-ci ne répondit pas. Cependant, il fit volte-face et se retrouva devant la troupe de survivant. Charlotte tourna alors la tête, comme horrifié. RV se retourna et appuya son front contre la porte.
      Stéphane était revenu à la vie, mais de la manière la plus horrible qui soit. La pupille de ses yeux avait disparu ce qui laissait apercevoir un blanc sale. Du sang coulait doucement de chacun de ses orifices. Sa mâchoire semblait complètement déboîtée. Ces bras était étendu le long de son corps comme s'ils étaient cassés. Sa tête était légèrement penchée sur la gauche et elle semblait vide et creuse.
      Stéphane était complètement sous l'emprise du virus. C'était devenu un zombie.
      _Quel horreur, dit Charlotte, en pleurant. Nous devons faire quelque chose !
      _Je pense qu'il n'y à plus rien à faire, dit SpartaK.
      _Nous ne pouvons pas le tuer, dit RV. C'était devenu un ami. Il m'a secouru.
      _Je pense au contraire que si c'est ton ami, tu devrais le tuer pour l'empêcher de vivre dans cet état, dit AguSak.
      _Je ne pourrais jamais, répondit RV. Mais je comprend ton point de vue.
      _Il est hors de question de le tuer ! dit Charlotte, d'un ton autoritaire. J'ai le sérum, c'est peut-être trop tard, mais je dois tenter le tout pour le tout.
      _Ok, allons-y ! dit SpartaK. Nous devons le tenir pendant que Charlotte lui injectera le sérum, tout en faisant attention à ce qu'il ne nous morde pas.
      Sur ces dires, AguSak, RV et SpartaK s'avancèrent doucement vers Stéphane. Celui-ci, voyant RV près de lui, leva les bars et s'avança dans sa direction.
      _Les mecs, venez m'aider !! demanda RV. Je pense qu'il veux me bouffer !
      _T'inquiète, dit AguSak. Ont va passer derrière lui , il ne nous verra pas et on pourra le chopper.
      Stéphane posa alors ces bras sur les épaules d'RV et avança sa tête vers le coup de se dernier. A ce moment précis, AguSak attrapa Stéphane pas les épaules et le tira en arrière. Il pris ces bras et les lui mis derrière son dos. SpartaK passa derrière AguSak et posa sa main sur le front de Stéphane et le tira en arrière. RV s'agenouilla alors pour lui tenir les jambes.
      A ce moment, Stéphane ne pouvais plus faire de grands mouvements, mais cela ne l'empêchait pas de se débattre le plus qu'il pouvait et de plus en plus fort.
      _C'est à toi de jouer, dit SpartaK à l'attention de Charlotte.
      _Et dépêche toi, rajouta AguSak, nous ne le tiendrons pas comme ça bien longtemps.
      Charlotte sorti alors un seringue de son étui de protection et sorti de sa poche un flacon. Elle l'ouvrit et inspira son contenu dans la seringue. Elle avança alors vers son frère qui se débattait de plus en plus. Doucement, elle lui injecta le liquide directement dans le cœur. Elle retira la seringue et recula légèrement. Soudain, Stéphane stoppa tout mouvement et relâcha tout ses muscles. Il semblait s'évanouir. Mais d'un seul coup, il se releva et envoya à plusieurs mètres ses trois assaillants. Le choc fut rude, surtout pour RV, déjà bien blessé.
      Stéphane se mit alors à hurler. Il semblait souffrir terriblement.
      _Ça à l'air de marcher !! dit Charlotte, heureuse.
      En effet, Stéphane retrouvait des couleurs un peu plus humaine. Ses pupilles réapparurent, il reprit du poids et ne bougea plus, la tête baissée.
      Charlotte s'avança alors vers lui et se baissa légèrement pour tenter de croiser son regard. Mais, soudain, Stéphane leva son bras à une vitesse vertigineuse et saisi Charlotte au cou. Il l'a leva à environ 50cm du sol et commença à serrer de toute ses forces. Charlotte se débattait et fit tomber le flacon et la seringue qu'elle tenait dans la main.
      SpartaK regarda au sol et vit, sur le flacon, la lettre G.
      _Elle lui à injecter le G-Virus, cria SpartaK à ses compagnons. Il va muter, butez-le !!!
      Ils levèrent tous leurs armes et commencèrent à lui tirer dessus. Cela eu pour effet de l'énerver d'avantage. Il resserra sa main sur le cou de Charlotte.
      Un bruit d'éclatement d'os retentit dans la sombre pièce et les 3 garçons arrêtèrent de tirer. La tête de Charlotte bascula sur le coté. Ses mains lâchèrent le bras de son frère et ses bras tombèrent le long de son corps.
      Stéphane éjecta sa proie contre la porte face à lui. Charlotte glissa laissant sur la porte une énorme tache de sang. Elle était au sol, morte, à coté de SpartaK qui se baissa et glissa sa main sur les yeux de Charlotte pour les fermer pour l'éternité.
      Puis il se releva, plein d'une sainte colère. Lui qui aimait Charlotte, il avait devant lui son meurtrier. SpartaK était maintenant bien décidé à lui faire payer son crime. Mais, suite au tir répété sur Stéphane, celui-ci tomba à genou. Il se mit à crier beaucoup plus fort. D'énormes cornes lui poussèrent alors dans le dos. Il grandi d'un mètre supplémentaire. Sa masse musculaire se vit multiplié par 4. Il devint énorme, il était en pleine mutation du à l'injection du virus. De l'une de ces mains jaillirent des griffes qui poussèrent jusqu'au sol. Son visage se métamorphosa. Ses cheveux tombèrent, sa peau devint jaunâtre et grisâtre, il n'avait plus rien d'humain désormais.
      Une fois sa mutation terminée, il poussa un énorme crie et s'avança doucement vers les trois individus.
      _Fuyons ! hurla AguSak.
      _Nous ne pouvons pas, répondit SpartaK. Il est devant la porte qui est bloqué par une barre de fer. Le temps d'y aller et de l'ouvrir, il serait déjà sur nous.
      _Alors rebroussons chemin, proposa RV.
      _Il y à 8 Liters derrière la porte qui nous attendent, repris SpartaK. Ce serais de la folie. Nous devons l'attaquer tous ensemble.
      Le monstre était maintenant près d'eux t ils se mirent alors à courir pour l'éviter. Stéphane donna un violent coup de griffe vers SpartaK qui se baissa au dernier moment. Seuls quelques cheveux tombaient lentement vers le sol.
      Ils se mirent tous à lui tirer dessus, chacun dans une direction bien précise.
      _On dirait que ça ne lui fait rien ! hurla AguSak. J'en suis à la neuvième cartouches acides et rien.
      _Reste au acides, je vais passer aux explosives, toi, RV, passe au napalm.
      _Ok, répondit RV.
      Le monstre ne savait pas ou se diriger, l'ennemi étant de chaque coté. Il se tourna vers SpartaK et alla dans sa direction. Ce dernier tirait le plus vite possible ces cartouches sur le monstre. Mais rien à faire, celui-ci ne tombait pas.
      _Aidez-moi !!! hurla SpartaK.
      RV couru alors derrière le monstre, et se mit à lui tirer dessus à bout portant. Le monstre, semblant ne pas apprécier, se retourna et embrocha RV.
      Ses quatre plus longues griffes avait transpercer son corps à chaque point vitaux important. RV lâcha son arme et mourut. Le monstre le projeta alors sur la porte donnant sur le jardin qui s'ouvrit tellement le coup était puissant.
      Soudain, les 8 Liters envahirent les lieux. Ils se mirent en cercle et se jetèrent tous vers Stéphane.
      SpartaK et AguSak récupérèrent alors les armes se trouvant près d'eux, levèrent la barre de fer et sortirent dans le couloir du commissariat. Il revèrouillèrent derrière eux.
      Ils étaient maintenant dans le commissariat. Armés certes, mais seulement deux pour affronter peut-être des créatures encore plus puissantes.

    • SpartaK
    • 05 H 23

      _Tu entends tout ces cris, demanda AguSak.
      Mais SpartaK ne lui répondit pas. AguSak remarqua qu'il pleurait. La perte de Charlotte lui était insoutenable. Il n'avait pas prévu que ça pourrait lui arriver à elle.
      _Je pense qu'on ne devrais pas traîner, repris AguSak.
      SpartaK le regarda et acquiesça. Il se mirent en route et arrivèrent dans un parking. A l'entrée se trouvait deux gatling et au centre de la salle, un monceau de cadavre de Liters et de chiens. Des membres d'hommes étaient également dispersés dans ces lieux. La scène qui avait eu lieu ici avait du être horrible. Ils enjambèrent les corps, et près d'un corps presque complet sur le sol, près d'un chargeur.
      _C'est sûrement Raptor, dont RV nous à parler, il n'a pas du avoir le temps de s'en servir, dit AguSak.
      Il continuèrent leur route et se retrouvèrent devant une porte.
      _Et si nous prenions l'un des camions pour fuir ? demanda AguSak.
      _Les portes s'ouvrent de l'extérieur, répondit SpartaK.
      _D'après RV, dit AguSak, ce parking était séparé du hall par un simple couloir. Le hall était rempli de monstre il y à quelques heures, mais qui sait où ils se trouvent maintenant.
      _Je pense que ton idée de camion est correcte, tu est pilote, sais-tu conduire l'un de ces camions ? demanda SpartaK.
      _Ça ce conduit comme une voiture, tu serais le faire, répondit AguSak.
      _Alors tu va rester ici et mettre l'un de ces camions en marche, proposa SpartaK. Je vais sortir et ouvrir les portes. Tu me prendras au passage et nous fuirons de cette ville de fou.
      _Vu ton état émotionnel, je préfère y aller, répondit AguSak. Toi, occupe toi du camion.
      _C'est trop dangereux, dit SpartaK.
      _Je vais encourir le même danger que toi, répondit AguSak. Sauf que moi, je ne connaissais personne ici, je n'avais aucune réelles affinités avant de venir. Maintenant, c'est différent, je suis avec toi, mais je pense être le plus apte de nous deux à remplir cette mission à l'heure actuelle.
      Ces arguments massues firent grosses impressions.
      _OK, dit SpartaK. Je te laisse y aller. Mais avant de partir, quel engin me conseilles-tu ?
      Ils firent alors un petit tour et trouvèrent un camion très massif mais peu long, entièrement recouvert d'un grillage assez fin près des vitres et des fenêtres.
      _Avec ça, dit AguSak, même si nos vitres sont cassées, nous ne risquerons rien. Prends celui-là.
      AguSak se dirigea alors vers la porte et SpartaK monta à bord du camion qu'il fit démarrer grâce à la clé contenu dans le vide-poche de celui-ci.
      Il avança alors lentement près de la porte de sortie et mis le frein à main. Maintenant, il ne lui restait plus qu'à attendre la levée du rideau métallique.

      AguSak se retrouva alors dans un couloir sombre. Il avançait à petit pas et vit, en face de lui, une petite porte. Il colla son oreille sur celle-ci et écouta.
      Mais aucun son ne provenais de la pièce voisine. C'était peut-être tout simplement la porte qui était trop épaisse et qui empêchais ainsi tout son de la traverser.
      Il l'ouvrit alors prudemment et passa sa tête au travers. Il vit alors au sol des dizaines de cadavres de zombies, de chiens, de chauves-souris, de corbeaux et de Liters Cependant, aucune agitation n'était visible dans ces lieux. Il vit, à l'extrémité droite du hall, la sortie vers la rue. Il avança alors prudemment dans sa direction quand il entendu claquer.
      Il se retourna alors et vit une araignée, marchant sur le mur, qui venait de condamné la porte par laquelle il venait de passer.
      _Tu t'étais bien planquer toi, dit AguSak à la vilaine bête poilue.
      Soudain, d'autres arachnides envahirent les lieux. Descendant du plafond pour la plupart, mais aussi de derrière le bureau centrale. AguSak était encerclé par des dizaines d'araignées.
      Il se mit alors à courir vers la sortie, un fusil à pompe customizé à la main et un lance-grenades équipé de grenades au napalm dans l'autre.
      Trois araignées tentèrent de lui barrer le passage, mais AguSak, tout en courant, leurs envoyèrent deux grenades et une balle de fusil. Les trois araignées tombèrent, mais celle de gauche, qui avait reçu la balle de fusil se releva lorsque AguSak passa près d'elle. Elle leva en l'air ces quatre pattes avant et tenta d'enlacer AguSak. Celui-ci se débattit courageusement et donna un coup de pied dans la tête de l'araignée. Celle-ci ne lâcha pas prise pour autant et fit basculer AguSak en arrière. Elle se positionna au dessus de lui et tenta de le morde au visage. AguSak lâcha ses armes, car il lui était impossible de viser dans cette position et qu'en utilisant du napalm sur l'araignée, il cramerait sûrement lui aussi. Il posa ses mains le long de son corps au niveau de ses cuisses. De chaque poches, il sorti un poignard et les enfonça dans la corps de l'araignée à plusieurs reprises. Celle-ci cessa de luter. Il se débarrassa alors de son étreinte et continua son chemin en reprenant ses armes. Une araignée lui donna un violent coup de patte qu'il esquiva en effectuant une roulade sur la droite. Il visa celle-ci et tout en avançant vers elle, il lui vida les 7 balles contenues dans son fusil à pompe. Il continua et se retrouva dehors. Il vit alors une bonne trentaine d'araignées juste devant le commissariat. Il sauta de l'escalier sur sa droite et couru vers les rideaux métalliques. Arriver près d'eux il donna un violent coup de poing sur le bouton rouge devant le rideau derrière lequel attendait SpartaK. Le rideau commença à s'ouvrir et les araignées se ruèrent vers lui. Il tirait dans tout les sens, des araignées tombaient, mais certaines se relevaient toujours. Lorsque le rideau fût assez haut, il rampa en dessous et se retrouva près du camion. Il ouvrit la porte et monta près de SpartaK.
      _Écrase moi ces putes !!! ordonna AguSak.
      SpartaK, voyant son amis dans cet état ne vit comme seul remède d'exécuter ses ordres. Il se mit alors à accélérer et écrasa chaque araignées présentent dans la rue. Une à une, elle tombait pour ne plus se relever. Bientôt, le pare-brise était taché de sang et de venin. Cela donnait une épaisse matière rouge et verte. SpartaK fit fonctionner les essuie-glaces et il se rendit compte qu'ils avaient réussi.
      _Je ne sais pas comment te remercier, dit SpartaK. Ça n'as pas du être facile !
      _Je pense avoir été contaminer, dit AguSak. Je ne m'en suis pas aperçu tout de suite mais je suis blessé à plusieurs endroits.
      _J'ai toujours le sérum, proposa SpartaK.
      _Tu est sur que ce n'est pas du G-Virus ? demanda AguSak sur un ton ironique mais tout de même sérieux.
      _L'échantillon du G-Virus était vide, je l'ai laissé sur place, je n'ai repris que le sérum.
      _Ok, je vais m'en faire une injection.
      Après s'être soigné, il demanda à SpartaK.
      _Ou allons nous maintenant ?
      _La rue derrière nous est bloqué par les flammes, c'était la route principale pour sortir de la ville. Nous allons être obligé de faire un petit détour par cette route là.
      _Elle mène ou ? demanda AguSak.
      _A la forêt. Mais aussi au siège social de Parasol corp., répondit SpartaK.
      Soudain, ils captèrent un message par la radio du camion.
      _On entend rien, dit SpartaK. Tu serais réglé ça ?
      AguSak se mit alors à trifouiller le poste et le message se fit plus clair mais toujours difficile à comprendre.

      A tout les chercheurs, gardiens et employés de Parasol Corp. Nous précédons actuellement à une évacuation d'urgence. Rendez vous tous au limite de la ville. Des membres des PCBS vous y attendent pour vous faire évacuer les lieux. A 7H00, la ville sera rayé de la carte pour éviter que le virus ne soit plus contrôlé. Les essais ont été concluants. Parasol corp. vous remercie tous pour votre collaboration.
      Veuillez être tous au limite de la ville à 6H40 au maximum. Merci de votre compréhension.

      _Tu as entendu ça ? demanda SpartaK. C'est bien Parasol Corp. qui est derrière tous ça et tous les employés était au courant. Et puis, j'ai l'impression de connaître cette voix.
      _C'était donc un coup monté pour voir la puissance de leur arme biologique, répondit AguSak. Et je pense que nous faisions parti du test, en tant que cobayes bien sur.
      _Tout les habitants de la ville ont servît de cobayes, ainsi que les animaux, les plantes. Parasol à tester son virus à l'échelle d'une ville pour connaître le temps nécessaire à la propagation du virus. La plupart des habitants sont morts maintenant, ou transformer en zombies ce qui reviens au même.
      _Ils vont détruire la ville au lever du jour, expliqua AguSak. Ainsi, personnes ne pourras jamais savoir ce qui c'est passé ici cette nuit. Les médias n'auront pas le temps de faire une relation entre l'explosion de la ville et Parasol corp.
      _Mais pourquoi voudrait-ils sauver les rescapés alors ? demanda SpartaK. Ce n'est pas dans leurs intérêts de sauver des témoins.
      _Mais peut-être que justement, ils n'ont pas du tout l'intention de les sauver, mais tout simplement de les regrouper pour éviter qu'ils ne fuient par leurs propres moyens. Ils leurs faut des preuves que chaque survivant soient morts. Et pour cela, rien de tel que de tous les regrouper et de tous les tuer en même temps.
      _Alors c'est pour ça que Parasol Corp. à fait venir les membres du PBCS, rajouta SpartaK. Je me demandais bien en quoi ces militaires à la solde de Parasol Corp. pourraient aidé la population. Ils vont simplement les tuer.
      _Alors ou pouvons-nous aller ? demanda AguSak.
      _C'est simple, dit SpartaK. Il ne reste qu'un seul endroit ou l'on peut envoyer un message radio, c'est le siège social de Parasol Corp.
      _Tu veux qu'on y aille ? demanda AguSak, étonné. C'est un bâtiment immense et sûrement plein de zombies.
      _Oui, mais rien d'autres. Ce ne sont que des bureaux, nous ne risquons pas de trouver de chiens ou d'énormes araignées. Les zombies sont assez faibles, lents et peu résistants au vue de nos armes actuelles.
      _Nous ne pourrons pas fuir par là, et il est bientôt 6H, nous n'aurons pas le temps, dit AguSak.
      _Écoute moi bien, dit SpartaK. Chaque sortie de la ville est contrôlée par les PBCS, nous ne pourrons pas sortir vivant de cette ville si nous sortons de cette façon. Il n'y à qu'une façon de la faire c'est par les airs. Tu est bien pilote ?
      _Bien sur, mais, veux tu dire qu'il y à un héliport sur le toit du building ? demanda AguSak, intrigué.
      _Effectivement. Nous serons dans le bâtiment dans 15 minutes. Cela nous laissera un peu moins d'une heure pour atteindre le toit et quitter les lieux.
      _OK, alors allons-y !

    • SpartaK
    • 06 H 07

      Ils garèrent leurs véhicules à 50 mètres du bâtiment. Un trottoir les empêchait d'approcher plus.
      _Ça y est, nous y sommes ! dit SpartaK.
      Ils descendirent alors du camion, armes à la main.
      Un léger brouillard envahissait les lieux. L'air était humide, c'était la rosée du matin. Le soleil tardait à se lever, mais la nuit cesserait dans quelques instants.
      Ils avançaient lentement, cote à cote. Mais soudain, un bruit retentit et un énorme bras jaunâtre sorti du brouillard et frappa SpartaK au visage. Celui-ci fut projeter à deux mètres de là et retomba violemment sur le sol.
      _C'était quoi ça ? demanda SpartaK.
      Mais à peine eut-il dit ça qu'un énorme bras saisi arriva au dessus de la tête d'AguSak.
      _Attention !! cria SpartaK.
      Mais trop tard, la main saisi le crâne d'AguSak et le serra en le tirant. SpartaK couru et tomba nez à nez avec un monstre de grande taille. Il ne possédait qu'un seul grand bras qu'il était capable d'étirer sur une longue distance pour attraper sa proie.
      SpartaK sorti son lance-grenades et commença à tirer sur le monstre celui-ci fini par céder et AguSak tomba, pratiquement inconscient.
      _Comment te sens tu ? lui demanda SpartaK.
      _Ça pourrait aller mieux, fuyons d'ici.
      SpartaK aida son ami a se relever et ils coururent tout deux vers l'entrée du bâtiment. Ils montèrent les quelques marches menant à la double porte en duralumin et l'ouvrirent. A ce moment , un énorme bras saisi un barreaux d'une fenêtre près de l'entrée et le grands-bras fut tout près d'eux en un éclair.
      Trop tard cependant pour les arrêter. La porte se referma devant lui.
      Une fois dans le hall, SpartaK et AguSak virent devant eux, un groupe d'une cinquantaine de plante. Des que celles-ci les vit, elles leurs jetèrent un venin. SpartaK couru vers la gauche et AguSak vers la droite. Quelques piliers les séparaient, par moment, du jet de venin des plantes.
      _Cours tout droit, cria SpartaK à l'attention de son compagnon de l'autre coté du hall. L'ascenseur est en face.
      Ils coururent le plus vite possible. Soudain, devant AguSak, surgit une plante. Celle-ci cracha son venin en direction d'AguSak qui plongea en avant et tira sur la plante une cartouches acides. Celle-ci fondit presque instantanément. AguSak retomba à plat ventre. Il se releva à toute allure pour éviter d nouveaux jet de venin et se retrouva devant la porte de l'ascenseur. Il vit que SpartaK avait beaucoup de mal à continuer d'avancer. Les plantes se faisant de plus en plus présentes. Il ouvrit les portes de l'ascenseur et se retrouva alors face à une nouvelle créatures semblable à un Liters mais sans la longue langue de celui-ci et ne disposant pas de la possibilité de marcher sur les murs ou au plafond. Il était de couleur verte/violette et ressemblait à un énorme crapeau. Il possédait de longues griffes. Il s'avançait tranquillement vers AguSak et lui donna un violent coup de griffe. AguSak plongea sur le coté et se retrouva encerclés par des plantes et par le crapeau géant. SpartaK se mit à tirer dans chacune des plantes des grenades acides. Il arriva à se frayer un chemin et se retrouva près d'AguSak. Il levèrent leurs armes et tirèrent sur le monstre. Celui-ci fît un bond prodigieux et, en retombant, donna un coup de griffe qui déchira la chair des cuisses de nos deux amis.
      Ils tombèrent à genoux face au crapeau qui s'apprêta à donner de nouveau un coup de griffe. AguSak et SpartaK levèrent leurs armes et lui tirèrent chacun une cartouche explosive en pleine tête. Le monstre retomba, mais se releva. Ils tirèrent de nouveau et le monstre retomba. Une flaque de sang se mit à couler sous son corps. Ils coururent vers l'ascenseur, montèrent et sélectionnèrent le dernier étage. L'ascenseur se mit alors à monter.
      _Comment te sens-tu ? demanda AguSak.
      _Je pense que ces plantes et ce monstres nous ont empoisonnés. Nous restes t'il du seum.
      _Bien sur, dit AguSak. Je n'ai utilisé qu'une petite dose tout à l'heure.
      Ils se soignèrent alors et atteignirent le dernier étage, le trentième. Les portes s'ouvrirent.
      _Je ne pensais pas que tu viendrais jusque là SpartaK ?
      _Thierry ??? dirent ensemble les deux rescapés.
      _Ça vous surprend ? demanda Thierry.
      _Un peu oui, je ne pensais pas que tu t'en était sorti, dit SpartaK. Nous n'avons plus de nouvelle de toi depuis, depuis, je ne sais plus.
      Thierry leva le bras à l'extrémité duquel se trouvait un magnum et visa la tempe de SpartaK.
      _Jeter vos armes, dit Thierry.
      _Quoi ? qu'est ce que....
      _Je t'ai dit de jeter ton arme, maintenant. Ne discute pas. Je suis ton supérieur ne l'oublie pas.
      _Jamais je ne jetterai mon arme, répondit SpartaK. Explique moi.
      Thierry tourna alors son revolver vers AguSak et lui tira dans le ventre. Ce dernier tomba alors.
      SpartaK tenta de lever son arme pour tirer sur Thierry, mais ce dernier l'avait déjà mis en joug.
      _Pourquoi à tu fait ça ? tu fais parti de Parasol Corp. ? demanda SpartaK.
      Soudain il se rappela.
      _Le message radio ! c'était toi ? demanda de nouveau SpartaK.
      _Tu l'as entendu ? ça ne t'étais pas destiner. Cependant, oui, c'était moi. Lâche ton arme.
      SpartaK fit tomber son fusil et son lance-grenades.
      Thierry Wesker pris la parole.
      _Si je vous ai laisser tout à l'heure, c'était parceque je devais vous tester. Parasol Corp. tente depuis trop longtemps de tester ces créations en termes d'armes bactériologiques. Il y à quelques années, nous avions fait la même expérience sur une petite ville d'amérique nommée Raccoon City. Elle fut détruite à l'aube elle aussi, une fois que nos tests furent terminés. C'est mon frère, Albert, qui fut chargés de choisir le groupe qui devrais affronter nos créations bactériologiques. Mais celui-ci avait pour mission de sélectionner des hommes et des femmes d'actions. Des policiers.
      Il était presque normal qu'ils s'en sortent tous, et pourtant, nos estimations se sont révélées erronées. En effet, la plupart trouvèrent la mort. Parasol Corp fut heureux de la nouvelle et décida de tester ses créatures sur des humains normaux, n'étant pas habitué au stress et au combat. Nous avons cependant placés des armes de gros calibres pour corser un peu le jeu. Sinon, vous seriez tous mort depuis longtemps.
      _Je ne comprend pas pourquoi vous deviez recommencer vos tests ? Vous les aviez vos preuves.
      _Oui, c'est vrai, mais la recherche ne pouvait pas s'arrêter comme ça. Nous avons croisez des espèces et avons améliorer les autres. Les Liters que tu as rencontrer sont des croisement de Hunters Gamma, et de Lickers. Les deux créatures avait leurs qualités, mais rejoindre les deux en un seul plus puissant est un gain économique non négligeable. Les cerbères aussi ont évolués. En fait, chaque monstres que tu as rencontrés sont issus d'une contagion au G-Virus N°4. C'est sa forme la puissante actuellement. Nous devions donc tester nos nouvelles créatures et la force des anciennes qui contiennent la dernière version de notre virus.
      _Pourquoi moi ? demanda SpartaK.
      _Ce fut un hasard, tu habitais près du manoir ou les tests avaient lieu depuis des années. Tu m'avais dit une fois que tu t'ennuyais dans ta petite vie misérable. J'ai simplement voulu te rendre heureux et te pimenter un peu la vie.
      _Mais alors ? ton poste de développeur ?
      _Une couverture. Rien de plus. Je devais me fondre dans la masse, mais je travail depuis des années au sein de Parasol Corp. Tout comme mon frère avant moi. Cependant celui-ci ne fais que t'attiser la haine de Parasol corp. qui commence à avoir des doutes sur mon intégrité à cause des agissements de mon frère. Il fallait que je leurs prouve que j'étais intègre et fidèle. J'ai donc tout organiser. Chaque salles que tu as visités était équipées de caméra de surveillance. Je surveillais chacun de tes mouvement et les dirigeants de Parasol Corp., à Paris, te regardais également. Nous avons tous été surpris par la mutation de Stéphane. Nous n'avions jamais injecté le virus directement dans le cœur du patient. Sa mutation à été extraordinaire. Nous te pensions tous perdu. Tu l'aurais vu déchiqueter les 8 Liters
      _Stéphane est toujours en vie ?
      _Et comment ! Nous nous sommes dépéchés d'aller le chercher quand tu est parti. Il à tout de même tuer 12 membres des PBCS, des membres ultra-entrainés au combat contre les formes de vie modifiés génétiquement. Nous l'avons récupérer tout de même, il sera un bon sujet d'étude.
      _Tu n'est qu'un monstre !!!
      _Mais pas du tout ! Je ne te demande pas de comprendre mes motivations. Mais maintenant, trêve de discussion. Nous t'avons envoyés tout nos monstres. Nous sommes navrés toutefois que tu n'est pas affrontés notre nouveau requin. Je ne pense pas que tu aurais survécu. Tu aurais été dans son élément.
      Mais maintenant, il nous reste un ennemi à tester sur toi.
      A Raccoon City, les locaux de Parasol Corp USA avait envoyé plusieurs Tyran, il s'agit de nos créations haut de gamme. C'était l'un de nos plus beau produit à l'époque. Nous, les locaux français, avions collaboré en envoyant notre Tyran, nous l'avions nommé Nemesis. Il fit bien plus de dégâts que Tyran et était également beaucoup plus résistant. Plus tard, les locaux américains réussirent à créer un Tyran d'une force équivalente à notre Nemesis, mais il était destiné à l'un des fondateurs de Parasol Corp, un dénommé Alfred je ne sais plus quoi. Bref, il fut tuer après une chute de plusieurs centaines de mètre. Il était dans une soute d'un avion et à du tomber, maladroitement. Nos équipes l'ont toutefois repêché et nous avons réussi à le récréer et à le croiser avec notre nouvelle version de Nemesis. Tu va pouvoir rencontrer notre arme biologique la plus puissante et la plus destructive qui soit au monde. Suis-moi moi.
      Thierry passa derrière SpartaK et l'obligea à avancer. Il ramassa toutes les armes au sol et pénétra derrière SpartaK dans une salle remplie d'énormes cuves. Il avancèrent jusqu'au bout de la salle et Thierry posa toutes les armes aux pieds de SpartaK.
      _Se sont tes armes, tu les à bien gagner ! Elle te seront utiles. Je vais t'expliquer le jeu auquel tu va jouer. Je vais activer, grâce à cet ordinateur, la fin de l'hibernation de notre création, que nous avons surnommé 'Eracles'. Je quitterais alors les lieux et reverouillerais derrière moi. Je partirais alors de la ville et tu sera le dernier survivant de cette ville. Il est 6H40. Il te reste 20 minutes pour tuer ce monstre et quitter les lieux. C'est bien sur impossible, mais de toute façon tu ne t'en sortira pas. Ah, j'oubliais. Si tu parviens à tuer le monstre, la porte se déverrouillera. Le monstre possède un dispositif relier à son cœur. Des que celui-ci arrête de battre, tous les systèmes électriques et électroniques sont désactivés à 40 mètres à la ronde. Tu pourras alors fuir. Tu peut retrouver ta voiture ou prendre l'un des hélicos sur le toit, mais comme tu ne possède pas les capacités nécessaires pour piloter. Bref, adieu !
      Thierry activa le système de décongélation et fuit de la salle. Il verrouilla la porte et se retrouva dans le couloir.
      _Mais, ou est l'autre ? dit il.
      AguSak avait disparu du couloir. Mais de taches de sang trahissait son évasion.
      _Désolé petit, je ne peux pas te laisser fuir.
      Il suivit les traces de sang et arriva sur le toit. Il constata alors qu'un des deux hélicos était manquant.
      _L'enfoiré !!!! C'était pas prévu ça !
      Thierry monta à bord du dernier hélicoptère et décolla. Il fuit alors de la ville et passa au limite de la ville. Il vit que les PBCS avaient correctement fait leurs boulots. Chaque survivants avaient été fusillés, des dizaines de cadavres était posés les uns sur les autres en petit tas. Les PBCS quittèrent les lieux et Thierry également. Il n'avait pas le temps de rechercher AguSak. Mais il finirait sûrement par mourir. Le tir n'avait pas été précis, mais vu la quantité de sang qu'il avait perdu, il ne s'en sortirais pas.

    • SpartaK
    • 06 H 48

      SpartaK venait de s'équiper. Il avait placés deux armes sur son torse pour se protéger. Il tenait, dans ses mains, deux lance-grenades chargés de cartouches au napalm. Il avait très peur, mais ne voyait pas d'autres solutions que de combattre. D'ailleurs, il ne devait pas y en avoir d'autres.
      La glace de la cuve principale avait maintenant fondue. SpartaK attendais de voir son adversaire. Il était énervé car il se savait observé. Il savait qu'il était là pour mourir et permettre à des gens de se réjouir de sa mort. Il n'était qu'un cobaye, et cela ne lui plaisait pas beaucoup.
      Soudain, de petites vagues apparurent à la surface de l'eau et d'un coup, une forme imposante en jaillit d'un saut prodigieux.
      SpartaK était enfin devant son dernier adversaire. Eracles ressemblait à un homme, mais n'avait aucune expression, il ne se dégageait de lui aucun sentiments. On ne pouvais pas qualifier son regard d'agressif ou d'admiratif. Il n'avait strictement aucun expression. Il était simplement de taille imposante, d'une musculature d'ordinaire impossible et d'une détermination exemplaire.
      Il avança vers SpartaK. Ce faisant, d'énormes griffes jaillirent de ses mains et elles touchèrent le sol qu'elle tranchèrent comme du beurre. Il s'accroupit, et sauta en direction de SpartaK. Celui-ci couru en avant et passa alors sous le monstre. Des qu'Eracles toucha le sol. SpartaK lui tira ses douze cartouches au napalm dans le dos. Une fois ses armes vides, il les plaça sur son torse à la place des autres armes et prit ses deux fusils à pompe. Il les pointa dans la direction d'Eracles. Celui cria alors et se retourna et couru en direction de SpartaK. Il bondit en avant, et, avant que SpartaK n'est le temps de tirer, il lui donna un coup d'épaule terriblement puissant. SpartaK fut projeter à une dizaine de mettre et fit exploser des tuyaux de gaz sur le murs. SpartaK saignait et le gaz lui avait brûlé légèrement la joue gauche. SpartaK bondit en avant pour éviter d'être brûlé plus gravement par le gaz. Il prit quelques secondes pour reprendre ses esprits et couru sur la gauche. Il contournait le bassin centrale, espérant, ainsi, échapper à son agresseur.
      Eraclès bondit alors et traversa tout le bassin. Il atterri juste devant SpartaK et lui donna un coup de griffe en plein tore. SpartaK fut de nouveau projeter sur le mur et il se mit à saigner énormément du nez et à cracher du sang. Il avait terriblement mal à la poitrine et ne voyait plus très bien. Il vit alors que l'un des ces lances-grenades était parfaitement bien découpé et que les griffes du monstre lui avait entamé la chair. Il leva ses deux fusils à pompe et se mit à tirer sur le monstre. Il tirait le plus vite possible. Le monstre tentait de courir mais était toujours repousser par l'impact des balles. Il bondit, mais une balle le toucha en pleine tête et il retomba sur le sol faisant éclater les dalles. Il se releva, mais était toujours sous les balles ennemies. Pourtant, soudain, les tirs s'arrêtèrent. SpartaK n'avaient plus du tout de balles de fusils à pompe. Il mit ses fusil à pompe sur son torse et repris son seul lance-grenades Il y inséra des cartouches explosives, n'aillant plus de cartouches au napalm. Le monstre se jeta sur lui et lui donna un violent coup de bars qui éjecta SpartaK le long du bassin juste derrière le jet de gaz qu'il avait formé tout à l'heure. Le monstre couru alors vers SpartaK mais ce dernier continua à tirer. Le monstre était tellement décidé à en finir qu'il arrivait à avancer malgré les cartouches qu'il prenait en plein Corp. et en pleine tête. Soudain, il se mit à saigner et tomba à genoux. Il s'énerva et se releva et couru de plus belle. Il arriva presque devant SpartaK qui tourna légèrement. Il lui tira alors une cartouche pratiquement à bout portant et Eracles fut projeter à deux mètres de là. Il retomba sous le jet de gaz et se mit alors à hurler. Il voulu s'en échapper. SpartaK compris alors que c'était sa seule chance. La ville devais explose d'une minute à l'autre. Il mis alors ces dernières cartouches acides et tira sur le monstre. Celui-ci était bloqué entre le jet de gaz et les cartouches acides. Il saignait terriblement et des parcelles de chairs commençaient à fondre par endroits. Soudain, il poussa un énorme cri et tomba sous le jet de gaz.
      Un bip retentit alors et la porte se déverrouilla. Il avança près de l'ordinateur et aperçu un décompte. Il était écrit '2 minutes avant l'explosion'. Il se mit à courir vers la sortie, mais tomba. Il était terriblement blessé. Le sweeper l'avait terriblement handicapé en lui tranchant les cuisses. Et Eracles avait touché ses centres nerveux. Il ne contrôlait plus la totalité de son corps. Il réussi toutefois à se relever, mais n'eut plus la force de courir, il avança vers la porte en posant sa main sur le mur pour l'aider. Il ouvrit la porte et fut alors étonné de ne pas voir le corps de son ami.
      _Il n'y à que deux solutions, dit SpartaK à voix hautes. Soit Thierry l'a emmené avec lui, soit il n'était pas mort et à fuit. Je vais tenter l'héliport.
      SpartaK ouvrit alors la porte qui donnait accès à l'héliport et du monter les quelques marches qui le séparait du toit.
      Il ouvrit la porte et se retrouva dehors. Le soleil semblait se lever au loin, mais aucune trace d'un quelconque hélicoptère. Il vit cependant les traces de sang de son ami et compris qu'il avait pris l'un des hélicos.
      _Il s'en ai sorti, dit SpartaK. Il à du fuir me pensant mort. Je ne peux pas lui en vouloir.
      SpartaK s'allongea alors sur le toit et ferma les yeux.
      Soudain, il entendit les bruits des retors d'un hélicoptère. Il ouvrit les yeux et vit AguSak se poser près de lui.
      _C'était mon dernier passage, dit AguSak. Si tu n'était pas là, j'aurais été obligé de fuir. Content de te revoir.
      _Et moi donc, je n'y croyais plus, répondit SpartaK. Aide moi vite !
      AguSak descendit de l'appareil, et aida SpartaK à se relever et à monter dans l'hélico. AguSak repris les commandes et s'envola.
      Ils foncèrent alors tout droit, sans se soucier de la direction.
      _Attends, dit SpartaK. Et les survivants ?
      _Laisse tomber, dit AguSak. Lorsque j'ai repris conscience, je me suis précipité dans cette hélico, je me suis mit en vol stationnaire assez près du sol pour ne pas être repéré. J'ai vu fuir Thierry et lorsque tout le monde était parti, j'ai fait un tour complet de la ville. Tout à explose, les survivants ont été exécutés. Il ne reste plus que nous d'eux.
      Soudain, une lumière puissante les aveugla et un énorme bruit sourd retentit. SpartaK se retourna et vit la ville exploser. Plusieurs explosions suivirent. Un nombre impressionnant d'avion de chasse effectuaient des passages au dessus de la ville. Ce qui est sur, c'est qu'elle était maintenant entièrement nettoyée.
      _C'est réconfortant de fuir et de savoir que le virus ne pourras pas atteindre la prochaine ville, dit AguSak.
      _Mais pour combien de temps ? dit SpartaK. L'ambition de Parasol Corp est démesurée. Il recommenceront, et nous n'avons plus aucune preuve de ce qui c'est passé. Nous sommes les seuls à savoir.
      _Alors que proposes-tu ? demanda AguSak.
      _Thierry à beaucoup parler. Il faut arriver à entrer en relation avec le groupe de Raccoon City. Je ne connais pas leurs noms pour l'instant, mais ils auront besoin de nous. A nous tous, nous dévoilerons toute l'histoire à la presse.
      A partir de maintenant, SpartaK et AguSak feront tout pour contrer les plans diaboliques de Parasol Corp.
      Tandis que l'hélicoptère s'éloigne, une ombre traverse la forêt. Une araignée géante possédant deux bosses sur le front se dirige vers les montagnes. Il est temps pour elle de perpétuer sa descendance.

      FIN