La fanfic écrite par l'un des co-fondateur de RESIDENTEVILFR !
SpartaK
21 H 27
Le lundi 1 avril 2002, en rentrant chez moi après une dure journée à la mine (enfin, au bureau ;-) il se passa un événement inattendu !
La nuit était déjà très intense et un courant d'air glacial découpait l'espace environnant tel un poignard acéré. Je pénètre dans mon parking à bord de ma superbe Porsche Fiesta (à vous de deviner ce que j'ai) et j'entend alors le souffle de plusieurs respirations et certains bruits roques lorsque je ralentit pour passer le dos d'âne tout en faisant attention à mes amortisseurs. Je m'aperçois soudain que quelques lampadaire sont éteint ou émettent une lumière faible ou intermittente. J'ouvre la vitre automatiquement manuelle et tends l'oreille pour entendre de nouveau ces souffles haletants. Je continue tout droit et ralenti à l'approche de second dos d'âne tout en pensant que les rues depuis mon lieu de travail se trouvant à 7 Km de là étaient étrangement vide. Seuls quelques sacs plastiques (vous savez ces sacs sur lesquels il est écrit : Ce sac se met en trois pour vous servir) se déplaçaient au grès du vent.
Cependant, en traversant le second dos d'âne, seul le bruit des feuilles dansant dans les arbres proches se faisait entendre. Je tourne alors sur la droite et me gare à ma place habituelle. J'éteint le moteur, descend du véhicule et claque la porte. Le bruit retentit dans cette nuit glaciale et tous les sons s'évanouissent. Les feuilles des arbres remuent de plus en plus et les branches se penchent et se brisent. Le vent se fait de plus en plus violent mais aucun bruit ne se fait entendre. Je met ma clé dans la serrure et condamne le véhicule, le protégeant ainsi de toute violation.
En remettant ma clé dans ma poche, je perçois au loin des flammes et tout autour de moi de petit nuage de fumée sombre. Je m'aperçois alors que le sol et les véhicules autour de moi sont mouillés. Il à du pleuvoir il y à quelques minutes, me dis-je. Le vent puissant avais fait sécher la plus grande majorité du lieu ce qui eu pour effet d'éteindre un incendie car je m'aperçut alors que la plupart des véhicules et bâtiments environnent était brûlés, toutes les vitres avaient été exposé au souffle d'une énorme explosion. Certains arbres étaient fendus en deux. Des branches jonchaient le sol, les plaques d'égouts étaient surélevées et des rats s'en échappaient. Les lampadaires étaient courbés (comme julien). Vison apocalyptique !! Je levais les yeux au ciel et vis que la lune était pleine. De fine goutte de pluie firent leurs apparitions et glissaient le long de mon visage et mes cheveux étaient trempés (moi qui venait de me faire un brushing).
Tout à coup, je me rappelai des journaux du matin. En couverture, l'article choc, la société pharmaceutique d'intérêt public, "Parasol" allait être contrôlé dans l'apres midi. Et si un incident avait eu lieu ? Je me met à courir vers mon appartement dont les vitres à l'entrée sont cassés, je passe à travers et me retrouve dans le hall d'entrée, je tourne à gauche et me dirige au fond du couloir. Ma peur s'amplifie à chaque seconde. Peur de me retrouver face à des expériences médicales échouées ou à des êtres génétiquement modifiés. Je sort mes clés et ouvre ma porte. Par miracle tout est là. Comme si rien ne s'était passé. Seul l'électricité ne marche pas. Ma fenêtre n'a pas cédé. Il faut dire quelle se trouve de l'autre coté du bâtiment par rapport au point de l'explosion. Je décide de partir à la recherche des survivants, je prends ma lampe torche et mon couteau Laguioles. Je me dit que mes uzis pourront peut-être me servir, je les sorts de mon tiroir et les places à l'arrière de mon jeans pour faire comme dans les films de John Woo. Mais dès que je marche, les guns remontent et tombent du pantalon. Pas d'autres solutions, je prend mon étuis à placer les guns de chaque coté du torse. Ça fait bien aussi, je suis paré. Je vais pour ouvrir la porte et sauver les rescapés quand je repense à mon fusil à pompe sous la cuisinière. Il est cassé mais il pourra toujours m'être utile pour taper sur un ennemi ou déjoué des pièges dans des salles carrés, qui sait ? Sur ce je l'embarque et sort de chez moi.
Je repars en direction de mon véhicule sur lequel j'aperçois la silhouette d'un canidé. Un Yorkshire ou un truc dans le genre. Je le reconnais, c'est pupuce, le chien de la voisine. Il se retourne alors vers moi et je vois avec écoeurement qu'il lui manque des morceaux de chair et qu'il à un oeil crevé. Pauvre bête, quel est le singouin qui t'a fais ça ? Il se jette alors sur moi et commence à me mordre les mollets. Heureusement pour moi, le chien avait 22 ans et n'avais plus de dents. Mais la pression qu'exerçaient ces mâchoires n'était pas normale, trop puissante pour un chien de cette taille. Je lui donne alors un violent coup de pied et comme il revient à la charge je lui éclate la tête en l'écrasant avec ma nouvelle paire de Nick. Pauvre chaussure !
Je fonce alors vers ma voiture, monte à bord et démarre. Je pars à toute allure vers la société Parasol Corporation situé dans un vieux manoir à quelques minutes de mon lieu d'habitation. Sur la route je croise des centaines de personnes à oeil hagard et à la démarche difficile. Certain se mettent en travers de mon chemin. Je les écrase, mon pare-brise est recouvert de sang coagulé. La pluie et les essuie-glaces me permettent toutefois d'y voir clair. Oh mon dieu, j'ai tué des gens. Pas le temps pour les sentiments, l'avenir du monde est peut-être entre mes mains.
SpartaK
22 H 42
La pluie se déverse de plus en plus bruyamment sur mon pare-brise et mes essuie-glaces ont du mal à me permettre d'y voir clair. Je me vois contraint d'ouvrir la fenêtre, de passer la tête au dehors et de ralentir. Sur les trottoirs, des formes se tapissent dans l'obscurité, derrière un arbre, par dessus une clôture. Une animation cauchemardesque à lieu autour de mon véhicule. Enfin, je vois le manoir de Parasol Corp.
D'après la légende, le manoir appartenait à un homme qui adorait se déguiser en fille pour ressembler à sa soeur disparue quelques années auparavant. Drôle de personnage ! A l'approche de la grille du manoir, je commence à ralentir et met mon clignotant à gauche. Un reflex sans doute, car dans ce chaos, je vois mal un agent des forces du LCPD venir me mettre une prune.
La grille étant fermée, je descends de ma voiture précédé par mon couteau Laguioles. Et heureusement pour moi car à peine sortie de mon moyen de locomotion, quelqu'un s'agrippe à moi et me jette violemment au sol. Je me retourne le plus rapidement possible, pensant ma dernière heure arrivée, quand j'entends résonner le son d'une arme à feu. Mon regard se lève alors sur une jeune et jolie jeune fille, toute de cuir vêtue avec dans chaque mains, un Beretta dont s'échappent des volutes grisâtres. En rabaissant mes yeux, j'aperçois au sol un corbeau baignant dans son sang, troué de deux balles. Il n'a plus d'yeux et, par endroit, il lui manque des plumes. Ce qui laisse apercevoir une chair décomposée et flasque. Je réalise alors que cette divine créature vient de me sauver la vie. Je la contemple et voit son regard s'apaiser. Elle se tourne alors vers moi, me tend la main et m'aide ainsi à me relever.
_C'était moins une, me dit-elle. Un peu plus tu y passais, tu n'es pas assez attentif. Mon nom est Charlotte et toi ?
_Tout le monde m'appelle SpartaK, ce n'est bien sur pas mon vrai nom, mais je tiens à rester inconnu du grand public. ;-)
_SpartaK ? Mais dis-moi, tu n'aimerais pas Stanley Kubrick toi ?
_Euh, c'est peut-être pas le moment de parler ciné !
_C'est vrai, excuse moi. Va pour SpartaK ! Alors, que fais-tu là ?
Je me mis alors à lui raconter mon histoire, du destin tragique de Pupuce, du manque d'électricité dans mon appart. Tout quoi.
_Et toi, lui dis-je. Que fais tu là ?
_Je suis venue voir mon frère, il est flic dans cette ville. Il venait d'être muté à Limoges mais personne ne l'a vu là bas. Il m'a appeler d'ici ce matin et ma dit qu'il partirait après le contrôle de la Parasol Corp. dans l'apres midi. Je suis venu car plus personne ne sait ou il est et cette ville semble couper du monde extérieur. Il faut dire qu'elle est déjà bien isoler. Bref, je suis arrivée en moto il y a une heure. J'ai été directement au commissariat et là j'ai vu une troupe de chiens dévorer des hommes dans la rue. J'ai eu peur et me suis cacher dans le commissariat. Je me suis retrouvée dans un hall immense et je me suis mise à appeler mon frère Stéphane Bluefield. J'ai alors entendu des coups de feu et une porte se déverrouiller. Mon frère est alors apparu, gravement blessé. Il m'a donné ses armes et m'a dit qu'il existait un sérum dans le manoir de la société Parasol Corp. Il était trop faible pour parler mais il m'a dit qu'il serait en sécurité dans le hall du commissariat car il possède une carte pour le verrouiller de toute intrusion. Il en avait une deuxième qu'il m'a donné pour ouvrir le commissariat si jamais il s'était évanoui à mon retour. Le temps presse pour lui. Je dois trouver ce sérum.
_Je vais t'aider. Nous ne serons pas trop de deux.
_Je te remercie. Mais a tu des informations sur ces créatures hideuses qui nous attaquent. D'abord des chiens, puis des hommes et maintenant des corbeaux !
_Tu as affronté des hommes ?
_Oui, enfin, ce qui en restaient. C'était plutôt des sortes de zombies.
_La société Parasol Corp. est derrière tout ça. Depuis longtemps certain militant parlent d'expériences militaires menées sur la faune et la flore locale. Depuis peu, ils parlaient sans cesse d'expériences sur des humains. Certains affirmaient que des cobayes s'étaient échappé et erraient sans âmes autour du manoir, dans la forêt. Je pense que ces ragots étaient fondés et que des expériences ont bien eu lieu. Les zombies que tu as tués étaient peut-être des gens respectable ce matin.
_Mais comment cela à t'il pu se propager à toute la ville, en si peu de temps ?
_Regarde le manoir. Toute son aile droite est détruite. Seul une explosion de grande envergure a pu causer de pareils dégâts. Le souffle de l'explosion c'est dégagé à plusieurs kilomètres à la ronde causant mort et désolation. Les quelques survivants sont devenus des zombies, aussi bien hommes qu'animaux. Qu'en conclus-tu ?
_Tu crois que c'est viral ?
_J'en mettrais ma main au feu.
_Mais pourquoi ne sommes nous pas zombifié nous ?
_Nous sommes là depuis moins de 2 heures. L'explosion à du avoir lieu vers 13 heures. Heure du contrôle de la multinationale. Il est maintenant 23 heures 12. Nous sommes arrivé presque en même temps, disons à 21 heures. Il y à de plus en plus de zombies dans les rues. Il n'y en avait presque pas quand je suis arrivé chez moi. Je pense qu'en périphérie de la ville, les survivants ne sont pas encore atteints. Les zombies sont au point de l'explosion, regarde derrière la grille. Ont les voient au loin. Ils sont nombreux autour du manoir et plus rares ici. Je pense que le virus, si s'en est un, contamine un homme au bout de 7 à 8 heures d'exposition direct. Cependant, par mesure de précaution, je dirais 6 heures. Nous sommes là depuis 2 heures. Il nous reste donc 4 heures pour trouver le sérum, et nous l'injecter. Cependant, je doute que ton frère soit encore normal à notre retour.
_Je ne l'abandonnerais pas ! Me dit-elle, les yeux humides.
_T'inquiète pas, on lui ramènera le sérum. Mais commence à te faire à l'idée que ton frère n'est peut-être plus lui même.
_Alors ne perdons pas de temps ! Allons chercher ce sérum !
_OK, arme toi, j'ouvre la grille.
SpartaK
23 H 15
La grille était fermée par un simple tour de clé dans une serrure rouillée. Les doubles portes étaient larges et hautes, mais permettaient, à mi-hauteur d'homme, de voir entres de fins barreaux. L'extrémité haute de ceux-ci était en forme de pique. Le mur qui délimitait la rue du domaine du manoir était haut d'environ 3 mètres ce qui empêchaient quiconque de voir la propriété. Cependant, le manoir était sur 4 étages et permettait donc de voir ses niveaux supérieurs en s'éloignant quelque peu du mur. Je pris un léger élan, et couru sur la grille lui assenant un grand cou. La douleur se fit ressentir aussitôt mais la serrure céda tout de même. Au regard de ma compagne, je vis que je l'avais impressionné ce qui me rempli d'une joie soudaine et qui me fit oublier, l'espace d'un instant, que nous risquions nos vies. Je l'invitai alors à me suivre.
Nous nous retrouvâmes alors sur un petit chemin entouré de statue d'animaux de toutes sortes. Derrière ces statues se trouvait une quantité impressionnante d'arbres qui appartenaient à la forêt voisine. Parasol Corp avaient construit à la limite de la forêt et de la ville pour ne pas être déranger. Nous marchions alors côte à côte, deux uzis dans mes mains, deux Beretta dans les siennes, attentifs aux moindres bruits, nous déplaçant rapidement, mais en faisant attention à ne pas attirer sur nous les ombres environnantes. Soudain, un croassement nous fit sursauter. Cependant, rien ne vint, et nous continuâmes notre route. Au bout de quelques dizaines de mètres, nous nous retrouvâmes devant le manoir. Mais celui-ci était bien gardé. En effet, une troupe d'une douzaine de zombies dévoraient le corps de quelques chiens, dont un, toujours en vie, poussait de longues plaintes graves assourdies par la douleur. Nous profitâmes de leurs occupations pour passer tout doucement sur le coté, grimper les marches et ouvrir la porte. Lorsque je tourna la poignée pour pénétrer dans la manoir, je m'aperçut que celle ci était extrêmement dur et bruyante. L'un des zombies leva alors ses yeux vers nous et poussa un bruit d'animal effrayant. A ce bruit, les autres levèrent également les yeux et poussèrent ce son terrifiant.
_Dépêche toi, me dit Charlotte.
_Je fais ce que je peux, elle est extrêmement dur la poignée.
_Mais pousse, pousse !!
_C'est ce que je fais, dis-je agacé.
Les zombies, enfin debout se dirigèrent vers nous. Ils grimpèrent sur la première marche de l'escalier qui en contenait 6. La peur me saisie et je poussa de toutes mes forces, mais rien à faire. Elle refusait de s'ouvrir.
_Attend, j'ai un passe partout, je vais essayer d'ouvrir, me dit Charlotte. Occupe toi d'eux avec tes Uzis. Je lui céda donc la place et commença à tirer sur le premier zombie. Mais au lieu de le tuer, cela eu pour effet de l'énerver, lui et ces petits compagnons, et ils se mirent à monter plus vite. Alors que je m'apprêtais à tirer de nouveau, je vis que derrière les douze zombies, plusieurs de leurs amis étaient arrivés et cela devait augmenter leur nombre de 400 %. Devant cette centaine d'individus, mon estomac se noua et ma tête se mit à tourner. J'étais au bord de l'évanouissement quand soudain je senti la main du premier zombie m'attraper la cuisse. Par reflex, je lui vidai un chargeur dans la tête à bout portant, faisant ainsi gicler sa cervelle sur mon visage et sur ceux de ses plus proches collègues. Certains d'entre eux se mirent alors à genoux puis léchèrent le sol à l'endroit ou des bouts de chairs et de cervelles étaient tombés. L'un d'eux eu le droit à un oeil et à un morceau de gencive ce qui me fit vomir immédiatement dans le crâne explosé du premier zombie.
_Ça y est !
Mais je ne réalisai pas sur le moment.
_Ça y est, répéta Charlotte, qui, me voyant au bout du rouleau, me tira par le col de ma chemise, me fit pénétrer dans le hall du manoir et referma la porte.
_Nous sommes enfin en sécurité me dit-elle, les yeux sur la porte, écoutant les spasmes des zombies à l'extérieur.
_Je n'en suis pas si sur ! lui dis-je. Regarde !
SpartaK
23 H 38
Stéphane Bluefield, le frère de Charlotte, était toujours assis sur le carrelage glacé du hall d'entrée du commissariat. Sa blessure semblait le faire moins souffrir qu'auparavant. Il regardait tout autour de lui dans la pénombre avec inquiétude car même si chaque porte était fermée éléctroniquement, il avait vu tellement d'horreur aujourd'hui qu'il en était encore tout retourné. Il repensait sans cesse à cette araignée gigantesque qui l'avait mordu quelques instant plus tôt et qui l'avait ainsi terriblement blessé. Cependant, Stéphane était un homme courageux et vaillant, un modèle pour ces collègues.
Soudain, un bruit reteint son attention. Une espèce de marche rapide. Pas un zombie d'après lui. Qu'est ce que ça peut bien être.
Il comprit alors que quelque chose approchait de la porte derrière lui. Des pas, de plus en plus rapide, comme ci quelqu'un était poursuivi. Stéphane vit alors la poignée de la porte se tourner, puis se tourner encore, rapidement, comme ci l'individu derrière était pressé. Il compris que c'était peut-être un humain et décida de déverrouiller les portes du hall. La porte s'ouvrit alors, un individu la traversa, puis la referma en hurlant des mots incompréhensibles.
Stéphane remit sa carte dans l'ordinateur pour verrouiller une nouvelle fois les portes, mais sur l'écran de l'ordinateur, il vit le schema du hall avec l'une des portes ouvertes. Il se retourna rapidement et contempla chaque entrées. Elles étaient pourtant toute fermées. Puis, comme ci il avait enfin compris, il leva la tête à l'étage supérieur qui formait un balcon qui faisait le tour du hall. D'en bas, on ne voyait que le haut des portes. Aucun moyen de voir si quelqu'un si promenait. Il fixa alors avec attention le haut d'une porte et l'a vit se refermer en un claquement horrible. Toutes les portes étaient maintenant vertes sur l'écran de l'ordinateur, signe de fermeture. Stéphane inséra de nouveau sa carte et les portes se reverouillèrent enfin. Cependant, quelque chose devait se trouver sur le balcon. Jusqu'à maintenant, personne, de Stéphane et de son nouvel ami, n'avait fait de bruit. Et personne n'en faisait non plus en haut. Par reflex, Stéphane saisit son magnum, seul arme qu'il ai gardé sur lui. 6 balles dans le chargeur. Pas le droit à l'erreur.
Après quelques secondes de calme, Stéphane se ressaisi, si il y avait quelqu'un là haut. Il se serrait manifesté. Il se retourna alors vers l'étrange individu qui venait de franchir la porte.
_Salut ! Je m'appelle Stéph....
Mais à peine eut-il le temps de commencer sa phrase qu'une énorme créature verdâtre fit un bond monstrueux depuis le balcon qui se trouvait à une douzaine de mètre. A peine atterri sur ces énormes pattes, la bête semblable à un crapeau avec de longues griffes acérées fit un bond impressionnant vers le mur de droite et se dirigea, en rampant sur le mur, vers l'individu sans identité. Arrivé à quelques mètres de lui, il tira une longue et fine langue rose et l'attrapa à la gorge serrant de plus en plus. Le pauvre personnage semblait agonisé. C'est alors que Stéphane fit feu. Une balle de Magnum en pleine tête la fit littéralement exploser. Stéphane aida alors le malheureux en lui enlevant les restes d'une langue répugnante d'autour de son cou.
_Quel est cette créature hideuse et rapide ?
_haggrfrfez ham boss kraturz, u liters.
_J'ai rien compris, dit Stéphane avec stupéfaction. Le seul mot que j'ai à peu près compris, c'est "liters". Mais peut-être est-ce le nom de cet créature.
_viu, dit l'individu à la prononciation difficile en signe d'approbation.
_Mais, ouvre ta bouche ? dit Stéphane.
L'individu s'exécuta en versant une larme. Stéphane vit alors avec écœurement que la langue de l'individu était dangereusement mutilée. Cela devait le faire souffrir terriblement, et elle saignait toujours. Ça devait être ressent.
_Quand est-ce arrivé ? dit Stéphane
_tru taler, drakoulour, u srombis !
_Un zombie ? C'est un zombie qui t'a attrapé et qui t'a mangé la langue ?
L'individu acquiesça.
_C'est pas tout ça mais tu doit souffrir, je vais évité de te faire parler. Je doit cependant te trouver un nom.
Stéphane remarqua alors un blason doré dans lequel un Vélociraptor chassait une proie plus petite.
_Je t'appellerai Raptor ! Ça te va ? dit Stéphane.
Son nouvel ami accepta. Ils se mirent alors tout les deux au centre du hall et la silence pris place.
23 H 38
Charlotte fit volte-face et pointa son arme devant elle. Mais personne n'était là.
_Pas par là, dit SpartaK. Regarde sur le coté gauche du grand escalier, derrière la machine à écrire. Tu ne vois pas des formes humaines tapîent dans l'ombre ?
_Pourquoi est-ce qu'il n'attaquent pas ? demanda Charlotte.
_Peut-être qu'il ne nous ont pas encore vu !
_Mais si ont vous à vu ! Mais nous n'attaquons pas des amis ! dit une voix provenant de l'ombre.
_Qui êtes vous ? demanda alors SpartaK, pas forcement rassuré. Montrez vous !
C'est alors que sorti de l'obscurité 3 personnes. Deux hommes et une femme.
_Vous ici ? dit SpartaK agréablement surpris.
_Qui sont-ils ? demanda Charlotte.
_Je te présente 3 amis, Carine Valentine, une brillante chimiste, Vincent Burnside son petit ami et chimiste talentueux également et Thierry Wesker mon supérieur. Pourquoi êtes vous là grand Dieu ?
Carine fut la première à prendre la parole.
_Je travail souvent pour la police locale. Mon partenaire dans ma dernière affaire était un jeune homme nommé Stéphane Bluefield. Je devait rentrer ce soir à la maison. Ça faisait 3 semaines que j'étais dans cette ville.
_Pourquoi ne m'as tu pas prévenu ? dit SpartaK, j'habite tout près tu le sais, je t'aurais invité à boire un verre !!
_Je sais, mais ma mission était confidentiel et je ne devais en aucun cas en parler à mon entourage. Même Vincent ne savait pas ou j'étais.
_Jusqu'à ce matin, me répondit Vincent.
_C'est exact, dit Carine. Ma mission étant terminé, j'ai demandé à Vince de venir me chercher. Lorsqu'il est arrivé, j'étais avec Stéphane au commissariat. Nous avons entendu une explosion et avons été enfermé deux heures dans une salle sécurisé. Lorsque l'alarme se stoppa enfin, nous sommes sortîent. En cour de route une énorme araignée nous à barrer le chemin. Je me suis cru dans un film d'épouvante !! L'araignée à foncer sur nous et Stéphane m'a secouru. Il s'est fait mordre pour me protéger. Ses forces l'ont abandonner presque immédiatement. J'ai sorti une arme qu'il avait sur lui, un lance grenades, et j'ai lancé 3 cartouches inflammables sur l'arachnide. Elle est morte rapidement. Stéphane m'as alors dit de partir à la recherche de sa sœur qui viendrais sûrement si elle n'avait pas de ses nouvelles. Au vu de ses descriptions, je pense que c'est toi ?
Charlotte acquiesça.
_J'ai voulu l'aider mais il m'a menacé de son arme pour que je parte. En sortant. Des gens couraient dans tout les sens. Certains vomissaient, d'autres s'arrachaient des membres, je n'ai pas compris sur le coup. C'est alors que Vince est arrivé en voiture juste devant le commissariat.
_J'avais fait au moins 20 fois le tour du pâté de maisons, dit Vince. J'étais bien content de la retrouver enfin. Nous étions près à fuir la ville, mais aux alentours de ce manoir un énorme camion citerne nous est rentré dedans, un zombie en est sorti et à foncer droit sur nous. Je n'avais qu'un petit couteau souvenir dans ma voiture. A force de visé la gorge, j'ai réussi à en venir à bout. Nous avons ensuite couru vers le manoir car des centaines de corbeaux volaient dans tout les sens et attaquaient tout le monde. Une fois dans le hall ou nous sommes actuellement, nous nous sommes cachés derrière l'escalier et avons guetter le moindre mouvement. Après quelques minutes d'inactivités, nous avons essayé d'ouvrir la porte de droite, mais elle donne également sur l'extérieur, des chiens sauvages ont bien failli rentrer. L'un d'eux avait sa tête coincée entres les portes. Elle à fini par exploser sous la pression de nos deux corps. Nous sommes ensuite monté à l'étage et avons pris aussi la porte droite. Celle ci menait sur un petit couloir au fond duquel se trouvait une porte. Après l'avoir ouverte. Nous nous sommes retrouvés sur un balcon pratiquement détruit. On voyait dehors par trois coté tellement l'explosion à été violente. Nous avons vu pas mal de zombies arrivés d'ici. Mais nous étions à l'abri, car beaucoup trop haut pour eux. Nous y avons trouvé des munitions pour plusieurs armes, Berretta, Lugers, Magnum, fusil à pompe et bien d'autre. Ont à également pris des rubans encreurs. Ça pourra peut-être nous servir.
Nous avons été ensuite obligé de revenir à l'intérieur car les corbeaux sont revenus. Ils ont l'air de faire de grand cercle dans le ciel. Cela nous laisse des opportunités pour s'enfuir.
_Plus maintenant, dit SpartaK, vu le nombre de zombies et de corbeaux autour de se manoir, il nous sera impossible de sortir vivant d'ici. Il faut trouver une autre sortie.
_Il y en à une au sous-sol, dit Thierry.
_Comment le sais tu ? rétorqua SpartaK.
_J'ai bossé pour Parasol corp pendant deux mois pour revoir leurs réseaux informatiques. J'ai vu beaucoup d'endroit bizarre ici. C'est plein de passage secret et d'énigmes. Jusqu'au sous-sol, ça va, mais il parait qu'un immense laboratoire se trouve profondément enterré dans la terre. Celui là, je ne l'ai jamais vu. Ce ne sont que des rumeurs.
_OK, je pense qu'on devrais y aller alors, dit Charlotte, car plus on attend, plus le nombre de zombies va augmenter. De plus, je doit aidé mon frère !
_Il est au commissariat ? demanda Thierry.
_Oui, répondit Carine et Charlotte en même temps. C'est là que je l'est laissé, continua Charlotte, dans le hall d'entrée.
_ Et bien la chance te sourit, continua Thierry, car le passage secret mène directement au commissariat. Malheureusement, pas dans le hall, mais dans le poste de garde qui se trouve derrière le commissariat. Il faudra également passé par un petit jardin. Mais pour l'atteindre, il faudra passer plusieurs salles. La sécurité est très importante chez Parasol Corp.
_Ok, dit SpartaK, faisons le point des armes et des munitions. Moi j'ai un couteau de cuisine, deux uzis bien chargés et quelques chargeurs en plus ainsi qu'un fusil à pompe cassé.
_J'ai deux Beretta pour lequel il me manque quelques munitions, dit Charlotte.
_Attend, intervient Vincent, j'en est récupéré, tiens.
_Merci beaucoup, je me sens un peu plus rassuré maintenant. Je possède aussi une arbalète. De plus j'ai un couteau de survie et un passe partout. Ça peut toujours servir.
_Moi j'ai un lance-grenades avec plusieurs cartouches inflammables, dit Carine, j'ai aussi un Glock17 chargé à bloque.
_J'ai des cartouches acides que je peut te donner, dit Thierry en les lui tendant.
_Merci, j'accepte avec plaisir, répondit Carine.
_Moi j'ai un H&K VP-70 Burst correctement chargé, et un Remington 1100, dit Vincent.
_Et bien moi, dit Thierry, je me suis procuré un STI Eagle et un SIGPRO, j'ai aussi une paire de m100p mais pas bien chargé.
_Bon, je pense que tout le monde est paré ! dit SpartaK.
_Attend un seconde, intervient Thierry. Je pense que tu à remarquer que deux chemins s'offrent à nous. Je pense que nous devrions nous séparer et faire 2 groupes.
_Et puis quoi encore, dit Carine. Pourquoi pas cinq groupes de 1 pendant qu'on y est !!
_Carine n'a pas tort, dit SpartaK. Si nous nous séparons, nous n'arriverons pas à bien nous défendre.
_Je sais, dit Thierry, mais la plupart des salles du haut donne sur les salles du bas. Il serait dommage de nous faire prendre en sandwich par des créatures supérieur en nombre.
_Ok, tu n'as pas tord, dit SpartaK. Charlotte est moi, on passe par la double porte du bas, quant à vous, prenez en haut. Quoi qu'il arrive on garde le contact. Personne ne fonce n'importe ou, si on reste nombreux, ont s'en sortira.
Carine, Vincent, et Thierry gravirent alors l'escalier et se placèrent devant la porte. SpartaK et Charlotte, en bas attendait le signal.
_Nous sommes placés, dit Vincent.
_Alors on y va !
Les mains se posèrent sur les poignées, les tournèrent, et,ensemble, ils poussèrent les portes.
SpartaK
21 H 27 Le lundi 1 avril 2002, en rentrant chez moi après une dure journée à la mine (enfin, au bureau ;-) il se passa un événement inattendu ! La nuit était déjà très intense et un courant d'air glacial découpait l'espace environnant tel un poignard acéré. Je pénètre dans mon parking à bord de ma superbe Porsche Fiesta (à vous de deviner ce que j'ai) et j'entend alors le souffle de plusieurs respirations et certains bruits roques lorsque je ralentit pour passer le dos d'âne tout en faisant attention à mes amortisseurs. Je m'aperçois soudain que quelques lampadaire sont éteint ou émettent une lumière faible ou intermittente. J'ouvre la vitre automatiquement manuelle et tends l'oreille pour entendre de nouveau ces souffles haletants. Je continue tout droit et ralenti à l'approche de second dos d'âne tout en pensant que les rues depuis mon lieu de travail se trouvant à 7 Km de là étaient étrangement vide. Seuls quelques sacs plastiques (vous savez ces sacs sur lesquels il est écrit : Ce sac se met en trois pour vous servir) se déplaçaient au grès du vent. Cependant, en traversant le second dos d'âne, seul le bruit des feuilles dansant dans les arbres proches se faisait entendre. Je tourne alors sur la droite et me gare à ma place habituelle. J'éteint le moteur, descend du véhicule et claque la porte. Le bruit retentit dans cette nuit glaciale et tous les sons s'évanouissent. Les feuilles des arbres remuent de plus en plus et les branches se penchent et se brisent. Le vent se fait de plus en plus violent mais aucun bruit ne se fait entendre. Je met ma clé dans la serrure et condamne le véhicule, le protégeant ainsi de toute violation. En remettant ma clé dans ma poche, je perçois au loin des flammes et tout autour de moi de petit nuage de fumée sombre. Je m'aperçois alors que le sol et les véhicules autour de moi sont mouillés. Il à du pleuvoir il y à quelques minutes, me dis-je. Le vent puissant avais fait sécher la plus grande majorité du lieu ce qui eu pour effet d'éteindre un incendie car je m'aperçut alors que la plupart des véhicules et bâtiments environnent était brûlés, toutes les vitres avaient été exposé au souffle d'une énorme explosion. Certains arbres étaient fendus en deux. Des branches jonchaient le sol, les plaques d'égouts étaient surélevées et des rats s'en échappaient. Les lampadaires étaient courbés (comme julien). Vison apocalyptique !! Je levais les yeux au ciel et vis que la lune était pleine. De fine goutte de pluie firent leurs apparitions et glissaient le long de mon visage et mes cheveux étaient trempés (moi qui venait de me faire un brushing). Tout à coup, je me rappelai des journaux du matin. En couverture, l'article choc, la société pharmaceutique d'intérêt public, "Parasol" allait être contrôlé dans l'apres midi. Et si un incident avait eu lieu ? Je me met à courir vers mon appartement dont les vitres à l'entrée sont cassés, je passe à travers et me retrouve dans le hall d'entrée, je tourne à gauche et me dirige au fond du couloir. Ma peur s'amplifie à chaque seconde. Peur de me retrouver face à des expériences médicales échouées ou à des êtres génétiquement modifiés. Je sort mes clés et ouvre ma porte. Par miracle tout est là. Comme si rien ne s'était passé. Seul l'électricité ne marche pas. Ma fenêtre n'a pas cédé. Il faut dire quelle se trouve de l'autre coté du bâtiment par rapport au point de l'explosion. Je décide de partir à la recherche des survivants, je prends ma lampe torche et mon couteau Laguioles. Je me dit que mes uzis pourront peut-être me servir, je les sorts de mon tiroir et les places à l'arrière de mon jeans pour faire comme dans les films de John Woo. Mais dès que je marche, les guns remontent et tombent du pantalon. Pas d'autres solutions, je prend mon étuis à placer les guns de chaque coté du torse. Ça fait bien aussi, je suis paré. Je vais pour ouvrir la porte et sauver les rescapés quand je repense à mon fusil à pompe sous la cuisinière. Il est cassé mais il pourra toujours m'être utile pour taper sur un ennemi ou déjoué des pièges dans des salles carrés, qui sait ? Sur ce je l'embarque et sort de chez moi. Je repars en direction de mon véhicule sur lequel j'aperçois la silhouette d'un canidé. Un Yorkshire ou un truc dans le genre. Je le reconnais, c'est pupuce, le chien de la voisine. Il se retourne alors vers moi et je vois avec écoeurement qu'il lui manque des morceaux de chair et qu'il à un oeil crevé. Pauvre bête, quel est le singouin qui t'a fais ça ? Il se jette alors sur moi et commence à me mordre les mollets. Heureusement pour moi, le chien avait 22 ans et n'avais plus de dents. Mais la pression qu'exerçaient ces mâchoires n'était pas normale, trop puissante pour un chien de cette taille. Je lui donne alors un violent coup de pied et comme il revient à la charge je lui éclate la tête en l'écrasant avec ma nouvelle paire de Nick. Pauvre chaussure ! Je fonce alors vers ma voiture, monte à bord et démarre. Je pars à toute allure vers la société Parasol Corporation situé dans un vieux manoir à quelques minutes de mon lieu d'habitation. Sur la route je croise des centaines de personnes à oeil hagard et à la démarche difficile. Certain se mettent en travers de mon chemin. Je les écrase, mon pare-brise est recouvert de sang coagulé. La pluie et les essuie-glaces me permettent toutefois d'y voir clair. Oh mon dieu, j'ai tué des gens. Pas le temps pour les sentiments, l'avenir du monde est peut-être entre mes mains.
SpartaK
22 H 42 La pluie se déverse de plus en plus bruyamment sur mon pare-brise et mes essuie-glaces ont du mal à me permettre d'y voir clair. Je me vois contraint d'ouvrir la fenêtre, de passer la tête au dehors et de ralentir. Sur les trottoirs, des formes se tapissent dans l'obscurité, derrière un arbre, par dessus une clôture. Une animation cauchemardesque à lieu autour de mon véhicule. Enfin, je vois le manoir de Parasol Corp. D'après la légende, le manoir appartenait à un homme qui adorait se déguiser en fille pour ressembler à sa soeur disparue quelques années auparavant. Drôle de personnage ! A l'approche de la grille du manoir, je commence à ralentir et met mon clignotant à gauche. Un reflex sans doute, car dans ce chaos, je vois mal un agent des forces du LCPD venir me mettre une prune. La grille étant fermée, je descends de ma voiture précédé par mon couteau Laguioles. Et heureusement pour moi car à peine sortie de mon moyen de locomotion, quelqu'un s'agrippe à moi et me jette violemment au sol. Je me retourne le plus rapidement possible, pensant ma dernière heure arrivée, quand j'entends résonner le son d'une arme à feu. Mon regard se lève alors sur une jeune et jolie jeune fille, toute de cuir vêtue avec dans chaque mains, un Beretta dont s'échappent des volutes grisâtres. En rabaissant mes yeux, j'aperçois au sol un corbeau baignant dans son sang, troué de deux balles. Il n'a plus d'yeux et, par endroit, il lui manque des plumes. Ce qui laisse apercevoir une chair décomposée et flasque. Je réalise alors que cette divine créature vient de me sauver la vie. Je la contemple et voit son regard s'apaiser. Elle se tourne alors vers moi, me tend la main et m'aide ainsi à me relever. _C'était moins une, me dit-elle. Un peu plus tu y passais, tu n'es pas assez attentif. Mon nom est Charlotte et toi ? _Tout le monde m'appelle SpartaK, ce n'est bien sur pas mon vrai nom, mais je tiens à rester inconnu du grand public. ;-) _SpartaK ? Mais dis-moi, tu n'aimerais pas Stanley Kubrick toi ? _Euh, c'est peut-être pas le moment de parler ciné ! _C'est vrai, excuse moi. Va pour SpartaK ! Alors, que fais-tu là ? Je me mis alors à lui raconter mon histoire, du destin tragique de Pupuce, du manque d'électricité dans mon appart. Tout quoi. _Et toi, lui dis-je. Que fais tu là ? _Je suis venue voir mon frère, il est flic dans cette ville. Il venait d'être muté à Limoges mais personne ne l'a vu là bas. Il m'a appeler d'ici ce matin et ma dit qu'il partirait après le contrôle de la Parasol Corp. dans l'apres midi. Je suis venu car plus personne ne sait ou il est et cette ville semble couper du monde extérieur. Il faut dire qu'elle est déjà bien isoler. Bref, je suis arrivée en moto il y a une heure. J'ai été directement au commissariat et là j'ai vu une troupe de chiens dévorer des hommes dans la rue. J'ai eu peur et me suis cacher dans le commissariat. Je me suis retrouvée dans un hall immense et je me suis mise à appeler mon frère Stéphane Bluefield. J'ai alors entendu des coups de feu et une porte se déverrouiller. Mon frère est alors apparu, gravement blessé. Il m'a donné ses armes et m'a dit qu'il existait un sérum dans le manoir de la société Parasol Corp. Il était trop faible pour parler mais il m'a dit qu'il serait en sécurité dans le hall du commissariat car il possède une carte pour le verrouiller de toute intrusion. Il en avait une deuxième qu'il m'a donné pour ouvrir le commissariat si jamais il s'était évanoui à mon retour. Le temps presse pour lui. Je dois trouver ce sérum. _Je vais t'aider. Nous ne serons pas trop de deux. _Je te remercie. Mais a tu des informations sur ces créatures hideuses qui nous attaquent. D'abord des chiens, puis des hommes et maintenant des corbeaux ! _Tu as affronté des hommes ? _Oui, enfin, ce qui en restaient. C'était plutôt des sortes de zombies. _La société Parasol Corp. est derrière tout ça. Depuis longtemps certain militant parlent d'expériences militaires menées sur la faune et la flore locale. Depuis peu, ils parlaient sans cesse d'expériences sur des humains. Certains affirmaient que des cobayes s'étaient échappé et erraient sans âmes autour du manoir, dans la forêt. Je pense que ces ragots étaient fondés et que des expériences ont bien eu lieu. Les zombies que tu as tués étaient peut-être des gens respectable ce matin. _Mais comment cela à t'il pu se propager à toute la ville, en si peu de temps ? _Regarde le manoir. Toute son aile droite est détruite. Seul une explosion de grande envergure a pu causer de pareils dégâts. Le souffle de l'explosion c'est dégagé à plusieurs kilomètres à la ronde causant mort et désolation. Les quelques survivants sont devenus des zombies, aussi bien hommes qu'animaux. Qu'en conclus-tu ? _Tu crois que c'est viral ? _J'en mettrais ma main au feu. _Mais pourquoi ne sommes nous pas zombifié nous ? _Nous sommes là depuis moins de 2 heures. L'explosion à du avoir lieu vers 13 heures. Heure du contrôle de la multinationale. Il est maintenant 23 heures 12. Nous sommes arrivé presque en même temps, disons à 21 heures. Il y à de plus en plus de zombies dans les rues. Il n'y en avait presque pas quand je suis arrivé chez moi. Je pense qu'en périphérie de la ville, les survivants ne sont pas encore atteints. Les zombies sont au point de l'explosion, regarde derrière la grille. Ont les voient au loin. Ils sont nombreux autour du manoir et plus rares ici. Je pense que le virus, si s'en est un, contamine un homme au bout de 7 à 8 heures d'exposition direct. Cependant, par mesure de précaution, je dirais 6 heures. Nous sommes là depuis 2 heures. Il nous reste donc 4 heures pour trouver le sérum, et nous l'injecter. Cependant, je doute que ton frère soit encore normal à notre retour. _Je ne l'abandonnerais pas ! Me dit-elle, les yeux humides. _T'inquiète pas, on lui ramènera le sérum. Mais commence à te faire à l'idée que ton frère n'est peut-être plus lui même. _Alors ne perdons pas de temps ! Allons chercher ce sérum ! _OK, arme toi, j'ouvre la grille.
SpartaK
23 H 15 La grille était fermée par un simple tour de clé dans une serrure rouillée. Les doubles portes étaient larges et hautes, mais permettaient, à mi-hauteur d'homme, de voir entres de fins barreaux. L'extrémité haute de ceux-ci était en forme de pique. Le mur qui délimitait la rue du domaine du manoir était haut d'environ 3 mètres ce qui empêchaient quiconque de voir la propriété. Cependant, le manoir était sur 4 étages et permettait donc de voir ses niveaux supérieurs en s'éloignant quelque peu du mur. Je pris un léger élan, et couru sur la grille lui assenant un grand cou. La douleur se fit ressentir aussitôt mais la serrure céda tout de même. Au regard de ma compagne, je vis que je l'avais impressionné ce qui me rempli d'une joie soudaine et qui me fit oublier, l'espace d'un instant, que nous risquions nos vies. Je l'invitai alors à me suivre. Nous nous retrouvâmes alors sur un petit chemin entouré de statue d'animaux de toutes sortes. Derrière ces statues se trouvait une quantité impressionnante d'arbres qui appartenaient à la forêt voisine. Parasol Corp avaient construit à la limite de la forêt et de la ville pour ne pas être déranger. Nous marchions alors côte à côte, deux uzis dans mes mains, deux Beretta dans les siennes, attentifs aux moindres bruits, nous déplaçant rapidement, mais en faisant attention à ne pas attirer sur nous les ombres environnantes. Soudain, un croassement nous fit sursauter. Cependant, rien ne vint, et nous continuâmes notre route. Au bout de quelques dizaines de mètres, nous nous retrouvâmes devant le manoir. Mais celui-ci était bien gardé. En effet, une troupe d'une douzaine de zombies dévoraient le corps de quelques chiens, dont un, toujours en vie, poussait de longues plaintes graves assourdies par la douleur. Nous profitâmes de leurs occupations pour passer tout doucement sur le coté, grimper les marches et ouvrir la porte. Lorsque je tourna la poignée pour pénétrer dans la manoir, je m'aperçut que celle ci était extrêmement dur et bruyante. L'un des zombies leva alors ses yeux vers nous et poussa un bruit d'animal effrayant. A ce bruit, les autres levèrent également les yeux et poussèrent ce son terrifiant. _Dépêche toi, me dit Charlotte. _Je fais ce que je peux, elle est extrêmement dur la poignée. _Mais pousse, pousse !! _C'est ce que je fais, dis-je agacé. Les zombies, enfin debout se dirigèrent vers nous. Ils grimpèrent sur la première marche de l'escalier qui en contenait 6. La peur me saisie et je poussa de toutes mes forces, mais rien à faire. Elle refusait de s'ouvrir. _Attend, j'ai un passe partout, je vais essayer d'ouvrir, me dit Charlotte. Occupe toi d'eux avec tes Uzis. Je lui céda donc la place et commença à tirer sur le premier zombie. Mais au lieu de le tuer, cela eu pour effet de l'énerver, lui et ces petits compagnons, et ils se mirent à monter plus vite. Alors que je m'apprêtais à tirer de nouveau, je vis que derrière les douze zombies, plusieurs de leurs amis étaient arrivés et cela devait augmenter leur nombre de 400 %. Devant cette centaine d'individus, mon estomac se noua et ma tête se mit à tourner. J'étais au bord de l'évanouissement quand soudain je senti la main du premier zombie m'attraper la cuisse. Par reflex, je lui vidai un chargeur dans la tête à bout portant, faisant ainsi gicler sa cervelle sur mon visage et sur ceux de ses plus proches collègues. Certains d'entre eux se mirent alors à genoux puis léchèrent le sol à l'endroit ou des bouts de chairs et de cervelles étaient tombés. L'un d'eux eu le droit à un oeil et à un morceau de gencive ce qui me fit vomir immédiatement dans le crâne explosé du premier zombie. _Ça y est ! Mais je ne réalisai pas sur le moment. _Ça y est, répéta Charlotte, qui, me voyant au bout du rouleau, me tira par le col de ma chemise, me fit pénétrer dans le hall du manoir et referma la porte. _Nous sommes enfin en sécurité me dit-elle, les yeux sur la porte, écoutant les spasmes des zombies à l'extérieur. _Je n'en suis pas si sur ! lui dis-je. Regarde !
SpartaK
23 H 38 Stéphane Bluefield, le frère de Charlotte, était toujours assis sur le carrelage glacé du hall d'entrée du commissariat. Sa blessure semblait le faire moins souffrir qu'auparavant. Il regardait tout autour de lui dans la pénombre avec inquiétude car même si chaque porte était fermée éléctroniquement, il avait vu tellement d'horreur aujourd'hui qu'il en était encore tout retourné. Il repensait sans cesse à cette araignée gigantesque qui l'avait mordu quelques instant plus tôt et qui l'avait ainsi terriblement blessé. Cependant, Stéphane était un homme courageux et vaillant, un modèle pour ces collègues. Soudain, un bruit reteint son attention. Une espèce de marche rapide. Pas un zombie d'après lui. Qu'est ce que ça peut bien être. Il comprit alors que quelque chose approchait de la porte derrière lui. Des pas, de plus en plus rapide, comme ci quelqu'un était poursuivi. Stéphane vit alors la poignée de la porte se tourner, puis se tourner encore, rapidement, comme ci l'individu derrière était pressé. Il compris que c'était peut-être un humain et décida de déverrouiller les portes du hall. La porte s'ouvrit alors, un individu la traversa, puis la referma en hurlant des mots incompréhensibles. Stéphane remit sa carte dans l'ordinateur pour verrouiller une nouvelle fois les portes, mais sur l'écran de l'ordinateur, il vit le schema du hall avec l'une des portes ouvertes. Il se retourna rapidement et contempla chaque entrées. Elles étaient pourtant toute fermées. Puis, comme ci il avait enfin compris, il leva la tête à l'étage supérieur qui formait un balcon qui faisait le tour du hall. D'en bas, on ne voyait que le haut des portes. Aucun moyen de voir si quelqu'un si promenait. Il fixa alors avec attention le haut d'une porte et l'a vit se refermer en un claquement horrible. Toutes les portes étaient maintenant vertes sur l'écran de l'ordinateur, signe de fermeture. Stéphane inséra de nouveau sa carte et les portes se reverouillèrent enfin. Cependant, quelque chose devait se trouver sur le balcon. Jusqu'à maintenant, personne, de Stéphane et de son nouvel ami, n'avait fait de bruit. Et personne n'en faisait non plus en haut. Par reflex, Stéphane saisit son magnum, seul arme qu'il ai gardé sur lui. 6 balles dans le chargeur. Pas le droit à l'erreur. Après quelques secondes de calme, Stéphane se ressaisi, si il y avait quelqu'un là haut. Il se serrait manifesté. Il se retourna alors vers l'étrange individu qui venait de franchir la porte. _Salut ! Je m'appelle Stéph.... Mais à peine eut-il le temps de commencer sa phrase qu'une énorme créature verdâtre fit un bond monstrueux depuis le balcon qui se trouvait à une douzaine de mètre. A peine atterri sur ces énormes pattes, la bête semblable à un crapeau avec de longues griffes acérées fit un bond impressionnant vers le mur de droite et se dirigea, en rampant sur le mur, vers l'individu sans identité. Arrivé à quelques mètres de lui, il tira une longue et fine langue rose et l'attrapa à la gorge serrant de plus en plus. Le pauvre personnage semblait agonisé. C'est alors que Stéphane fit feu. Une balle de Magnum en pleine tête la fit littéralement exploser. Stéphane aida alors le malheureux en lui enlevant les restes d'une langue répugnante d'autour de son cou. _Quel est cette créature hideuse et rapide ? _haggrfrfez ham boss kraturz, u liters. _J'ai rien compris, dit Stéphane avec stupéfaction. Le seul mot que j'ai à peu près compris, c'est "liters". Mais peut-être est-ce le nom de cet créature. _viu, dit l'individu à la prononciation difficile en signe d'approbation. _Mais, ouvre ta bouche ? dit Stéphane. L'individu s'exécuta en versant une larme. Stéphane vit alors avec écœurement que la langue de l'individu était dangereusement mutilée. Cela devait le faire souffrir terriblement, et elle saignait toujours. Ça devait être ressent. _Quand est-ce arrivé ? dit Stéphane _tru taler, drakoulour, u srombis ! _Un zombie ? C'est un zombie qui t'a attrapé et qui t'a mangé la langue ? L'individu acquiesça. _C'est pas tout ça mais tu doit souffrir, je vais évité de te faire parler. Je doit cependant te trouver un nom. Stéphane remarqua alors un blason doré dans lequel un Vélociraptor chassait une proie plus petite. _Je t'appellerai Raptor ! Ça te va ? dit Stéphane. Son nouvel ami accepta. Ils se mirent alors tout les deux au centre du hall et la silence pris place. 23 H 38 Charlotte fit volte-face et pointa son arme devant elle. Mais personne n'était là. _Pas par là, dit SpartaK. Regarde sur le coté gauche du grand escalier, derrière la machine à écrire. Tu ne vois pas des formes humaines tapîent dans l'ombre ? _Pourquoi est-ce qu'il n'attaquent pas ? demanda Charlotte. _Peut-être qu'il ne nous ont pas encore vu ! _Mais si ont vous à vu ! Mais nous n'attaquons pas des amis ! dit une voix provenant de l'ombre. _Qui êtes vous ? demanda alors SpartaK, pas forcement rassuré. Montrez vous ! C'est alors que sorti de l'obscurité 3 personnes. Deux hommes et une femme. _Vous ici ? dit SpartaK agréablement surpris. _Qui sont-ils ? demanda Charlotte. _Je te présente 3 amis, Carine Valentine, une brillante chimiste, Vincent Burnside son petit ami et chimiste talentueux également et Thierry Wesker mon supérieur. Pourquoi êtes vous là grand Dieu ? Carine fut la première à prendre la parole. _Je travail souvent pour la police locale. Mon partenaire dans ma dernière affaire était un jeune homme nommé Stéphane Bluefield. Je devait rentrer ce soir à la maison. Ça faisait 3 semaines que j'étais dans cette ville. _Pourquoi ne m'as tu pas prévenu ? dit SpartaK, j'habite tout près tu le sais, je t'aurais invité à boire un verre !! _Je sais, mais ma mission était confidentiel et je ne devais en aucun cas en parler à mon entourage. Même Vincent ne savait pas ou j'étais. _Jusqu'à ce matin, me répondit Vincent. _C'est exact, dit Carine. Ma mission étant terminé, j'ai demandé à Vince de venir me chercher. Lorsqu'il est arrivé, j'étais avec Stéphane au commissariat. Nous avons entendu une explosion et avons été enfermé deux heures dans une salle sécurisé. Lorsque l'alarme se stoppa enfin, nous sommes sortîent. En cour de route une énorme araignée nous à barrer le chemin. Je me suis cru dans un film d'épouvante !! L'araignée à foncer sur nous et Stéphane m'a secouru. Il s'est fait mordre pour me protéger. Ses forces l'ont abandonner presque immédiatement. J'ai sorti une arme qu'il avait sur lui, un lance grenades, et j'ai lancé 3 cartouches inflammables sur l'arachnide. Elle est morte rapidement. Stéphane m'as alors dit de partir à la recherche de sa sœur qui viendrais sûrement si elle n'avait pas de ses nouvelles. Au vu de ses descriptions, je pense que c'est toi ? Charlotte acquiesça. _J'ai voulu l'aider mais il m'a menacé de son arme pour que je parte. En sortant. Des gens couraient dans tout les sens. Certains vomissaient, d'autres s'arrachaient des membres, je n'ai pas compris sur le coup. C'est alors que Vince est arrivé en voiture juste devant le commissariat. _J'avais fait au moins 20 fois le tour du pâté de maisons, dit Vince. J'étais bien content de la retrouver enfin. Nous étions près à fuir la ville, mais aux alentours de ce manoir un énorme camion citerne nous est rentré dedans, un zombie en est sorti et à foncer droit sur nous. Je n'avais qu'un petit couteau souvenir dans ma voiture. A force de visé la gorge, j'ai réussi à en venir à bout. Nous avons ensuite couru vers le manoir car des centaines de corbeaux volaient dans tout les sens et attaquaient tout le monde. Une fois dans le hall ou nous sommes actuellement, nous nous sommes cachés derrière l'escalier et avons guetter le moindre mouvement. Après quelques minutes d'inactivités, nous avons essayé d'ouvrir la porte de droite, mais elle donne également sur l'extérieur, des chiens sauvages ont bien failli rentrer. L'un d'eux avait sa tête coincée entres les portes. Elle à fini par exploser sous la pression de nos deux corps. Nous sommes ensuite monté à l'étage et avons pris aussi la porte droite. Celle ci menait sur un petit couloir au fond duquel se trouvait une porte. Après l'avoir ouverte. Nous nous sommes retrouvés sur un balcon pratiquement détruit. On voyait dehors par trois coté tellement l'explosion à été violente. Nous avons vu pas mal de zombies arrivés d'ici. Mais nous étions à l'abri, car beaucoup trop haut pour eux. Nous y avons trouvé des munitions pour plusieurs armes, Berretta, Lugers, Magnum, fusil à pompe et bien d'autre. Ont à également pris des rubans encreurs. Ça pourra peut-être nous servir. Nous avons été ensuite obligé de revenir à l'intérieur car les corbeaux sont revenus. Ils ont l'air de faire de grand cercle dans le ciel. Cela nous laisse des opportunités pour s'enfuir. _Plus maintenant, dit SpartaK, vu le nombre de zombies et de corbeaux autour de se manoir, il nous sera impossible de sortir vivant d'ici. Il faut trouver une autre sortie. _Il y en à une au sous-sol, dit Thierry. _Comment le sais tu ? rétorqua SpartaK. _J'ai bossé pour Parasol corp pendant deux mois pour revoir leurs réseaux informatiques. J'ai vu beaucoup d'endroit bizarre ici. C'est plein de passage secret et d'énigmes. Jusqu'au sous-sol, ça va, mais il parait qu'un immense laboratoire se trouve profondément enterré dans la terre. Celui là, je ne l'ai jamais vu. Ce ne sont que des rumeurs. _OK, je pense qu'on devrais y aller alors, dit Charlotte, car plus on attend, plus le nombre de zombies va augmenter. De plus, je doit aidé mon frère ! _Il est au commissariat ? demanda Thierry. _Oui, répondit Carine et Charlotte en même temps. C'est là que je l'est laissé, continua Charlotte, dans le hall d'entrée. _ Et bien la chance te sourit, continua Thierry, car le passage secret mène directement au commissariat. Malheureusement, pas dans le hall, mais dans le poste de garde qui se trouve derrière le commissariat. Il faudra également passé par un petit jardin. Mais pour l'atteindre, il faudra passer plusieurs salles. La sécurité est très importante chez Parasol Corp. _Ok, dit SpartaK, faisons le point des armes et des munitions. Moi j'ai un couteau de cuisine, deux uzis bien chargés et quelques chargeurs en plus ainsi qu'un fusil à pompe cassé. _J'ai deux Beretta pour lequel il me manque quelques munitions, dit Charlotte. _Attend, intervient Vincent, j'en est récupéré, tiens. _Merci beaucoup, je me sens un peu plus rassuré maintenant. Je possède aussi une arbalète. De plus j'ai un couteau de survie et un passe partout. Ça peut toujours servir. _Moi j'ai un lance-grenades avec plusieurs cartouches inflammables, dit Carine, j'ai aussi un Glock17 chargé à bloque. _J'ai des cartouches acides que je peut te donner, dit Thierry en les lui tendant. _Merci, j'accepte avec plaisir, répondit Carine. _Moi j'ai un H&K VP-70 Burst correctement chargé, et un Remington 1100, dit Vincent. _Et bien moi, dit Thierry, je me suis procuré un STI Eagle et un SIGPRO, j'ai aussi une paire de m100p mais pas bien chargé. _Bon, je pense que tout le monde est paré ! dit SpartaK. _Attend un seconde, intervient Thierry. Je pense que tu à remarquer que deux chemins s'offrent à nous. Je pense que nous devrions nous séparer et faire 2 groupes. _Et puis quoi encore, dit Carine. Pourquoi pas cinq groupes de 1 pendant qu'on y est !! _Carine n'a pas tort, dit SpartaK. Si nous nous séparons, nous n'arriverons pas à bien nous défendre. _Je sais, dit Thierry, mais la plupart des salles du haut donne sur les salles du bas. Il serait dommage de nous faire prendre en sandwich par des créatures supérieur en nombre. _Ok, tu n'as pas tord, dit SpartaK. Charlotte est moi, on passe par la double porte du bas, quant à vous, prenez en haut. Quoi qu'il arrive on garde le contact. Personne ne fonce n'importe ou, si on reste nombreux, ont s'en sortira. Carine, Vincent, et Thierry gravirent alors l'escalier et se placèrent devant la porte. SpartaK et Charlotte, en bas attendait le signal. _Nous sommes placés, dit Vincent. _Alors on y va ! Les mains se posèrent sur les poignées, les tournèrent, et,ensemble, ils poussèrent les portes.