00 H 15
Un cognement réveilla Stéphane. Drôle de bruit. Il se retourna légèrement et vit que Raptor c'était également endormi.
_J'espère qu'il souffre moins, se dit Stéphane.
Le cognement se fit de nouveau entendre. Stéphane se tourna vers la porte principale et la vit trembler. De la poussière et des gravats tombaient tout autour. La porte avait beau être solide, quelqu'un ou quelque chose avait l'air de vouloir entrer. Et il y arriverait, vu la puissance des coups.
Stéphane compris alors que son havre de paix n'avait été qu'éphémère et que le temps était venu de fuir.
Bien sur son état physique n'était pas au mieux, mais c'était une question de survie. Il réveilla Raptor, lui montra la porte et lui expliqua qu'il leurs faudrait partir d'ici. Raptor avait l'air terrorisé, mais il sorti tout de même ses deux lugers en Or et un sentiment de puissance le fit reprendre confiance en lui. Il possédait également un m93R accroché à sa ceinture.
Le voyant décidé, Stéphane repris également du poil de la bête et sorti, en plus de son magnum, son Western custom M37 qu'il accrocha sur son dos.
Soudain, la porte cède, et une troupe de liters soupline, la race la plus évolué des liters, foncent à travers le hall, derrière eux se trouve une quantité impressionnante de zombies, de chiens, de serpents, de rats, de corbeaux et aussi, une variété de créature jusqu'alors inconnu. Complètement courbé sur elle-même, avec plusieurs bras marchant un peu comme une araignée, avec la possibilité de marcher sur les murs et au plafond.
La porte n'étant pas trop grande, les monstres mettent un petit moment à envahir les lieux. Stéphane prend alors son M37 dans une main et son magnum dans l'autre et vise les monstres. Raptor le suis alors en déchargeant le contenu de ses lugers. Pendant qu'ils tirent, ils reculent et se retrouve bientôt contre le mur du fond. Seul issu, la porte la plus proche, sur leurs droite. Stéphane cours en avant, saute par dessus le bureau, sort sa carte et l'insère dans l'ordinateur, les portes se déverrouillent, plusieurs liters en profitent pour les ouvrir, pénétrant ainsi dans le hall avec leurs compagnons. Deux liters sautent en direction de Stéphane, mais Raptor veille. Celui ci plonge en avant et tire une rafale de balle dans leurs direction. L'un d'eux retombe immédiatement, et l'autre fini sa chute sur Stéphane. Le choc du poids du liters mort sur son corps à pour effet de lui casser plusieurs côtes. Stéphane hurle de douleurs, crache du sang, se débat pour s'échapper de son fardeau immonde. Raptor arrive, tir une nouvelle fois sur un liters sur sa gauche, pousse le cadavre au sol et libère Stéphane, celui ci à du mal à reprendre son souffle. Raptor saisi la carte et aide Stéphane à se relever. A ce moment un liters saute du balcon et donne un violent coup de griffe à Raptor qui l'envoie à 4 mètre de là, le rapprochant ainsi de la porte tant convoité. Celui ci se relève doucement, toujours en aidant Stéphane. Les deux amis de fortune sont terrorisés, des monstres sont tout autours d'eux, un grand nombre de cadavre gisent sur le carrelage mais la plupart sont encore debout et beaucoup sont encore à l'extérieur.
Enfin, Stéphane ouvre la porte et tombe nez à nez avec une énorme araignée. Celle-ci, contre toute attente, se jette violemment sur le liters le plus proche, plusieurs autres arachnides arrivent alors pour la seconder. Une guerre sans merci s'engage entre liters et araignées dans le hall du commissariat laissant le chant libre à nos compagnons. Ceux ci rentre alors dans le couloir, ferme la porte et la verrouille grâce à la carte et au boîtier de contrôle sur le mur. Il sont enfin à l'abri, mais pour combien de temps.
SpartaK
00 H 25
Vincent fut le premier à entrer sur le balcon d'une immense salle à manger. En entrant, il vit une bonne douzaine de corbeaux sur un meuble en hêtre vernis au fond de la pièce. Il parla alors d'une voix calme.
_Attention, corbeaux à midi.
Carine arriva alors à pas de loup suivit de très très près pas Thierry. SpartaK, ayant entendu l'avertissement s'empressa de prévenir Charlotte. Il pénétrèrent alors ensemble, la main dans la main. Vincent repéra une porte au fond à droite de la salle. Il interrogea SpartaK à l'étage inférieur pour savoir si il si trouvait également des issues. SpartaK vit alors au fond à gauche, un petit escalier en colimaçon près d'une cheminé au dessus de laquelle se trouvait un jolie blason doré. SpartaK avança alors prudemment vers celui-ci en tenant fermement la main de Charlotte. Vincent s'approcha du rebord pour voir l'avancé de ses camarades. Lorsqu'il fut près du bord, un morceau de ciment se détacha du sol et tomba à l'étage inférieur. Le bruit du contact eu pour effet d'exciter les corbeaux qui se mirent alors à tourbillonner au dessus de la salle. Soudain, l'un d'entre eux fonça tout droit sur Thierry, suivit de près par ses congénères. SpartaK et Charlotte, hors de porté de tir, foncèrent vers l'escalier et grimpèrent. Arrivé en haut, ils virent leur ami Thierry au sol attaqué par le groupe de volatiles. Ces proches camarades, terrorisés, ne surent quoi faire, pour la simple raison qu'en tirant sur les corbeaux, ils pouvaient également blessé Wesker. SpartaK sorti son couteau et couru vers les oiseaux. En attrapa un, et lui trancha la gorge.
Le voyant ainsi décidé, tous l'imitèrent. Les corbeaux, quoi que nombreux, ne furent pas le poids face à la détermination d'amis soumis à la volonté de s'en sortir. Thierry reposait maintenant sur le sol, blessé, les mains et les bras couverts de plaies se protégeant le visage. Vincent et Carine l'aidèrent à se relever. Son cœur battait terriblement vite, la peur l'avait saisi. Mais quelques instant plus tard, il reprit ses esprits. Ils purent enfin continuer leur chemin.
_Tu va mieux ? demanda Charlotte, inquiète.
_Oui, oui, c'est bon ! J'ai juste eux la trouille, et vais avoir du mal à me servir de mes bras. Mais ça va aller.
_Ne traînons pas, dit SpartaK, le temps est venu.
_Vous avez pris le blason ? demanda Thierry.
_Non, rétorqua SpartaK. Pourquoi faire ?
_Allez, le chercher. C'est une clé. Sans lui, nous n'irons pas très loin.
Charlotte descendit alors, récupéra le blason, puis remonta.
_C'est bon, je l'ai !! dit-elle.
_Alors allons-y cette fois, dit Carine.
Ils décidèrent alors de presser le pas, quelques soit le danger. Ils voulaient fuir le plus loin possible de cet enfer. SpartaK ouvrit alors la porte et ses amis le suivirent. Ils se trouvaient maintenant dans un couloir ou se trouvait deux portes. Au fond de ce couloir, un zombie dévorait les restes d'un humains. A l'arrivé de la fine équipe, il se releva, et avança vers eux.
Aligné dans le couloir, les uns à coté des autres, ils levèrent leurs armes et tirèrent chacun une balle. Le zombie s'écroula aussitôt. Ils se remirent en route jusqu'à la porte du fond, et y pénétrèrent. C'était une vaste chambre, de très bon goût. Ils la fouillèrent tous ensemble. Carine, alors occupé, à examiné un bureau, entendit un bruit venant de l'armoire derrière elle. Après avoir fait signe à ses copains, ils s'alignèrent de nouveau, et SpartaK ouvrit la porte et recula rapidement.
_HAAAAAAAAAAAAAA !!!!!
_Un homme ?? s'étonna Thierry.
_Ne tirez Ppaaaaas !!!!!!!
_C'est bon, n'ai pas peur !! On te fera pas de mal !! dit Vincent.
L'homme rassuré, pris tout de même un long moment avant d'être complètement sereint.
_Qui est tu ? demanda Charlotte.
_Je me nomme Met, Met Hunter, je suis responsable de la partie visible de se manoir.
_Tu veux dire jusqu'au souterrain ? demanda Thierry.
_Non, j'ai également accès au souterrain, mais je n'ai pas le droit d'accéder au laboratoire de recherche, dit Met.
_Quel est la taille de se manoir ? s'inquiéta SpartaK.
_La partie la plus vaste était celle de droite. Mais elle à été entièrement soufflée par l'explosion. Nous aurions tous pu fuir par là bas car c'est là que se trouvait l'héliport et la parking. Il n'y à plus aucun transport pour fuir.
_Et par le souterrain, nous pouvons nous rendre au commissariat ? vérifia Thierry.
_Effectivement, d'où tenez vous ça ? dit Met.
_J'ai bossé quelques temps ici.
_C'est ça, je reconnais votre visage.
_Bon, êtes vous armé ? demanda Charlotte.
_Non, je n'ai rien.
_J'ai bien essayé de prendre le fusil à pompe accroché dans la pièce voisine, mais lorsqu'on le décroche de son support, un étrange déclic retentit. J'ai peur qu'il y est un piège, raconta Met.
_OK, je propose qu'on aille le chercher, proposa Carine.
Ils sortirent alors tout les six. Heureux d'être de plus en plus nombreux dans cet enfer. Avec l'espoir que leurs nombres pourraient les sauver.
_Ou se trouve le fusil ? demanda SpartaK en marchant sur les restes du zombie qu'ils venaient de tuer.
_Dans cette salle, là, dit Met, la désignant du doigt.
Vincent se proposa pour ouvrir la porte. Une fois celle ci ouverte, ils se retrouvèrent dans un petit bureau au fond duquel se trouvait le fusil.
Met le repris, et fit constater à ses collègues la petite détonation.
_Ok, dit Charlotte. Pas de quoi s'inquiéter, c'est juste le bruit du mécanisme.
Ils avancèrent alors vers la porte en bois au fond du bureau et l'ouvrirent. Il se retrouvèrent dans une petite salle carrée dans laquelle se trouvait une autre porte mais créée dans un métal solide. Lorsqu'ils furent tous dans la salle. SpartaK ferma la porte. Soudain, les portes se verrouillèrent et le plafond se mit à descendre. SpartaK essaya de rouvrir la porte qu'il venait de fermer, mais rien à faire. Elle était bien bloqué. Les seules poignées se trouvaient à l'extérieur de la salle cubique. Thierry et Vincent frappaient la porte en métal et tiraient dessus. SpartaK et Met prenaient un léger élan pour s'abattre violemment sur la porte en bois. Les filles criaient à l'aide. Charlotte sorti sont passe-partout et tenta d'ouvrir la porte métallique. Mais rien à faire. Et le plafond descendait de plus en plus. Il devait se trouver maintenant à environ 2 mètres 50. D'ici moins d'une minute, tous serais perdu.
Soudain, un appel répondit au cri de Carine.
_Ou êtes vous ? criait une voix lointaine.
_Ici, entrez dans le bureau, puis la porte en bois, cria Carine de toute ses forces.
L'individu se trouvait maintenant dans le bureau, vit la porte en bois et essaya de l'ouvrir, mais même si la poignée était accessible, la porte restait verrouiller.
_Je n'arrive pas à ouvrir !!! dit l'homme, paniqué.
_Abaissez les leviers sur le tableau derrière vous !!! hurla SpartaK
L'homme s'exécuta, mais cela ne fit rien revenir à la normal. Et le plafond descendait toujours, il était maintenant à 1 mètre 80. Les plus grands commençaient déjà à se baisser.
_Il faut le même poids sur le socle, dit Vincent. Avez vous un fusil à pompe, hurla t'il à l'attention de l'individu.
_Non, aucunes armes. Je vais tenté de défoncer la porte.
Sur ce, il s'exécuta et commença à donner d'énormes coups sur la porte. Le plafond n'était plus qu'à 1 mètre 10. Tout le monde étaient accroupis. Soudain, l'individu frappa si fort du pied sur le bas de la porte que celle ci se brisa. SpartaK réussi à sortir, puis Vincent, le plafond descendait toujours quand Thierry sorti. Soudain, ils s'aperçurent que tout le monde n'aurais pas le temps de sortir car le plafond n'était plus qu'à 70 cm du sol et les 3 survivants étaient complètement allongés et rampaient vers la sortie. SpartaK posa son fusil cassé mais cela n'eut pour effet que de ralentir le processus. Le poids devais encore être différent. Carine venait de sortir. Soudain, SpartaK pris conscience que Charlotte n'était toujours pas dehors. Ni Met, qui possédait le fusil original qui pouvait stopper le mécanisme. Il couru et tendit la main à Charlotte qu'il tira de toute ses forces. Met avançait vers la sorti mais le plafond commençait à le toucher. Sa tête était enfin sorti, il continua à avancer. Vincent commença à le tirer mais soudain, Met hurla. Il tira une de ses jambes à l'extérieur. Elle sorti en sang. Son pantalon en lambeau. Il était coincé à partir de son genoux gauche. Charlotte lui tira le fusil et alla le poser sur le socle. Le mécanisme s'arrêta lorsqu'on entendit le genoux et le tibia de Met se briser.
Met hurlait de douleur, mais aucun moyen de faire remonter le piège. Il était coincé.
Thierry sorti son couteau, visa le bas de sa cuisse et la trancha à plusieurs reprises. Met s'évanouit tellement la douleur était grande. Thierry en profita pour le tirer violemment , arrachant par la même les quelques bouts de chair qui joignaient sa cuisse à son genoux.
Les individus présent ne surent que faire ou que dirent. Étonnés par le comportement de Thierry. Mais sachant que c'était sans doute la seule solution.
Une chose est sure, ils ne regarderaient plus jamais Thierry de la même façon.
Thierry demanda de l'aide à Vincent pour porter et poser Met sur le canapé du bureau. Il commenca alors à panser la blessure de Mr Hunter.
Carine fut la première à rompre le silence.
_Merci beaucoup, dit-elle à l'attention du sauveur.
Puis elle présenta toute l'équipe et expliqua leurs mésaventures jusqu'à leurs rencontres.
_Je me nomme AguSak. Je suis pilote. Lorsque l'explosion du manoir à eu lieu, j'ai perdu mon hélicoptère. J'ai erré dans le bois puis, plusieurs chiens m'ont poursuivi. Je me suis donc réfugié dans ce manoir il y à de cela 5 minutes.
_Vous étiez dehors, avec tout ces monstres, s'étonna SpartaK.
_Il n'y en avait pas beaucoup ou j'étais, mais j'étais équipé d'une paire de glock17 que j'ai perdu dans ma course, malheureusement. En entrant, je vous est entendu crier, et vous connaissez la suite, dit AguSak.
_Effectivement, on la connais, dit Charlotte. Comment va t'il ? s'inquiéta t'elle en se tournant vers Thierry.
_Il faudra l'emmener à l'hôpital le plus vite possible. Il à perdu beaucoup de sang, mais je pense qu'il peut tenir un bon moment. Il va, par contre, falloir le porter.
_Je m'en occupe, dit AguSak, je pense être le plus costaud d'entre vous, je me fatiguerais moins vite. De plus, je pense être le moins épuisé. Tout me désigne.
_Merci de ta sollicitude, intervint Vincent.
_Pas de problème.
Met revint alors à lui, regarde sa jambe, puis rabaisse sa tête et pleur. De tristesse et de peur plus que de souffrance. Il prend alors conscience que cette événement ne pourra plus être oublié et qu'il en gardera des séquelles à jamais.
AguSak vint vers lui et le prend sur son dos. Met comprend qu'il va être un fardeau. Il ne dit rien.
_Reprenons notre route, dit Carine.
_Ah oui, et par ou ? demanda Charlotte. Le seul passage est bloqué.
_Place ton blason sur le mur, enlève l'ancien et remplace le, intervient Thierry.
_Comment ça ? dit SpartaK. Il y à un passage ici, et tu ne nous prévient que maintenant.
_Je ne pensais pas qu'il y avait un piège dans la salle d'à coté. Et je connaissais un autre endroit ou poser ce blason. En le plaçant ici, ont serra bloqué dans le souterrain plus tard. Mais nous aviserons à ce moment là. Notre but, pour l'instant, c'est d'avancer, réagit Thierry, énergiquement.
_Tu aurais pu nous tenir informé de l'existence de se passage, continua SpartaK.
_Je te signal que j'ai bien failli crever moi aussi dans cette putain de salle, alors fait pas chier.
_Tu aurais pu tous nous faire tuer. Tu n'as pas le droit de décider seul dans une situation pareil ! La prochaine fois t'a intérêt à nous tenir informé des autres possibilités.
_Sinon quoi ? demanda Thierry, d'un ton amusé.
_Calmez-vous, intervint Vincent. Ont ne va pas commencer à s'engueuler. Notre but est de fuir d'ici alors vous deux fermer vos gueules et toi, place se putain de blason qu'on se casse !! dit-il en regardant Charlotte.
Celle-ci s'exécuta. Lorsque le blason pris la place de l'ancien, un pan de mur se déplaça vers la gauche donnant accès à un escalier.
Ils l'empruntèrent alors jusqu'à arriver dans un couloir dans lequel se trouvait deux portes et une cage d'ascenseur. Au fond du couloir se trouvait également une intersection. Thierry dit alors :
_L'ascenseur mène au souterrain. Je ne sais pas ou mène les deux portes, mais elles ne nous seront d'aucun secours. Prenons l'ascenseur.
Ils ouvrirent alors les grilles et s'aperçurent que la cabine ne pouvait accueillir que 3 personnes.
_Bon, nous ferons deux voyages, dit SpartaK.
SpartaK, AguSaK et Met montèrent dans l'ascenseur et le mirent en marche. Soudain, lorsque les grilles se refermèrent, un cri horrible retentit de l'intersection. 4 liters en sortirent et d'autres semblaient être présent mais toujours dissimulés.
_Ouvre la grille ! cria AguSak. Il faut aider les autres.
_C'est trop tard, dit SpartaK. L'ascenseur à commencer à descende.
Les 4 restants regardèrent les 3 autres descende lentement. Le regard de SpartaK n'ayant jamais quitté celui de Charlotte. Soudain, ils ne se virent plus.
Pendant la descente, SpartaK, AguSak et Met entendaient des coups de feu, des cris, des râles. Que pouvait-il bien se passer la haut. Et pourquoi cet ascenseur était il si lent. Vivement l'arrivé pour pouvoir remonter les aider.
Soudain l'ascenseur fit halte et les grilles intérieurs s'ouvrir. De l'autre coté de celle-ci se trouvaient une vingtaine de zombies déterminées. Ils commencèrent à passer les bras à travers les grilles extérieurs pour essayer d'attraper leurs possibles repas. SpartaK, Met et AguSak sortirent alors leurs armes et commencèrent à tirer à travers les grilles. Les zombies tombèrent les uns après les autres. Mais les tirs atteignirent bientôt le boîtier de commande de l'ascenseur. Celui-ci était maintenant irréparable. Plus possible d'aller secourir les autres là haut.
Une fois tout les zombies morts, SpartaK se risqua à l'extérieur pour s'apercevoir qu'il était une fois de plus dans un petit couloir au fond duquel se trouvait une seule et unique porte. Plus de danger pour le moment. SpartaK retourna à l'ascenseur et expliqua la situation à ces camarades.
Soudain, SpartaK cria dans la cage d'ascenseur.
_Vous m'entendez la haut ??
_Oui, dit une voix féminine très faible.
_L'ascenseur ne marche plus, il est cassé. Nous ne pouvons pas vous le renvoyer.
_Quoi, mais qu'est ce qu'on va faire !!!!
Soudain la voix se stoppa quelques instants.
_Vincent me dit de te dire qu'on est tous sains et saufs. Cependant, Thierry à disparu. Nous ne savons pas ou il est. On la même pas vu partir.
_OK, vous pensez trouvez une autre issue ?
_Il faudra bien !!! On se retrouve tous au commissariat !!
_OK, si dans 2 heures, personnes n'a de nouvelles des autres, c'est chacun pour soi.
_Dacodac ! à plus.
SpartaK, AguSak et Met se retrouve tout les trois dans un couloir jonché de cadavres de zombies. Ils s'avancent vers la porte. Carine, Vincent et Charlotte avancent vers l'intersection en passant par dessus six cadavres de liters. Une autre porte est cachée à droite. Leurs itinéraires comprend maintenant trois choix.
Mais ou est Thierry ?
SpartaK
00 H 30
Après une bonne dizaine de minutes, Stéphane se releva. Il était sous le choc bien sur, mais avait également peur. Son regard n'avait cessé de contempler ce couloir. Des toiles d'araignées gigantesques grimpait du sol au plafond. Le fond était à peine visible, mais Stéphane connaissait les lieux, il y passait le plus long moment de sa journée. Il regarda Raptor, l'air aussi terrorisé que lui.
_Je pense que nous devrions fuir, dit-il. Je connais un passage qui nous mènera jusqu'au jardin. D'ici nous aviseront.
Raptor acquiesça. Ils avancèrent jusqu'à la porte du fond, évitant les toiles. Stéphane regarda son armement avant d'ouvrir la porte. Son magnum était vide, et il ne lui restait plus que 2 cartouches dans son M37.
_Les temps sont durent, dit-il à Raptor, ironiquement. Tu à encore des munitions ?
_itl mkel rtretst douuaeu areurgg podkor mon emktrevintrezem e...
_C'est bon, te fatigue pas, j'comprend rien, fait voir, dit Stéphane.
Il regarda son armement.
_Il te reste deux chargeurs pour ton m93r, dit-il.
_ckrejdi !!! intervint Raptor, énervé.
_Par contre, tes lugers son vide. Nous voilà bien avancé, remarqua Stéphane. Bon allons-y.
Sur ces mots, plusieurs coups de feu retentirent dans la salle voisine. Stéphane ouvrit alors la porte et vit, dans ce parking, un groupe d'une douzaine de chiens encerclent 3 individus. Les chiens couraient dans tout les sens et les humains essayaient de les tuer avec des armes de bon calibre. Stéphane n'intervint pas, et retint Raptor. Ils n'avaient pas assez de munitions pour jouer les héros comme tout à l'heure. Les encerclés s'en sortiraient peut-être très bien. Mais, soudain, l'un des humains vida son chargeur et sorti son couteau, la peur le saisi et au vue de son regard terrifié, Stéphane ne pu qu'intervenir. Il courra le long des camions, suivi de près par Raptor qui venait d'emmagasiner un chargeur dans son m93r. Ce fut d'ailleurs ce dernier qui fit feu pour le premier assaut. Il dut pourtant utiliser 4 balles pour venir à bout d'un monstre canin. Les autres individus était déjà arrivé à en tuer 7. Les chiens était de moins en moins nombreux surtout que Stéphane venait d'en abattre un nouveau en une balle. Raptor vida le reste de son chargeur sur un autre chien, mais celui ci courait n'importe ou. Raptor pris son dernier chargeur et s'apprêta à les échanger quand le chien lui sauta dessus et le saisi à la gorge le faisant tomber en arrière. Le chien mordait de toute ses forces et Raptor fut obligé de lâcher son arme pour poser ses mains sur la tête du chien, espérant ainsi le repousser. Stéphane couru alors vers eux, posa tranquillement son fusil à pompe dans l'oreille du chien, et tira. La cervelle de la cible explosa alors. Stéphane et Raptor était ainsi couvert de sang et de débris organiques immondes. Stéphane donna un coup de pied sur le corps du chien libérant Raptor de son étreinte. Raptor se releva et toussa, les deux autres chiens s'enfuirent. Stéphane aida Raptor à se relever et lui rendit son arme. Raptor la prit et regarda les autres individus. L'un d'eux était au sol, agonisant. Sa mort était imminente. Stéphane les regarda, et vit qu'ils s'agissaient également d'agent de l'ordre. L'un d'eux, celui qui n'avait plus que son couteau, s'agenouilla et trancha la gorge de son ami, lui évitant ainsi la souffrance et la mutation en zombie. Après se geste il pleura. Stéphane s'approcha de lui quand soudain, un liters bondit du haut d'un camion sur le sol et couru vers Stéphane à toute allure. Raptor, sur sa trajectoire, bondit alors devant lu, leva son m93r et pressa la détente. Mais rien ne se passa. Avec toute cette agitation, Raptor avait oublier que son chargeur était vide, il compris, mais trop tard, son erreur. Le liters, arrivé à son niveau, lui assena un énorme coup d'un revers du bras, tout en continuant sa course. Raptor fut projeter en l'air et retomba à 8 mètres de là, mort, près d'un chargeur plein qui aurait pu lui sauver la vie. Stéphane, se mit à courir pour fuir le liters, ses armes était également vide, il n'avait pas d'autres choix. Les deux autres individus le suivirent, l'un d'eux n'aillant que son couteau à la main, il n'espérait pas grand chose. Mais le dernier des trois fuyards possédait toujours son arme, il se retourna alors et tira à l'aide de ses doubles mitraillettes sur le liters. Il eut alors la plus grand peur de sa vie lorsqu'il vit que derrière lui ne courrait pas qu'un liters, mais six, certains rampaient au plafond, d'autres sautaient de camion en camion. Et il fut pris comme nouvelle cible. Le liters principale était déjà mort quand les cinq autres arrivèrent. Ils se jetèrent tous en même temps, de cinq directions différentes vers l'individu central. Stéphane se retrouva bloqué avec son nouveau camarade au fond du parking, la sortie n'était pourtant pas loin, mais des camions militaires bloquaient le passage.
_Et merde, dit l'individu. Nous voilà fait comme des rats avec un simple couteau. Tout ça à cause de ces putains de camions militaires.
_Ces putains de camions militaires ? repris Stéphane. Mais t'es un putain d'génie.
Stéphane couru alors en direction d'un de ces fameux camions, l'ouvrit, et son visage s'éclaircit enfin.
_Tiens, prends en une dans cette autre camion, dit Stéphane, en sortant une Gatling chargée à bloque.
L'individu s'exécuta et ils se retrouvèrent bientôt, l'un près de l'autre, près à faire feu. C'est alors qu'ils constatèrent eux aussi que le nombre des invités c'était multiplié par cinq. Même si la peur les saisirent une nouvelle fois, la confiance revint losqu'ils constatèrent leurs armements.
Les liters était occupés à étriper sans ménagement celui qui avait cru pouvoir leur tenir tête. Ils avaient commencé par lui ouvrir le ventre, déversant ainsi son contenu sur le sol. L'un d'eux s'amusait alors à donné de violent coup de griffe sur chaque organe intérieur pour faire souffrir le pauvre humain. C'est d'ailleurs, lorqu'il lui sectionna l'intestin que ce dernier hurla le plus fort. Ces quatre membres était maintenant arrachés et, de loin, on ne voyait que dix énormes bras aux griffes tranchantes frapper le sol violemment. Lorsqu'ils s'arrêtèrent, la forme qui gisait au sol n'avait plus rien d'humaines. Les os devaient être tous écrasés. Il ne semblait rester sur le sol qu'une simple peau baignant dans un mélange de sang et d'organes broyés. Les liters, du sang partout, se retournèrent vers les deux derniers survivants. Ils coururent alors vers eux. Stéphane appuya alors sur la détente et son camarade l'imita. Les balles fusaient à une vitesse prodigieuse et la Gatling, posée sur un pied, effectuait des mouvements gracieux. Cela permettait à Stéphane et à son équipier de viser de tout les cotés. Les liters tombaient les uns après les autres. Les deux derniers se mirent alors à courir sur les toits des véhicules, chacun d'un coté. Stéphane tourna alors sa Gatling sur la droite et son équipier sur la gauche. Les liters bondirent pratiquement en même temps vers les humains, les griffes en avant. Ils firent feu, les liters furent stoppés net en l'air et retombèrent en une masse inanimée sur le sol. Les deux coéquipiers se regardèrent, et soupirèrent. Mais à partir de maintenant, ils n'abaisseront plus leurs gardes.
SpartaK
01 H 07
Carine pris la parole.
_Bon, nous ne sommes plus que trois. Je pense que cela réduit fortement nos chances de survie. Évitons de nous séparer.
_Ok, dit Vincent, mais maintenant, nous devons faire un choix.
_Explorons chaque salles, repris Carine, nous y trouverons peut-être des informations utiles.
Sur ce, Charlotte se dirigea, arme au point, vers la première porte de gauche, et l'ouvrit.
_Attend ! hurla Carine.
Mais comme rien ne se passa, elle retrouva son calme et dit.
_N'ouvre pas comme ça. Qui c'est ce qui peut se trouver derrière. Ce lieu regorge de monstres en tout genre, je t'en prie, prend garde.
_Excuse moi, dit Charlotte d'un air désolé.
Ils pénétrèrent dans la salle qui était un petit bureau. Ils le fouillèrent et trouvèrent quelques munitions, ainsi qu'un plan complet du manoir.
_Génial ! regardez, nous sommes là, dit Vincent, désignant du doigt un carré dessiné au fusain. La salle voisine est une chambre avec un petit balcon, l'autre donne sur deux escaliers. L'un monte sur le toit et l'autre descend au laboratoire au niveau -2.
_Dépêchons nous de descendre, cria Charlotte. Nous retrouverons peut-être les autres.
_Non, dit Carine. L'ascenseur permettait de descendre qu'au niveau -1. Pour le -2, il fallait une carte.
_J'en conclu donc qu'une fois arrivé en bas de l'escalier, ils nous faudra aussi une carte pour accéder au laboratoire, intervint Vincent.
_La personne qui avait son bureau et sa chambre ici devait justement en protéger l'accès, dit Carine. Fouillons plus en profondeur, je suis sur qu'on trouvera quelque chose d'utile. Charlotte, continue à chercher ici. Vincent et moi allons fouiller la chambre.
Sur ces mots, ils quittèrent le bureau et ouvrir la porte de la chambre avec précaution.
Soudainement, de nombreux corbeaux s'envolèrent par la vitre brisée. L'émotion fut grande, mais Carine et Vincent reprirent leurs esprits. Ils fouillèrent grandement les lieux, et trouvèrent, en plus de certaines munitions incompatibles avec leurs arsenals, un "passe contamination".
Ils sortirent alors de la chambre en la refermant calmement, et rejoignirent Charlotte à laquelle ils montrèrent leur heureuse découverte.
_Alors, descendons, dit Vincent. D'après ce plan, nous avons visité entièrement ce manoir. Du moins, ce qu'il reste possible de visiter.
Ils prirent alors l'escalier, et s'enfoncèrent marche après marche dans les ténèbres. La lumière étant de plus en plus faible.
Arriver en bas, Carine inséra la carte d'accès dans le boîtier de commande près de la porte. Celle-ci émis un bip, puis la lumière passa du rouge au vert, et un bruit de déverrouillage électronique ce fit entendre. Elle ouvrit alors la porte doucement et pénétra la première dans ce nouveau lieu.
A peine fut-elle rentré qu'un coup de feu retentit la faisant reculer. Du sang se mit à couler de son bras gauche et elle tomba au sol pendant qu'un résonnement de pas fuyant sur des marches en fer se faisant entendre. Vincent entra alors rapidement et s'agenouilla auprès de sa bien aimé pendant que Charlotte courrait dans cette immense salle métallique, remplie de tuyau et de valve, à la recherche de l'agresseur.
_Ça va, dit Carine, bégayant. Je vais bien, ne t'inquiète pas.
_Laisse moi voir, dit Vincent, les yeux humides, en ouvrant le gilet de Carine. Mais, c'est une balle de STI Eagle. Quelqu'un veux nous empêcher de continuer notre route.
Charlotte visitait les lieux. Elle découvrit qu'elle était dans une énorme salle carrée, comprenant deux issues, à l'opposé l'une de l'autre. La première étant l'escalier qu'elle venait d'emprunter, le chemin paraissaient clair et net. Cependent, au centre de la salle, se trouvait une espèce de bureau fermé par une porte blindée. Elle approcha, et appuya sur un bouton. Cette action eu pour effet d'ouvrir la porte et elle fut alors fasse à un étrange individu.
Celui-ci était de petite taille et un peu rondouillard. Il portait des petites lunettes rondes et tenait à la main un flacon comportant un produit liquide violet sur lequel une étiquette portant la lettre G était collée. L'individu ne semblait pas surpris de recevoir une visite humaine, mais la personne devant lui n'était certainement pas celle qu'il attendait. Si seulement il attendait quelqu'un.
_Qui êtes vous ? demanda t'il. Et que faites vous ici ?
_Je m'appelle Charlotte, je suis à la recherche de mon frère, et vous ?
_Tasslehoff, Dimitri Tasslehoff, cela est mon nom. Je suis chercheur dans ces lieux.
_Ces lieux sont sous l'emprise du mal. Pourquoi êtes vous restez ici ?
_Mais tout simplement parceque dehors il y a beaucoup zombies et créatures diverses, voilà pourquoi Dimitri reste ici.
_Si vous restez ici, vous allez finir par vous faire tuer ou par devenir un monstre vous aussi.
_Justement, l'échantillon que je tiens dedans mes mains et très bon. Je l'utiliserai en dernier recours et je deviendrai le plus fort des monstres. Ainsi, je ne décèderait pas, mais muterais.
_Muter ? qu'est-ce que vous racontez ?
_Vous pas connaître beaucoup de chose. Vous pas au courant des recherches éfféctués ici. Comme nous allons tous mourir, je peut vous expliquer.
_Allez y, dit Vincent pénétrant dans la salle avec Carine à ses cotés.
_Vous être très nombreux. Bien ! Cela vous permettra de rester longtemps vivant.
_Expliquez nous ce qui se passe ici, demanda Carine.
_C'est simple. Parasol Corp est laboratoire pharmaceutique pour tout le monde. Ce n'est, en vrai, qu'une simple façade. Parasol Corp est en fait énorme multinationale qui possède beaucoup locaux à travers le monde. Ici, mais aussi États-Unis, à Raccoon City pour être précis, ainsi qu'en Russie. Même sur île lointaine et dans glaces éternelles des pôles. Ils sont implantés partout et leurs but est simplement créer nouvel arsenal militaire en vue de probable guerre biologique et bactériologique. Ici, nous travaillons à l'élaboration d'un projet nommé "Nemesis". Au États-Unis, ce projet se nomme "Tyran" et est légèrement différent. En fait, ce n'est que structure de base qui différent. Vous comprenez ?
_J'avoue que j'ai du mal ! dit Vincent. Pourquoi cette façade ? Pourquoi s'implanter en ville. Vous pourriez faire ça en cachette, loin de tout et s'en être connu du grand public !!
_Non, mon cher, et puis d'ailleurs, nous sommes à la limite de la cité. Assez loin de tout pour effectuer travail dans bonnes conditions. Parasol Corp à besoin effectuer test sur cobayes et puis à besoin de beaucoup argent pour ses recherches. Multinationales coté en bourse, rien de mieux pour avoir fond nécessaire à la réalisation de produits de tests. Vous savez, ingénieur et chercheur comme moi coûtent très cher.
_Vous venez avec nous ? nous ne devrions pas rester ici ! proposa Charlotte.
_Quoi ? hurla Vincent. Faire venir se malade avec nous ? ça va pas non, il est en train de dire que tout est de sa faute.
_Rien n'est ma faute, se défendit Tasslehoff. Cette après midi, beaucoup de visiteurs venir ici. Salle des machines exploser, faute à personne. Pas intentionnel. Moi n'y suis pour rien. Par contre, oui, j'ai créé beaucoup de virus, et ceux-ci ont contribué à la mutation des humains et des animaux, mais aussi des plantes. Je ne veux pas la souffrance, mais j'aime mon travail, la recherche est ce qu'il y à de plus beau. Qu'elle soit bien ou mal utilisé n'est plus mon problème.
_Vous voulez fuir avec nous ? fini par demander Vincent.
_Avec joie, répondit Tasslehoff. Cela me permettra de voir ce que mes créations ont fait à leurs hôtes. Mais qu'est-ce qu'à la madame ?
_On vient de lui tirer dessus, dit Vincent. Le tireur s'est enfui. Je pensais que c'était vous.
_Je ne possède pas d'armes. Enfin, tout ces flacons contiennent des armes terribles. Plus puissantes que vous armes à feu. Je vais prendre toutefois dans le casier le lance-grenades. Je pari qu'il me serra utile. En plus j'ai petite série de cartouches diverses de mon invention.
_Alors allons-y, dit Charlotte.
Ils partirent alors en direction de la porte opposée.
_Qu'allons nous trouver par là ? demanda Carine à Tasslehoff tout en se tenant le bras.
_Plusieurs couloirs, identique les uns par rapport aux autres, avec de chaque cotés, des bureaux et des salles d'expérimentations. Je vous déconseille de les ouvrir car êtres qui doivent les peuplés aujourd'hui sont sûrement beaucoup plus dangereux que ceux déjà affrontés.
_Y'a t'il une issue ? demanda Vincent. Nous devons retrouver des amis au commissariat.
_Après couloirs, répondit Tasslehoff, vous trouverez grande salle centrale ronde. Elle se trouve deux niveaux sous le hall du manoir. D'ici, nous trouverons chemin menant à monte-charge qui donne sur jardin. Commissariat se trouve à 1km au fond du jardin. Chemin dur et chaotique. Pas droit. Pas facile pour la dame blessée.
_Je m'appelle Carine, dit-elle.
_Oh, présentation, répondit Tasslehoff, honoré.
Arrivé devant la porte, Vincent posa sa main sur la poignée, quand soudain...
SpartaK
01 H 10
AgusaK ouvrit la porte.
SpartaK ayant décidé de porter un peu Met sur son dos pour ne pas abuser de la sympathie du nouvel arrivant restait quelque peu en arrière.
_Il fait vachement sombre la dedans, dit AgusaK pénétrant dans la salle voisine. Les murs ont l'air assez proche, on dirait un petit couloir.
_Aucun bruit suspect ? demanda Met.
_Non, rien, répondit aussitôt AgusaK.
_C'est peut-être pas bon signe justement, répliqua SpartaK.
_Pour une fois qu'il y à un peu de calme dans ce manoir de fou, reprit Met.
_Je commence à mieux y voir, dit AgusaK. C'est effectivement un couloir, il à l'air très long et même le plafond à l'air extrêmement haut.
_Nous avons pas mal descendu, dit SpartaK. Nous devons bien être à 15 ou 20 mètres du rez-de-chaussée.
_Bon, je passe devant, dit Agusak. Suivez moi, et ne vous éloignez pas trop.
_Ça risque pas, dit Met, piteux.
_Évitons les sarcasmes, c'est pas le moment, reprit SpartaK.
Ils commencèrent alors à pénétrer dans le sombre couloir. Mais, dans cette obscurité constante dont la seule source lumineuse semblait venir du haut, quelque chose les mettaient mal à l'aise. Un sentiment de surveillance. Comme si quelqu'un les épiaient.
Ils marchaient depuis quelques minutes maintenant. Le passage était de plus en plus étroit et des tuyaux de vidange leurs barraient le chemin. Cela était d'autant plus dur pour SpartaK, qu'il portait Met. Chaque enjambées étaient de plus en plus pénible. Mais il ne dit rien. La fatigue qu'il éprouvait n'était rien comparé à la souffrance de son ami blessé.
En essayant de se rattraper sur un pan de mur, pour éviter de basculer, SpartaK senti soudain, sous la paume de sa main, un mouvement. Cela semblait être un insecte qui devait se balader dans les canalisations. Ils commencèrent à être inquiet lorsqu'un bourdonnement de plus en plus fort leurs parvint. Les murs semblaient bouger. Des étincelles brillaient au dessus d'eux par intermittence comme si quelque chose passait sans arrêt devant la source de lumière.
Soudain, une lumière apparu au fond du couloir, il en voyait enfin la fin. Plus ils avançaient, plus ils voyaient correctement. Mais quand la vue leurs revint de façon correct. Ils contemplèrent avec dégout la source de se bourdonnement horrible. Devant eux se trouvaient une espèce de ruche géante dont d'énormes guêpes protégeaient l'accès. Derrière cette ruche, à quelques dizaines de mètres, se trouvaient une double porte en bois craquelée. De cette porte sortaient des serpents d'un bon mètre de long chacun.
A leurs niveaux, il n'y avait pas l'air d'avoir de danger. Mais ils comprirent qu'au dessus d'eux se trouvaient une énorme quantité de guêpes et que même, si ils arrivaient à passer sous la ruche, qui devait se trouver maintenu à un mètre du sol, ils devraient faire face à bon nombre de serpent.
_Faisons demi-tour, dit SpartaK.
_Pour allez où ? demanda Met. L'ascenseur est cassé et c'est le seul chemin. On à pas beaucoup de choix.
_Met à raison, dit AgusaK. Si nous revenons en arrière, nous n'avons aucun moyen de nous en sortirent. Ils faut avancer, à tout prix.
_Comment pouvons nous passer ? reprit SpartaK.
_Nous allons y aller tout doucement, et passer en dessous en rampant. Puis nous courrerons jusqu'à la porte en espérant que les serpent n'aient pas le temps de nous sauter dessus, dit AgusaK.
_Tu parles d'un plan, dit SpartaK.
_C'est le seul qu'on est, intervint Met. Allons y !
Sur ce, ils continuèrent leur chemin. Arrivé à proximité de la ruche, AgusaK se baissa, rampa, et se retrouva de l'autre coté sans trop d'effort. Il avança vers les serpents. Pendant ce temps, Spartak se baissa et rampa également, avec Met sur son dos. Mais, en passant en dessous de la ruche, Met toucha accidentellement le bas de la ruche. Une agitation soudaine eu lieu, mais rien de bien grave. Cependant, en se relevant, SpartaK trébucha et tomba nez à nez avec un serpent qui eu un mouvement de recul. Il ouvrit la gueule et s'apprêta à mordre. SpartaK recula et Met toucha violemment la ruche. Les guêpes se mirent alors à voltiger dans tout les sens et certaines plongèrent direction de Met et SpartaK. Ceux ci se retrouvèrent alors bloqué par des guêpes et des serpents énervés. AgusaK, qui avait bien évidement assisté à la scène, vit, sur un socle près de la porte, un lance-flamme. Il couru dans sa direction, s'en empara, et vérifia son contenu. Par bonheur, il était plein. Il couru alors dans la direction de ses deux amis.
Pendant ce temps, SpartaK venait de se faire mordre au mollet droit par un serpent. Un autre venait de sauter sur sa cuisse gauche et lui enfonça ses crocs en y déversant son venin. Presqu'aussitôt, SpartaK fut pris de nausées et de vertiges. Il s'accroupit et des guêpes foncèrent alors vers Met. L'une d'elles lui enfonça son dard d'une dizaine de centimètre à travers la gorge. Met avait énormément de mal à respirer et perdait beaucoup de sang. AgusaK arriva enfin et vit environ 5 serpents mordre SpartaK sur plusieurs parti du corps. Il vit également que Met était en mauvaise posture. Il visa alors en l'air et tira des rafales de flammes sur la ruche et les guêpes environnantes. Celles-ci préférèrent fuir. Il visa alors le sol et mis feu à bon nombre de serpents. Ceux qui était occupé à mordre le corps sans signe de vie de SpartaK fuirent également. Il attrapa SpartaK par le bras, et le tira. Met, étant accroché à SpartaK, fut traîné également. AgusaK ouvrit la porte et y fit glisser les corps de ses amis. Il verrouilla l'entrée et contempla l'étrange lieu dans lequel il se trouvait.
C'était un sorte de vieille cave à vin. Des centaines de tombeaux peuplaient les lieux. Il sépara le corps de SpartaK de celui de Met et les assis tout deux cote à cote. Ils reprirent connaissances, mais n'arrivait pas à parler. Leurs pupilles étaient dilatées. De la bave leurs coulaient sur le coin de la bouche et du sang giclaient de chaque plaies. Le sang dégageait une odeur chimique. AgusaK se protégea les yeux. Soudain, un énorme cri, comme un soufflement, retentit. D'entre les tonneaux sortit un serpent géant d'environ 15 mètres de long. Il leva la tête et frappa vers AgusaK qui évita l'assaut de justesse en sautant sur le coté. Il pointa son lance-flamme vers le monstre et pressa la détente. Les flammes jaillirent vers le serpent qui recula vers sa tanière. Celui-ci tentait de mordre à travers le feu, mais son instinct le poussait à reculer.
Malheureusement, l'arme fut vidé entièrement au bout de quelques secondes. AgusaK compris alors que le lance-flammes aurait du être réservé à ce monstre et non aux guêpes et aux serpents qui peuplaient le couloir précédent.
Le serpent avança alors vers AgusaK qui recula en jetant le lance-flamme au sol. Le serpent pris alors un peu de recul et frappa d'une manière extrêmement brutale en direction d'AgusaK lorsqu'il fut stoppé net dans son élan. Du sang lui coulait le long de l'œil gauche. Il se tourna alors dans la direction du tir.
Met était debout, sur son unique jambe, et tenait son fusil à pompe. Celui qu'il avait récupéré sur le socle du bureau à l'étage supérieur. Il visa de nouveau le serpent et tira. Une explosion de sang jailli alors du corps de la bête à l'endroit de l'impact. Le serpent hurla de douleur et de colère et fonça vers son agresseur. Met continua de tirer sans relâche mais la bête fut bientôt sur lui. Il se courba en arrière et attrapa Met dans sa gueule.
Une fois sa proie bien coincer il se mit à la secouer fort en espérant la déchiqueter, mais Met, toujours en vie, sa tête, son torse et ses bras à l'intérieur de la gueule du serpent, pointa son fusil en l'air et tira pour la dernière fois, en réunissant ses dernières forces. Ceci eu pour effet de faire explosé le crâne de la bête qui fit tomber une dernière fois ses mâchoires sur le corps de Met. Une fois de trop.
La bête tomba, entraînant Met dans sa chute. Une fois sur le sol, ils étaient mort tout les deux.
SpartaK
00 H 15 Un cognement réveilla Stéphane. Drôle de bruit. Il se retourna légèrement et vit que Raptor c'était également endormi. _J'espère qu'il souffre moins, se dit Stéphane. Le cognement se fit de nouveau entendre. Stéphane se tourna vers la porte principale et la vit trembler. De la poussière et des gravats tombaient tout autour. La porte avait beau être solide, quelqu'un ou quelque chose avait l'air de vouloir entrer. Et il y arriverait, vu la puissance des coups. Stéphane compris alors que son havre de paix n'avait été qu'éphémère et que le temps était venu de fuir. Bien sur son état physique n'était pas au mieux, mais c'était une question de survie. Il réveilla Raptor, lui montra la porte et lui expliqua qu'il leurs faudrait partir d'ici. Raptor avait l'air terrorisé, mais il sorti tout de même ses deux lugers en Or et un sentiment de puissance le fit reprendre confiance en lui. Il possédait également un m93R accroché à sa ceinture. Le voyant décidé, Stéphane repris également du poil de la bête et sorti, en plus de son magnum, son Western custom M37 qu'il accrocha sur son dos. Soudain, la porte cède, et une troupe de liters soupline, la race la plus évolué des liters, foncent à travers le hall, derrière eux se trouve une quantité impressionnante de zombies, de chiens, de serpents, de rats, de corbeaux et aussi, une variété de créature jusqu'alors inconnu. Complètement courbé sur elle-même, avec plusieurs bras marchant un peu comme une araignée, avec la possibilité de marcher sur les murs et au plafond. La porte n'étant pas trop grande, les monstres mettent un petit moment à envahir les lieux. Stéphane prend alors son M37 dans une main et son magnum dans l'autre et vise les monstres. Raptor le suis alors en déchargeant le contenu de ses lugers. Pendant qu'ils tirent, ils reculent et se retrouve bientôt contre le mur du fond. Seul issu, la porte la plus proche, sur leurs droite. Stéphane cours en avant, saute par dessus le bureau, sort sa carte et l'insère dans l'ordinateur, les portes se déverrouillent, plusieurs liters en profitent pour les ouvrir, pénétrant ainsi dans le hall avec leurs compagnons. Deux liters sautent en direction de Stéphane, mais Raptor veille. Celui ci plonge en avant et tire une rafale de balle dans leurs direction. L'un d'eux retombe immédiatement, et l'autre fini sa chute sur Stéphane. Le choc du poids du liters mort sur son corps à pour effet de lui casser plusieurs côtes. Stéphane hurle de douleurs, crache du sang, se débat pour s'échapper de son fardeau immonde. Raptor arrive, tir une nouvelle fois sur un liters sur sa gauche, pousse le cadavre au sol et libère Stéphane, celui ci à du mal à reprendre son souffle. Raptor saisi la carte et aide Stéphane à se relever. A ce moment un liters saute du balcon et donne un violent coup de griffe à Raptor qui l'envoie à 4 mètre de là, le rapprochant ainsi de la porte tant convoité. Celui ci se relève doucement, toujours en aidant Stéphane. Les deux amis de fortune sont terrorisés, des monstres sont tout autours d'eux, un grand nombre de cadavre gisent sur le carrelage mais la plupart sont encore debout et beaucoup sont encore à l'extérieur. Enfin, Stéphane ouvre la porte et tombe nez à nez avec une énorme araignée. Celle-ci, contre toute attente, se jette violemment sur le liters le plus proche, plusieurs autres arachnides arrivent alors pour la seconder. Une guerre sans merci s'engage entre liters et araignées dans le hall du commissariat laissant le chant libre à nos compagnons. Ceux ci rentre alors dans le couloir, ferme la porte et la verrouille grâce à la carte et au boîtier de contrôle sur le mur. Il sont enfin à l'abri, mais pour combien de temps.
SpartaK
00 H 25 Vincent fut le premier à entrer sur le balcon d'une immense salle à manger. En entrant, il vit une bonne douzaine de corbeaux sur un meuble en hêtre vernis au fond de la pièce. Il parla alors d'une voix calme. _Attention, corbeaux à midi. Carine arriva alors à pas de loup suivit de très très près pas Thierry. SpartaK, ayant entendu l'avertissement s'empressa de prévenir Charlotte. Il pénétrèrent alors ensemble, la main dans la main. Vincent repéra une porte au fond à droite de la salle. Il interrogea SpartaK à l'étage inférieur pour savoir si il si trouvait également des issues. SpartaK vit alors au fond à gauche, un petit escalier en colimaçon près d'une cheminé au dessus de laquelle se trouvait un jolie blason doré. SpartaK avança alors prudemment vers celui-ci en tenant fermement la main de Charlotte. Vincent s'approcha du rebord pour voir l'avancé de ses camarades. Lorsqu'il fut près du bord, un morceau de ciment se détacha du sol et tomba à l'étage inférieur. Le bruit du contact eu pour effet d'exciter les corbeaux qui se mirent alors à tourbillonner au dessus de la salle. Soudain, l'un d'entre eux fonça tout droit sur Thierry, suivit de près par ses congénères. SpartaK et Charlotte, hors de porté de tir, foncèrent vers l'escalier et grimpèrent. Arrivé en haut, ils virent leur ami Thierry au sol attaqué par le groupe de volatiles. Ces proches camarades, terrorisés, ne surent quoi faire, pour la simple raison qu'en tirant sur les corbeaux, ils pouvaient également blessé Wesker. SpartaK sorti son couteau et couru vers les oiseaux. En attrapa un, et lui trancha la gorge. Le voyant ainsi décidé, tous l'imitèrent. Les corbeaux, quoi que nombreux, ne furent pas le poids face à la détermination d'amis soumis à la volonté de s'en sortir. Thierry reposait maintenant sur le sol, blessé, les mains et les bras couverts de plaies se protégeant le visage. Vincent et Carine l'aidèrent à se relever. Son cœur battait terriblement vite, la peur l'avait saisi. Mais quelques instant plus tard, il reprit ses esprits. Ils purent enfin continuer leur chemin. _Tu va mieux ? demanda Charlotte, inquiète. _Oui, oui, c'est bon ! J'ai juste eux la trouille, et vais avoir du mal à me servir de mes bras. Mais ça va aller. _Ne traînons pas, dit SpartaK, le temps est venu. _Vous avez pris le blason ? demanda Thierry. _Non, rétorqua SpartaK. Pourquoi faire ? _Allez, le chercher. C'est une clé. Sans lui, nous n'irons pas très loin. Charlotte descendit alors, récupéra le blason, puis remonta. _C'est bon, je l'ai !! dit-elle. _Alors allons-y cette fois, dit Carine. Ils décidèrent alors de presser le pas, quelques soit le danger. Ils voulaient fuir le plus loin possible de cet enfer. SpartaK ouvrit alors la porte et ses amis le suivirent. Ils se trouvaient maintenant dans un couloir ou se trouvait deux portes. Au fond de ce couloir, un zombie dévorait les restes d'un humains. A l'arrivé de la fine équipe, il se releva, et avança vers eux. Aligné dans le couloir, les uns à coté des autres, ils levèrent leurs armes et tirèrent chacun une balle. Le zombie s'écroula aussitôt. Ils se remirent en route jusqu'à la porte du fond, et y pénétrèrent. C'était une vaste chambre, de très bon goût. Ils la fouillèrent tous ensemble. Carine, alors occupé, à examiné un bureau, entendit un bruit venant de l'armoire derrière elle. Après avoir fait signe à ses copains, ils s'alignèrent de nouveau, et SpartaK ouvrit la porte et recula rapidement. _HAAAAAAAAAAAAAA !!!!! _Un homme ?? s'étonna Thierry. _Ne tirez Ppaaaaas !!!!!!! _C'est bon, n'ai pas peur !! On te fera pas de mal !! dit Vincent. L'homme rassuré, pris tout de même un long moment avant d'être complètement sereint. _Qui est tu ? demanda Charlotte. _Je me nomme Met, Met Hunter, je suis responsable de la partie visible de se manoir. _Tu veux dire jusqu'au souterrain ? demanda Thierry. _Non, j'ai également accès au souterrain, mais je n'ai pas le droit d'accéder au laboratoire de recherche, dit Met. _Quel est la taille de se manoir ? s'inquiéta SpartaK. _La partie la plus vaste était celle de droite. Mais elle à été entièrement soufflée par l'explosion. Nous aurions tous pu fuir par là bas car c'est là que se trouvait l'héliport et la parking. Il n'y à plus aucun transport pour fuir. _Et par le souterrain, nous pouvons nous rendre au commissariat ? vérifia Thierry. _Effectivement, d'où tenez vous ça ? dit Met. _J'ai bossé quelques temps ici. _C'est ça, je reconnais votre visage. _Bon, êtes vous armé ? demanda Charlotte. _Non, je n'ai rien. _J'ai bien essayé de prendre le fusil à pompe accroché dans la pièce voisine, mais lorsqu'on le décroche de son support, un étrange déclic retentit. J'ai peur qu'il y est un piège, raconta Met. _OK, je propose qu'on aille le chercher, proposa Carine. Ils sortirent alors tout les six. Heureux d'être de plus en plus nombreux dans cet enfer. Avec l'espoir que leurs nombres pourraient les sauver. _Ou se trouve le fusil ? demanda SpartaK en marchant sur les restes du zombie qu'ils venaient de tuer. _Dans cette salle, là, dit Met, la désignant du doigt. Vincent se proposa pour ouvrir la porte. Une fois celle ci ouverte, ils se retrouvèrent dans un petit bureau au fond duquel se trouvait le fusil. Met le repris, et fit constater à ses collègues la petite détonation. _Ok, dit Charlotte. Pas de quoi s'inquiéter, c'est juste le bruit du mécanisme. Ils avancèrent alors vers la porte en bois au fond du bureau et l'ouvrirent. Il se retrouvèrent dans une petite salle carrée dans laquelle se trouvait une autre porte mais créée dans un métal solide. Lorsqu'ils furent tous dans la salle. SpartaK ferma la porte. Soudain, les portes se verrouillèrent et le plafond se mit à descendre. SpartaK essaya de rouvrir la porte qu'il venait de fermer, mais rien à faire. Elle était bien bloqué. Les seules poignées se trouvaient à l'extérieur de la salle cubique. Thierry et Vincent frappaient la porte en métal et tiraient dessus. SpartaK et Met prenaient un léger élan pour s'abattre violemment sur la porte en bois. Les filles criaient à l'aide. Charlotte sorti sont passe-partout et tenta d'ouvrir la porte métallique. Mais rien à faire. Et le plafond descendait de plus en plus. Il devait se trouver maintenant à environ 2 mètres 50. D'ici moins d'une minute, tous serais perdu. Soudain, un appel répondit au cri de Carine. _Ou êtes vous ? criait une voix lointaine. _Ici, entrez dans le bureau, puis la porte en bois, cria Carine de toute ses forces. L'individu se trouvait maintenant dans le bureau, vit la porte en bois et essaya de l'ouvrir, mais même si la poignée était accessible, la porte restait verrouiller. _Je n'arrive pas à ouvrir !!! dit l'homme, paniqué. _Abaissez les leviers sur le tableau derrière vous !!! hurla SpartaK L'homme s'exécuta, mais cela ne fit rien revenir à la normal. Et le plafond descendait toujours, il était maintenant à 1 mètre 80. Les plus grands commençaient déjà à se baisser. _Il faut le même poids sur le socle, dit Vincent. Avez vous un fusil à pompe, hurla t'il à l'attention de l'individu. _Non, aucunes armes. Je vais tenté de défoncer la porte. Sur ce, il s'exécuta et commença à donner d'énormes coups sur la porte. Le plafond n'était plus qu'à 1 mètre 10. Tout le monde étaient accroupis. Soudain, l'individu frappa si fort du pied sur le bas de la porte que celle ci se brisa. SpartaK réussi à sortir, puis Vincent, le plafond descendait toujours quand Thierry sorti. Soudain, ils s'aperçurent que tout le monde n'aurais pas le temps de sortir car le plafond n'était plus qu'à 70 cm du sol et les 3 survivants étaient complètement allongés et rampaient vers la sortie. SpartaK posa son fusil cassé mais cela n'eut pour effet que de ralentir le processus. Le poids devais encore être différent. Carine venait de sortir. Soudain, SpartaK pris conscience que Charlotte n'était toujours pas dehors. Ni Met, qui possédait le fusil original qui pouvait stopper le mécanisme. Il couru et tendit la main à Charlotte qu'il tira de toute ses forces. Met avançait vers la sorti mais le plafond commençait à le toucher. Sa tête était enfin sorti, il continua à avancer. Vincent commença à le tirer mais soudain, Met hurla. Il tira une de ses jambes à l'extérieur. Elle sorti en sang. Son pantalon en lambeau. Il était coincé à partir de son genoux gauche. Charlotte lui tira le fusil et alla le poser sur le socle. Le mécanisme s'arrêta lorsqu'on entendit le genoux et le tibia de Met se briser. Met hurlait de douleur, mais aucun moyen de faire remonter le piège. Il était coincé. Thierry sorti son couteau, visa le bas de sa cuisse et la trancha à plusieurs reprises. Met s'évanouit tellement la douleur était grande. Thierry en profita pour le tirer violemment , arrachant par la même les quelques bouts de chair qui joignaient sa cuisse à son genoux. Les individus présent ne surent que faire ou que dirent. Étonnés par le comportement de Thierry. Mais sachant que c'était sans doute la seule solution. Une chose est sure, ils ne regarderaient plus jamais Thierry de la même façon. Thierry demanda de l'aide à Vincent pour porter et poser Met sur le canapé du bureau. Il commenca alors à panser la blessure de Mr Hunter. Carine fut la première à rompre le silence. _Merci beaucoup, dit-elle à l'attention du sauveur. Puis elle présenta toute l'équipe et expliqua leurs mésaventures jusqu'à leurs rencontres. _Je me nomme AguSak. Je suis pilote. Lorsque l'explosion du manoir à eu lieu, j'ai perdu mon hélicoptère. J'ai erré dans le bois puis, plusieurs chiens m'ont poursuivi. Je me suis donc réfugié dans ce manoir il y à de cela 5 minutes. _Vous étiez dehors, avec tout ces monstres, s'étonna SpartaK. _Il n'y en avait pas beaucoup ou j'étais, mais j'étais équipé d'une paire de glock17 que j'ai perdu dans ma course, malheureusement. En entrant, je vous est entendu crier, et vous connaissez la suite, dit AguSak. _Effectivement, on la connais, dit Charlotte. Comment va t'il ? s'inquiéta t'elle en se tournant vers Thierry. _Il faudra l'emmener à l'hôpital le plus vite possible. Il à perdu beaucoup de sang, mais je pense qu'il peut tenir un bon moment. Il va, par contre, falloir le porter. _Je m'en occupe, dit AguSak, je pense être le plus costaud d'entre vous, je me fatiguerais moins vite. De plus, je pense être le moins épuisé. Tout me désigne. _Merci de ta sollicitude, intervint Vincent. _Pas de problème. Met revint alors à lui, regarde sa jambe, puis rabaisse sa tête et pleur. De tristesse et de peur plus que de souffrance. Il prend alors conscience que cette événement ne pourra plus être oublié et qu'il en gardera des séquelles à jamais. AguSak vint vers lui et le prend sur son dos. Met comprend qu'il va être un fardeau. Il ne dit rien. _Reprenons notre route, dit Carine. _Ah oui, et par ou ? demanda Charlotte. Le seul passage est bloqué. _Place ton blason sur le mur, enlève l'ancien et remplace le, intervient Thierry. _Comment ça ? dit SpartaK. Il y à un passage ici, et tu ne nous prévient que maintenant. _Je ne pensais pas qu'il y avait un piège dans la salle d'à coté. Et je connaissais un autre endroit ou poser ce blason. En le plaçant ici, ont serra bloqué dans le souterrain plus tard. Mais nous aviserons à ce moment là. Notre but, pour l'instant, c'est d'avancer, réagit Thierry, énergiquement. _Tu aurais pu nous tenir informé de l'existence de se passage, continua SpartaK. _Je te signal que j'ai bien failli crever moi aussi dans cette putain de salle, alors fait pas chier. _Tu aurais pu tous nous faire tuer. Tu n'as pas le droit de décider seul dans une situation pareil ! La prochaine fois t'a intérêt à nous tenir informé des autres possibilités. _Sinon quoi ? demanda Thierry, d'un ton amusé. _Calmez-vous, intervint Vincent. Ont ne va pas commencer à s'engueuler. Notre but est de fuir d'ici alors vous deux fermer vos gueules et toi, place se putain de blason qu'on se casse !! dit-il en regardant Charlotte. Celle-ci s'exécuta. Lorsque le blason pris la place de l'ancien, un pan de mur se déplaça vers la gauche donnant accès à un escalier. Ils l'empruntèrent alors jusqu'à arriver dans un couloir dans lequel se trouvait deux portes et une cage d'ascenseur. Au fond du couloir se trouvait également une intersection. Thierry dit alors : _L'ascenseur mène au souterrain. Je ne sais pas ou mène les deux portes, mais elles ne nous seront d'aucun secours. Prenons l'ascenseur. Ils ouvrirent alors les grilles et s'aperçurent que la cabine ne pouvait accueillir que 3 personnes. _Bon, nous ferons deux voyages, dit SpartaK. SpartaK, AguSaK et Met montèrent dans l'ascenseur et le mirent en marche. Soudain, lorsque les grilles se refermèrent, un cri horrible retentit de l'intersection. 4 liters en sortirent et d'autres semblaient être présent mais toujours dissimulés. _Ouvre la grille ! cria AguSak. Il faut aider les autres. _C'est trop tard, dit SpartaK. L'ascenseur à commencer à descende. Les 4 restants regardèrent les 3 autres descende lentement. Le regard de SpartaK n'ayant jamais quitté celui de Charlotte. Soudain, ils ne se virent plus. Pendant la descente, SpartaK, AguSak et Met entendaient des coups de feu, des cris, des râles. Que pouvait-il bien se passer la haut. Et pourquoi cet ascenseur était il si lent. Vivement l'arrivé pour pouvoir remonter les aider. Soudain l'ascenseur fit halte et les grilles intérieurs s'ouvrir. De l'autre coté de celle-ci se trouvaient une vingtaine de zombies déterminées. Ils commencèrent à passer les bras à travers les grilles extérieurs pour essayer d'attraper leurs possibles repas. SpartaK, Met et AguSak sortirent alors leurs armes et commencèrent à tirer à travers les grilles. Les zombies tombèrent les uns après les autres. Mais les tirs atteignirent bientôt le boîtier de commande de l'ascenseur. Celui-ci était maintenant irréparable. Plus possible d'aller secourir les autres là haut. Une fois tout les zombies morts, SpartaK se risqua à l'extérieur pour s'apercevoir qu'il était une fois de plus dans un petit couloir au fond duquel se trouvait une seule et unique porte. Plus de danger pour le moment. SpartaK retourna à l'ascenseur et expliqua la situation à ces camarades. Soudain, SpartaK cria dans la cage d'ascenseur. _Vous m'entendez la haut ?? _Oui, dit une voix féminine très faible. _L'ascenseur ne marche plus, il est cassé. Nous ne pouvons pas vous le renvoyer. _Quoi, mais qu'est ce qu'on va faire !!!! Soudain la voix se stoppa quelques instants. _Vincent me dit de te dire qu'on est tous sains et saufs. Cependant, Thierry à disparu. Nous ne savons pas ou il est. On la même pas vu partir. _OK, vous pensez trouvez une autre issue ? _Il faudra bien !!! On se retrouve tous au commissariat !! _OK, si dans 2 heures, personnes n'a de nouvelles des autres, c'est chacun pour soi. _Dacodac ! à plus. SpartaK, AguSak et Met se retrouve tout les trois dans un couloir jonché de cadavres de zombies. Ils s'avancent vers la porte. Carine, Vincent et Charlotte avancent vers l'intersection en passant par dessus six cadavres de liters. Une autre porte est cachée à droite. Leurs itinéraires comprend maintenant trois choix. Mais ou est Thierry ?
SpartaK
00 H 30 Après une bonne dizaine de minutes, Stéphane se releva. Il était sous le choc bien sur, mais avait également peur. Son regard n'avait cessé de contempler ce couloir. Des toiles d'araignées gigantesques grimpait du sol au plafond. Le fond était à peine visible, mais Stéphane connaissait les lieux, il y passait le plus long moment de sa journée. Il regarda Raptor, l'air aussi terrorisé que lui. _Je pense que nous devrions fuir, dit-il. Je connais un passage qui nous mènera jusqu'au jardin. D'ici nous aviseront. Raptor acquiesça. Ils avancèrent jusqu'à la porte du fond, évitant les toiles. Stéphane regarda son armement avant d'ouvrir la porte. Son magnum était vide, et il ne lui restait plus que 2 cartouches dans son M37. _Les temps sont durent, dit-il à Raptor, ironiquement. Tu à encore des munitions ? _itl mkel rtretst douuaeu areurgg podkor mon emktrevintrezem e... _C'est bon, te fatigue pas, j'comprend rien, fait voir, dit Stéphane. Il regarda son armement. _Il te reste deux chargeurs pour ton m93r, dit-il. _ckrejdi !!! intervint Raptor, énervé. _Par contre, tes lugers son vide. Nous voilà bien avancé, remarqua Stéphane. Bon allons-y. Sur ces mots, plusieurs coups de feu retentirent dans la salle voisine. Stéphane ouvrit alors la porte et vit, dans ce parking, un groupe d'une douzaine de chiens encerclent 3 individus. Les chiens couraient dans tout les sens et les humains essayaient de les tuer avec des armes de bon calibre. Stéphane n'intervint pas, et retint Raptor. Ils n'avaient pas assez de munitions pour jouer les héros comme tout à l'heure. Les encerclés s'en sortiraient peut-être très bien. Mais, soudain, l'un des humains vida son chargeur et sorti son couteau, la peur le saisi et au vue de son regard terrifié, Stéphane ne pu qu'intervenir. Il courra le long des camions, suivi de près par Raptor qui venait d'emmagasiner un chargeur dans son m93r. Ce fut d'ailleurs ce dernier qui fit feu pour le premier assaut. Il dut pourtant utiliser 4 balles pour venir à bout d'un monstre canin. Les autres individus était déjà arrivé à en tuer 7. Les chiens était de moins en moins nombreux surtout que Stéphane venait d'en abattre un nouveau en une balle. Raptor vida le reste de son chargeur sur un autre chien, mais celui ci courait n'importe ou. Raptor pris son dernier chargeur et s'apprêta à les échanger quand le chien lui sauta dessus et le saisi à la gorge le faisant tomber en arrière. Le chien mordait de toute ses forces et Raptor fut obligé de lâcher son arme pour poser ses mains sur la tête du chien, espérant ainsi le repousser. Stéphane couru alors vers eux, posa tranquillement son fusil à pompe dans l'oreille du chien, et tira. La cervelle de la cible explosa alors. Stéphane et Raptor était ainsi couvert de sang et de débris organiques immondes. Stéphane donna un coup de pied sur le corps du chien libérant Raptor de son étreinte. Raptor se releva et toussa, les deux autres chiens s'enfuirent. Stéphane aida Raptor à se relever et lui rendit son arme. Raptor la prit et regarda les autres individus. L'un d'eux était au sol, agonisant. Sa mort était imminente. Stéphane les regarda, et vit qu'ils s'agissaient également d'agent de l'ordre. L'un d'eux, celui qui n'avait plus que son couteau, s'agenouilla et trancha la gorge de son ami, lui évitant ainsi la souffrance et la mutation en zombie. Après se geste il pleura. Stéphane s'approcha de lui quand soudain, un liters bondit du haut d'un camion sur le sol et couru vers Stéphane à toute allure. Raptor, sur sa trajectoire, bondit alors devant lu, leva son m93r et pressa la détente. Mais rien ne se passa. Avec toute cette agitation, Raptor avait oublier que son chargeur était vide, il compris, mais trop tard, son erreur. Le liters, arrivé à son niveau, lui assena un énorme coup d'un revers du bras, tout en continuant sa course. Raptor fut projeter en l'air et retomba à 8 mètres de là, mort, près d'un chargeur plein qui aurait pu lui sauver la vie. Stéphane, se mit à courir pour fuir le liters, ses armes était également vide, il n'avait pas d'autres choix. Les deux autres individus le suivirent, l'un d'eux n'aillant que son couteau à la main, il n'espérait pas grand chose. Mais le dernier des trois fuyards possédait toujours son arme, il se retourna alors et tira à l'aide de ses doubles mitraillettes sur le liters. Il eut alors la plus grand peur de sa vie lorsqu'il vit que derrière lui ne courrait pas qu'un liters, mais six, certains rampaient au plafond, d'autres sautaient de camion en camion. Et il fut pris comme nouvelle cible. Le liters principale était déjà mort quand les cinq autres arrivèrent. Ils se jetèrent tous en même temps, de cinq directions différentes vers l'individu central. Stéphane se retrouva bloqué avec son nouveau camarade au fond du parking, la sortie n'était pourtant pas loin, mais des camions militaires bloquaient le passage. _Et merde, dit l'individu. Nous voilà fait comme des rats avec un simple couteau. Tout ça à cause de ces putains de camions militaires. _Ces putains de camions militaires ? repris Stéphane. Mais t'es un putain d'génie. Stéphane couru alors en direction d'un de ces fameux camions, l'ouvrit, et son visage s'éclaircit enfin. _Tiens, prends en une dans cette autre camion, dit Stéphane, en sortant une Gatling chargée à bloque. L'individu s'exécuta et ils se retrouvèrent bientôt, l'un près de l'autre, près à faire feu. C'est alors qu'ils constatèrent eux aussi que le nombre des invités c'était multiplié par cinq. Même si la peur les saisirent une nouvelle fois, la confiance revint losqu'ils constatèrent leurs armements. Les liters était occupés à étriper sans ménagement celui qui avait cru pouvoir leur tenir tête. Ils avaient commencé par lui ouvrir le ventre, déversant ainsi son contenu sur le sol. L'un d'eux s'amusait alors à donné de violent coup de griffe sur chaque organe intérieur pour faire souffrir le pauvre humain. C'est d'ailleurs, lorqu'il lui sectionna l'intestin que ce dernier hurla le plus fort. Ces quatre membres était maintenant arrachés et, de loin, on ne voyait que dix énormes bras aux griffes tranchantes frapper le sol violemment. Lorsqu'ils s'arrêtèrent, la forme qui gisait au sol n'avait plus rien d'humaines. Les os devaient être tous écrasés. Il ne semblait rester sur le sol qu'une simple peau baignant dans un mélange de sang et d'organes broyés. Les liters, du sang partout, se retournèrent vers les deux derniers survivants. Ils coururent alors vers eux. Stéphane appuya alors sur la détente et son camarade l'imita. Les balles fusaient à une vitesse prodigieuse et la Gatling, posée sur un pied, effectuait des mouvements gracieux. Cela permettait à Stéphane et à son équipier de viser de tout les cotés. Les liters tombaient les uns après les autres. Les deux derniers se mirent alors à courir sur les toits des véhicules, chacun d'un coté. Stéphane tourna alors sa Gatling sur la droite et son équipier sur la gauche. Les liters bondirent pratiquement en même temps vers les humains, les griffes en avant. Ils firent feu, les liters furent stoppés net en l'air et retombèrent en une masse inanimée sur le sol. Les deux coéquipiers se regardèrent, et soupirèrent. Mais à partir de maintenant, ils n'abaisseront plus leurs gardes.
SpartaK
01 H 07 Carine pris la parole. _Bon, nous ne sommes plus que trois. Je pense que cela réduit fortement nos chances de survie. Évitons de nous séparer. _Ok, dit Vincent, mais maintenant, nous devons faire un choix. _Explorons chaque salles, repris Carine, nous y trouverons peut-être des informations utiles. Sur ce, Charlotte se dirigea, arme au point, vers la première porte de gauche, et l'ouvrit. _Attend ! hurla Carine. Mais comme rien ne se passa, elle retrouva son calme et dit. _N'ouvre pas comme ça. Qui c'est ce qui peut se trouver derrière. Ce lieu regorge de monstres en tout genre, je t'en prie, prend garde. _Excuse moi, dit Charlotte d'un air désolé. Ils pénétrèrent dans la salle qui était un petit bureau. Ils le fouillèrent et trouvèrent quelques munitions, ainsi qu'un plan complet du manoir. _Génial ! regardez, nous sommes là, dit Vincent, désignant du doigt un carré dessiné au fusain. La salle voisine est une chambre avec un petit balcon, l'autre donne sur deux escaliers. L'un monte sur le toit et l'autre descend au laboratoire au niveau -2. _Dépêchons nous de descendre, cria Charlotte. Nous retrouverons peut-être les autres. _Non, dit Carine. L'ascenseur permettait de descendre qu'au niveau -1. Pour le -2, il fallait une carte. _J'en conclu donc qu'une fois arrivé en bas de l'escalier, ils nous faudra aussi une carte pour accéder au laboratoire, intervint Vincent. _La personne qui avait son bureau et sa chambre ici devait justement en protéger l'accès, dit Carine. Fouillons plus en profondeur, je suis sur qu'on trouvera quelque chose d'utile. Charlotte, continue à chercher ici. Vincent et moi allons fouiller la chambre. Sur ces mots, ils quittèrent le bureau et ouvrir la porte de la chambre avec précaution. Soudainement, de nombreux corbeaux s'envolèrent par la vitre brisée. L'émotion fut grande, mais Carine et Vincent reprirent leurs esprits. Ils fouillèrent grandement les lieux, et trouvèrent, en plus de certaines munitions incompatibles avec leurs arsenals, un "passe contamination". Ils sortirent alors de la chambre en la refermant calmement, et rejoignirent Charlotte à laquelle ils montrèrent leur heureuse découverte. _Alors, descendons, dit Vincent. D'après ce plan, nous avons visité entièrement ce manoir. Du moins, ce qu'il reste possible de visiter. Ils prirent alors l'escalier, et s'enfoncèrent marche après marche dans les ténèbres. La lumière étant de plus en plus faible. Arriver en bas, Carine inséra la carte d'accès dans le boîtier de commande près de la porte. Celle-ci émis un bip, puis la lumière passa du rouge au vert, et un bruit de déverrouillage électronique ce fit entendre. Elle ouvrit alors la porte doucement et pénétra la première dans ce nouveau lieu. A peine fut-elle rentré qu'un coup de feu retentit la faisant reculer. Du sang se mit à couler de son bras gauche et elle tomba au sol pendant qu'un résonnement de pas fuyant sur des marches en fer se faisant entendre. Vincent entra alors rapidement et s'agenouilla auprès de sa bien aimé pendant que Charlotte courrait dans cette immense salle métallique, remplie de tuyau et de valve, à la recherche de l'agresseur. _Ça va, dit Carine, bégayant. Je vais bien, ne t'inquiète pas. _Laisse moi voir, dit Vincent, les yeux humides, en ouvrant le gilet de Carine. Mais, c'est une balle de STI Eagle. Quelqu'un veux nous empêcher de continuer notre route. Charlotte visitait les lieux. Elle découvrit qu'elle était dans une énorme salle carrée, comprenant deux issues, à l'opposé l'une de l'autre. La première étant l'escalier qu'elle venait d'emprunter, le chemin paraissaient clair et net. Cependent, au centre de la salle, se trouvait une espèce de bureau fermé par une porte blindée. Elle approcha, et appuya sur un bouton. Cette action eu pour effet d'ouvrir la porte et elle fut alors fasse à un étrange individu. Celui-ci était de petite taille et un peu rondouillard. Il portait des petites lunettes rondes et tenait à la main un flacon comportant un produit liquide violet sur lequel une étiquette portant la lettre G était collée. L'individu ne semblait pas surpris de recevoir une visite humaine, mais la personne devant lui n'était certainement pas celle qu'il attendait. Si seulement il attendait quelqu'un. _Qui êtes vous ? demanda t'il. Et que faites vous ici ? _Je m'appelle Charlotte, je suis à la recherche de mon frère, et vous ? _Tasslehoff, Dimitri Tasslehoff, cela est mon nom. Je suis chercheur dans ces lieux. _Ces lieux sont sous l'emprise du mal. Pourquoi êtes vous restez ici ? _Mais tout simplement parceque dehors il y a beaucoup zombies et créatures diverses, voilà pourquoi Dimitri reste ici. _Si vous restez ici, vous allez finir par vous faire tuer ou par devenir un monstre vous aussi. _Justement, l'échantillon que je tiens dedans mes mains et très bon. Je l'utiliserai en dernier recours et je deviendrai le plus fort des monstres. Ainsi, je ne décèderait pas, mais muterais. _Muter ? qu'est-ce que vous racontez ? _Vous pas connaître beaucoup de chose. Vous pas au courant des recherches éfféctués ici. Comme nous allons tous mourir, je peut vous expliquer. _Allez y, dit Vincent pénétrant dans la salle avec Carine à ses cotés. _Vous être très nombreux. Bien ! Cela vous permettra de rester longtemps vivant. _Expliquez nous ce qui se passe ici, demanda Carine. _C'est simple. Parasol Corp est laboratoire pharmaceutique pour tout le monde. Ce n'est, en vrai, qu'une simple façade. Parasol Corp est en fait énorme multinationale qui possède beaucoup locaux à travers le monde. Ici, mais aussi États-Unis, à Raccoon City pour être précis, ainsi qu'en Russie. Même sur île lointaine et dans glaces éternelles des pôles. Ils sont implantés partout et leurs but est simplement créer nouvel arsenal militaire en vue de probable guerre biologique et bactériologique. Ici, nous travaillons à l'élaboration d'un projet nommé "Nemesis". Au États-Unis, ce projet se nomme "Tyran" et est légèrement différent. En fait, ce n'est que structure de base qui différent. Vous comprenez ? _J'avoue que j'ai du mal ! dit Vincent. Pourquoi cette façade ? Pourquoi s'implanter en ville. Vous pourriez faire ça en cachette, loin de tout et s'en être connu du grand public !! _Non, mon cher, et puis d'ailleurs, nous sommes à la limite de la cité. Assez loin de tout pour effectuer travail dans bonnes conditions. Parasol Corp à besoin effectuer test sur cobayes et puis à besoin de beaucoup argent pour ses recherches. Multinationales coté en bourse, rien de mieux pour avoir fond nécessaire à la réalisation de produits de tests. Vous savez, ingénieur et chercheur comme moi coûtent très cher. _Vous venez avec nous ? nous ne devrions pas rester ici ! proposa Charlotte. _Quoi ? hurla Vincent. Faire venir se malade avec nous ? ça va pas non, il est en train de dire que tout est de sa faute. _Rien n'est ma faute, se défendit Tasslehoff. Cette après midi, beaucoup de visiteurs venir ici. Salle des machines exploser, faute à personne. Pas intentionnel. Moi n'y suis pour rien. Par contre, oui, j'ai créé beaucoup de virus, et ceux-ci ont contribué à la mutation des humains et des animaux, mais aussi des plantes. Je ne veux pas la souffrance, mais j'aime mon travail, la recherche est ce qu'il y à de plus beau. Qu'elle soit bien ou mal utilisé n'est plus mon problème. _Vous voulez fuir avec nous ? fini par demander Vincent. _Avec joie, répondit Tasslehoff. Cela me permettra de voir ce que mes créations ont fait à leurs hôtes. Mais qu'est-ce qu'à la madame ? _On vient de lui tirer dessus, dit Vincent. Le tireur s'est enfui. Je pensais que c'était vous. _Je ne possède pas d'armes. Enfin, tout ces flacons contiennent des armes terribles. Plus puissantes que vous armes à feu. Je vais prendre toutefois dans le casier le lance-grenades. Je pari qu'il me serra utile. En plus j'ai petite série de cartouches diverses de mon invention. _Alors allons-y, dit Charlotte. Ils partirent alors en direction de la porte opposée. _Qu'allons nous trouver par là ? demanda Carine à Tasslehoff tout en se tenant le bras. _Plusieurs couloirs, identique les uns par rapport aux autres, avec de chaque cotés, des bureaux et des salles d'expérimentations. Je vous déconseille de les ouvrir car êtres qui doivent les peuplés aujourd'hui sont sûrement beaucoup plus dangereux que ceux déjà affrontés. _Y'a t'il une issue ? demanda Vincent. Nous devons retrouver des amis au commissariat. _Après couloirs, répondit Tasslehoff, vous trouverez grande salle centrale ronde. Elle se trouve deux niveaux sous le hall du manoir. D'ici, nous trouverons chemin menant à monte-charge qui donne sur jardin. Commissariat se trouve à 1km au fond du jardin. Chemin dur et chaotique. Pas droit. Pas facile pour la dame blessée. _Je m'appelle Carine, dit-elle. _Oh, présentation, répondit Tasslehoff, honoré. Arrivé devant la porte, Vincent posa sa main sur la poignée, quand soudain...
SpartaK
01 H 10 AgusaK ouvrit la porte. SpartaK ayant décidé de porter un peu Met sur son dos pour ne pas abuser de la sympathie du nouvel arrivant restait quelque peu en arrière. _Il fait vachement sombre la dedans, dit AgusaK pénétrant dans la salle voisine. Les murs ont l'air assez proche, on dirait un petit couloir. _Aucun bruit suspect ? demanda Met. _Non, rien, répondit aussitôt AgusaK. _C'est peut-être pas bon signe justement, répliqua SpartaK. _Pour une fois qu'il y à un peu de calme dans ce manoir de fou, reprit Met. _Je commence à mieux y voir, dit AgusaK. C'est effectivement un couloir, il à l'air très long et même le plafond à l'air extrêmement haut. _Nous avons pas mal descendu, dit SpartaK. Nous devons bien être à 15 ou 20 mètres du rez-de-chaussée. _Bon, je passe devant, dit Agusak. Suivez moi, et ne vous éloignez pas trop. _Ça risque pas, dit Met, piteux. _Évitons les sarcasmes, c'est pas le moment, reprit SpartaK. Ils commencèrent alors à pénétrer dans le sombre couloir. Mais, dans cette obscurité constante dont la seule source lumineuse semblait venir du haut, quelque chose les mettaient mal à l'aise. Un sentiment de surveillance. Comme si quelqu'un les épiaient. Ils marchaient depuis quelques minutes maintenant. Le passage était de plus en plus étroit et des tuyaux de vidange leurs barraient le chemin. Cela était d'autant plus dur pour SpartaK, qu'il portait Met. Chaque enjambées étaient de plus en plus pénible. Mais il ne dit rien. La fatigue qu'il éprouvait n'était rien comparé à la souffrance de son ami blessé. En essayant de se rattraper sur un pan de mur, pour éviter de basculer, SpartaK senti soudain, sous la paume de sa main, un mouvement. Cela semblait être un insecte qui devait se balader dans les canalisations. Ils commencèrent à être inquiet lorsqu'un bourdonnement de plus en plus fort leurs parvint. Les murs semblaient bouger. Des étincelles brillaient au dessus d'eux par intermittence comme si quelque chose passait sans arrêt devant la source de lumière. Soudain, une lumière apparu au fond du couloir, il en voyait enfin la fin. Plus ils avançaient, plus ils voyaient correctement. Mais quand la vue leurs revint de façon correct. Ils contemplèrent avec dégout la source de se bourdonnement horrible. Devant eux se trouvaient une espèce de ruche géante dont d'énormes guêpes protégeaient l'accès. Derrière cette ruche, à quelques dizaines de mètres, se trouvaient une double porte en bois craquelée. De cette porte sortaient des serpents d'un bon mètre de long chacun. A leurs niveaux, il n'y avait pas l'air d'avoir de danger. Mais ils comprirent qu'au dessus d'eux se trouvaient une énorme quantité de guêpes et que même, si ils arrivaient à passer sous la ruche, qui devait se trouver maintenu à un mètre du sol, ils devraient faire face à bon nombre de serpent. _Faisons demi-tour, dit SpartaK. _Pour allez où ? demanda Met. L'ascenseur est cassé et c'est le seul chemin. On à pas beaucoup de choix. _Met à raison, dit AgusaK. Si nous revenons en arrière, nous n'avons aucun moyen de nous en sortirent. Ils faut avancer, à tout prix. _Comment pouvons nous passer ? reprit SpartaK. _Nous allons y aller tout doucement, et passer en dessous en rampant. Puis nous courrerons jusqu'à la porte en espérant que les serpent n'aient pas le temps de nous sauter dessus, dit AgusaK. _Tu parles d'un plan, dit SpartaK. _C'est le seul qu'on est, intervint Met. Allons y ! Sur ce, ils continuèrent leur chemin. Arrivé à proximité de la ruche, AgusaK se baissa, rampa, et se retrouva de l'autre coté sans trop d'effort. Il avança vers les serpents. Pendant ce temps, Spartak se baissa et rampa également, avec Met sur son dos. Mais, en passant en dessous de la ruche, Met toucha accidentellement le bas de la ruche. Une agitation soudaine eu lieu, mais rien de bien grave. Cependant, en se relevant, SpartaK trébucha et tomba nez à nez avec un serpent qui eu un mouvement de recul. Il ouvrit la gueule et s'apprêta à mordre. SpartaK recula et Met toucha violemment la ruche. Les guêpes se mirent alors à voltiger dans tout les sens et certaines plongèrent direction de Met et SpartaK. Ceux ci se retrouvèrent alors bloqué par des guêpes et des serpents énervés. AgusaK, qui avait bien évidement assisté à la scène, vit, sur un socle près de la porte, un lance-flamme. Il couru dans sa direction, s'en empara, et vérifia son contenu. Par bonheur, il était plein. Il couru alors dans la direction de ses deux amis. Pendant ce temps, SpartaK venait de se faire mordre au mollet droit par un serpent. Un autre venait de sauter sur sa cuisse gauche et lui enfonça ses crocs en y déversant son venin. Presqu'aussitôt, SpartaK fut pris de nausées et de vertiges. Il s'accroupit et des guêpes foncèrent alors vers Met. L'une d'elles lui enfonça son dard d'une dizaine de centimètre à travers la gorge. Met avait énormément de mal à respirer et perdait beaucoup de sang. AgusaK arriva enfin et vit environ 5 serpents mordre SpartaK sur plusieurs parti du corps. Il vit également que Met était en mauvaise posture. Il visa alors en l'air et tira des rafales de flammes sur la ruche et les guêpes environnantes. Celles-ci préférèrent fuir. Il visa alors le sol et mis feu à bon nombre de serpents. Ceux qui était occupé à mordre le corps sans signe de vie de SpartaK fuirent également. Il attrapa SpartaK par le bras, et le tira. Met, étant accroché à SpartaK, fut traîné également. AgusaK ouvrit la porte et y fit glisser les corps de ses amis. Il verrouilla l'entrée et contempla l'étrange lieu dans lequel il se trouvait. C'était un sorte de vieille cave à vin. Des centaines de tombeaux peuplaient les lieux. Il sépara le corps de SpartaK de celui de Met et les assis tout deux cote à cote. Ils reprirent connaissances, mais n'arrivait pas à parler. Leurs pupilles étaient dilatées. De la bave leurs coulaient sur le coin de la bouche et du sang giclaient de chaque plaies. Le sang dégageait une odeur chimique. AgusaK se protégea les yeux. Soudain, un énorme cri, comme un soufflement, retentit. D'entre les tonneaux sortit un serpent géant d'environ 15 mètres de long. Il leva la tête et frappa vers AgusaK qui évita l'assaut de justesse en sautant sur le coté. Il pointa son lance-flamme vers le monstre et pressa la détente. Les flammes jaillirent vers le serpent qui recula vers sa tanière. Celui-ci tentait de mordre à travers le feu, mais son instinct le poussait à reculer. Malheureusement, l'arme fut vidé entièrement au bout de quelques secondes. AgusaK compris alors que le lance-flammes aurait du être réservé à ce monstre et non aux guêpes et aux serpents qui peuplaient le couloir précédent. Le serpent avança alors vers AgusaK qui recula en jetant le lance-flamme au sol. Le serpent pris alors un peu de recul et frappa d'une manière extrêmement brutale en direction d'AgusaK lorsqu'il fut stoppé net dans son élan. Du sang lui coulait le long de l'œil gauche. Il se tourna alors dans la direction du tir. Met était debout, sur son unique jambe, et tenait son fusil à pompe. Celui qu'il avait récupéré sur le socle du bureau à l'étage supérieur. Il visa de nouveau le serpent et tira. Une explosion de sang jailli alors du corps de la bête à l'endroit de l'impact. Le serpent hurla de douleur et de colère et fonça vers son agresseur. Met continua de tirer sans relâche mais la bête fut bientôt sur lui. Il se courba en arrière et attrapa Met dans sa gueule. Une fois sa proie bien coincer il se mit à la secouer fort en espérant la déchiqueter, mais Met, toujours en vie, sa tête, son torse et ses bras à l'intérieur de la gueule du serpent, pointa son fusil en l'air et tira pour la dernière fois, en réunissant ses dernières forces. Ceci eu pour effet de faire explosé le crâne de la bête qui fit tomber une dernière fois ses mâchoires sur le corps de Met. Une fois de trop. La bête tomba, entraînant Met dans sa chute. Une fois sur le sol, ils étaient mort tout les deux.