RESIDENT EVIL 0 – Ennemis

Les ennemis de base du jeu.

Dans cet opus, les zombies sont encore plus beaux que ceux de Rebirth.

Leurs mouvements sont très réalistes tout comme leur attitude. Ils avancent un peu plus vite et sont également beaucoup plus vifs. Et ils font encore plus peur.

Par rapport à Rebirth, vous pourrez en rencontrez un plus grand nombre à la fois, et la difficulté, bien que relative vu la faible vitesse de leur déplacement, est alors accrue.

Vous pourrez en voir un grand nombre différent, et rarement avec les mêmes skins en même temps, ce qui rajoute un petit coté « réaliste » au jeu qui n’est pas déplaisant.

Cependant, les zombies ne sont toujours pas très costaud et heureusement, ça nous permet de tester nos armes sur eux avant d’affronter de vilains hunters.

Voici des ennemis très populaires dans l’univers RE.

Les cerbères sont là depuis le tout premier jeu, et n’ont pas vraiment évolué dans leur attitude. Coté graphique, ils sont cependant beaucoup plus beaux qu’à l’époque et leur animation est parfaite.

Ils sont toujours très rapides et attaquent tout le temps en meute (de face, de coté, par derrière…). Et ils bondissent toujours par dessus les clôtures pourtant très hautes. Ils font vraiment stresser.

Parfaitement modélisés, leurs attaquent sont fulgurantes. Leurs bonds puissants peuvent vous plaquer violemment au sol. Ils vous attrapent aussi le bras et agitent leur gueule pour tenter de vous l’arracher.

Si les cerbères étaient déjà peu nombreux dans Rebirth, ils sont ici pratiquement inexistants ! Ils font juste quelques apparitions minimes, histoire de nous montrer leurs jolies petites gueules…et puis c’est tout. Dommage.

Ce ne sont pas vraiment des ennemis car elles se baladent sur le sol en buvant une bière et… ah non, c’est pas ça, je recommence.
Bah, elles glandent rien en fait…

Par contre, rien ne vous empêche de marcher dessus, ça c’est drôle et ça produit un petit effet sonore du meilleur gout.

Enfin, il faut juste savoir que si vous trouvez des sangsues sur votre chemin, les zombies-sangsues ne sont surement pas loin !!

Si le Remake du premier jeu marque les esprits avec ses zombies sur-puissants, les Crimson Heads, cet épisode 0, quant à lui, introduit cette fois les Zombies-Sangsues (Zombies-Leechs).
Et si les Crimson Heads pouvaient être très énervants, il ne sont rien, mais alors rien du tout, à coté de ces nouveaux venus !

En pratique, si vous entrez dans une salle et que vous entendez une musique et un bruit fort caractéristique d’explosion de chair en putréfaction, vous saurez qu’il y a un Zombie-Sangsue tout près de vous. Et là, vous aurez la trouille.

Oui, le Zombie-Sangsue est surement l’ennemi le plus flippant et le plus énervant du jeu. Très résistant, et capable de vous frapper de loin à l’aide de son bras télescopique (un peu comme le Bandersnatch dans Code: Veronica). Ce zombie n’est pas là pour rigoler.

En le combattant, vous risquez fortement d’être touché, et vous perdrez un grand nombre de munitions. Mais l’éviter n’est pas toujours possible. Dans les cas de combat obligatoire, n’hésitez pas à sortir la grosse artillerie !.

Bah, ils sont pas vraiment présent dans le jeu…on a d’ailleurs pas beaucoup d’images à mettre pour les représenter.

Il s’agit toutefois d’ennemis rapides et énervants, mais peu résistants et pas très forts.

Une balle bien visée et hop, plus de corbeau !

Un nouvel adversaire, assez fort, mais pas trop résistant et pas assez rapide pour vous surprendre vraiment.

Le Plague Crawler est un espèce d’insecte géant qui combat souvent à deux ou trois.

Normalement, vous ne devriez pas éprouver de difficulté pour le battre.

Les araignées géantes sont horriblement belles, énormes, d’une laideur incroyable et d’une dextérité exemplaire. Tout en étant assez puissantes.

Cependant, elles ne sont pas très féroces, ni très résistantes, n’attaquent pratiquement pas et attendent que vous veniez les tuer.

Si elles se décident enfin à attaquer, il vous faut tout de même faire très attention vis à vis du poison qu’elles projettent.

Alors, si jusqu’à maintenant les ennemis étaient cool, mais pas très résistants, peu présents, et pas très ‘utiles’ (hormis le Zombie-Sangsues), cela change radicalement avec les ‘Eliminator’, qui portent très bien leur nom !

A la base, c’était de simples singes de laboratoire qui, une fois exposé au virus T, sont devenus d’horribles créatures, plus agiles et plus puissants qu’un Hunter. Ils attaquent à trois si l’idée leur en prend !

Une créature horrible, puissante, flippante, et en même temps très énervante et très résistante, voila un nouvel adversaire digne de ce nom.

Ils ont toujours été purement et simplement les plus puissants et les plus méchants ennemis basiques de tous les RE.

Même si aujourd’hui les Eliminator sont pour eux des adversaires de choix, les Hunters sont toujours les ennemis préférés des fans de première heure.

Ce sont de bonnes grosses brutes épaisses qui bondissent pour vous plaquer au sol, vous lacèrent à l’aide de leurs longues griffes acérées, et vous donnent d’énormes claques en travers de la face (qui vous envoient à plusieurs mètres).

Toujours aussi beaux que dans Rebirth, les Hunters sont encore une fois un peu moins présents dans l’aventure. Dommage.

Il s’agit d’une sorte de crapaud géant, pas très fort, pas très résistant, et qui ne fera que quelques brèves apparitions au cour de l’aventure.

Mais c’est toujours sympa de voir de nouvelle créature.

Méfiez-vous quand même, car s’il vous attrape avec sa langue, il en sera fini de vous en un seul coup.

Cette fois, comme premier boss, un scorpion géant qui arrive en se faisant pas mal remarquer.

Il défonce le toit du train, rempli toute la largeur du couloir et frappe partout avec ses grosses pinces !

Le scorpion ne fait pas dans la dentelle, et la volupté et la légèreté ne font pas vraiment partie de son vocabulaire. Il est là pour tout péter, votre personnage compris !

Cependant, le scorpion est lent comme une larve. Et en restant dos à la porte, avec votre fusil prêt à tirer, vous ne devriez même pas recevoir un coup de pince !

C’est un scolopendre géant qui, comme son pote Stinger, aime casser tout ce qu’il voit, jolies filles comprises.

La puissance et la vitesse ne font pas parti de ses meilleurs atouts, mais la résistance, sans aucun doute !!!

Il vous faudra donc quelques minutes d’efforts pour en venir à bout, mais vous devriez vous en tirez sans problème.

Pendant le jeu vous trouverez quelques petites chauve-souris qui ne vous attaqueront pas.

Mais un jour vous croiserez le chemin de « maman chauve-souris », qui a vraiment les boules que vous veniez la faire chi…. dans sa propre chapelle !

Et bien surtout, n’ayez crainte…
Cette chauve-souris…
Bah…
Il faut le dire…
C’est une vrai mauviette !

Et oui, en quelques tirs elle disparaîtra à jamais de la Terre qui l’a vu naître et c’est temps mieux, car elle est vraiment pas belle (d’ailleurs, vous ne trouvez pas qu’elle a une gueule de cerbère ?!).

Tout le monde connait Tyrant, l’ennemi final du premier jeu, et donc du Remake.
L’ennemi ultime, l’ennemi par excellence. Tout le monde voit Tyrant comme le ‘vrai’ boss de Resident Evil, même si beaucoup d’autres existent dans les jeux de Capcom.

Il était donc logique de voir arriver, dans ce jeu, qui se déroule une journée avant Resident Evil premier du nom, un Tyrant un peu moins ‘fini’.

Et bien c’est chose faîte avec ce Proto-Tyrant, qui, comme son nom l’indique, est le prototype du monstre de fin du manoir Spencer !

Un prototype étant le produit final avant commercialisation, il était également logique que Proto-Tyrant se comporte comme Tyrant.

Si vous avez fini le Remake (ou le jeu d’origine), vous savez donc comment en venir à bout..!

Le dernier boss du jeu, c’est elle, et elle subira deux mutations.

La toute première étant la transformation de Marcus en Reine Sangsue, puis, la deuxième, en immondice de chair, dégueulasse, comme le sont souvent les derniers boss des RE.

Tellement bizarre qu’il en devient impossible d’avoir une véritable idée de sa forme. Les seules choses identifiables étant un gros tas de graisse parcouru de vaisseaux sanguins prêt à éclater, et d’énormes boursouflures nauséabondes parcourant la totalité de « la chose ».

Bonne chance, le combat n’est pas très difficile, mais un peu long.

La complexité du combat étant vraiment votre capacité à resister et à éviter les assauts répétés du monstre.